• L'essentiel
  • -
  • En savoir plus...
LE MANS
Paris, le 10 mai 2023

Horaires, enjeux et objectifs du GP de France MotoGP 2023

Horaires, enjeux et objectifs du GP de France MotoGP 2023

Ce week-end au Mans, Fabio Quartararo, Johann Zarco, Michelin et l’écurie Tech3 roulent à domicile ! Le rendez-vous est d’ailleurs historique puisqu’il s’agit du 1000ème GP de l’histoire... auquel participeront Marc Marquez et Danilo Petrucci ! Ce GP de France 2023 marquera aussi l’entrée en compétition des Ducati électriques en MotoE.

Imprimer

Ce week-end du 13-14 mai 2023 s’annonce très chargé pour la ville du Mans : brocante au pied de la cathédrale St-Julien, fête de l’Europe sur la place du Jet d’eau, festival de retro-gaming à la MJC Jacques Prévert... mais aussi et surtout, Grand Prix de France sur le mythique circuit Bugatti !

Nos deux vedettes de l’Intercontinental Circus, Fabio Quartararo et Johann Zarco, sont attendues de "botte" ferme par des dizaines de milliers de motards. Pour mémoire, les spectateurs étaient 110 003 à assister à la course en 2022, un record absolu qui intervenait après une édition 2021 disputée à huis clos et celle de 2020 limitée à 4550 entrées en raison de la pandémie de Covid-19...

Pour rappel égale-mans (huhuhu), les fans du n°20 Yamaha et/ou du n°5 Ducati étaient rentrés chez eux un brin frustrés par les résultats brillants mais pas flamboyants de leurs idoles l’an passé. "El Diablo" avait terminé notre Grand Prix à quelques longueurs du podium tandis que Johann bouclait le Top 5. Pas de quoi passer un "back-flip", hélas.

Bien qu’il ne se soit jamais imposé sur les terres mancelles - pas même en Moto2, catégorie intermédiaire qu’il a dominé en 2015 et 2016 -, Zarco bénéficie de deux atouts maître pour enflammer le public français et aller chercher un premier succès en MotoGP en 2023 et enfin !

Deuxième de son GP national dès sa première participation en catégorie reine (en 2017, alors sur sa Yamaha Tech3), Jojo est extrêmement rapide sur le tracé sarthois : il a claqué la pole l’année suivante, toujours sur M1 satellite, puis signé le meilleur tour en course en 2020 sous la pluie... et sur Desmosedici !

C’est l’autre atout du n°5 : le prototype Ducati est indéniablement la meilleure machine du plateau MotoGP. La preuve ? Avec la victoire de la n°1 de Pecco Bagnaia à Jerez il y a deux petites semaines, la marque de Bologne n’est plus descendu du podium depuis 30 courses !

Les Desmosedici ont par ailleurs remporté les trois dernières épreuves au Mans : la n°23 du team Gresini s’est imposée l’an dernier avec le bestial Enea Bastianini, la n°43 officielle pilotée par Jack Miller avait gagné l’année précédente (accompagnée de Quartararo et Zarco sur le podium, cocorico !) et la n°9 officielle chevauchée par Danilo Petrucci s’était illustrée sur une piste détrempée en 2020.

Bridé cette année encore par sa "bleue", Fabio n’a pas à rougir face à Zarco : en 2019 le "Rookie of the Year" s’était montré le plus rapide en course, en 2020 le leader au provisoire avait obtenu la pole position, et en 2021 le champion du monde avait réalisé le doublé (pole et record du tour en course) avant de monter sur une formidable deuxième marche du podium.

L’an dernier toutefois, notre savoureux "20 français" n’avait rien pu faire face à son grand rival Pecco Bagnaia : le n°63 était le plus véloce de tous en qualification comme en course. Toutefois, le futur n°1 avait mordu la poussière - de graviers - lors de son duel face à Bastianini... Comme quoi, sans maîtrise, la vitesse n’est rien ! Et sans grip ? Elle n’existe tout bonnement pas.

"Le revêtement de la piste n'est pas très abrasif, mais nous avons néanmoins choisi de renforcer le côté droit des pneus arrière car les virages à droite sont près de deux fois plus nombreux que ceux qui tournent vers la gauche", analyse Piero Taramasso, responsable de la compétition deux-roues de Michelin, local de l’étape française avec l’écurie Tech3 GasGas qui se démène pour ne pas redevenir lanterne rouge au championnat par équipe...

Petite pression supplémentaire sur les français

En accord avec la nouvelle réglementation plus "éco-responsable", Michelin n’a sélectionné "que deux types de gomme pour l'arrière. Compte tenu des risques de pluie et de température fraîche au sol notre gomme Soft, qui fonctionne très bien quand le mercure descend bas, sera le cas échéant la réponse parfaite. Le cran Medium fait quant à lui preuve d'une grande polyvalence d'usage, y compris quand les conditions sont douces, et sera le plus adapté dans tous les autres cas".

La pression sur le manufacturier - unique, faut-il le rappeler ? - pour fournir de bons pneus donc un beau spectacle est supérieure à la normale : ce week-end, en plus de rouler à domicile, le Bibendum participe au 1000ème GP de l’histoire, entamée en 1949 sur l’Ile de Man lorsque le Tourist Trophy faisait partie des Grand Prix moto.

Le pilote qui s’imposera dimanche après-midi sur le Bugatti est assuré de rester dans les mémoires. Or ce ne sera pas le retraité Valentino "Doctor" Rossi qui détient toutefois le record de participations (423 Grand Prix moto sur 1000 !), ni le remarquable et inoxydable Dani "Asimo" Pedrosa, brillant invité du GP d’Espagne 2023 (le 999ème donc).

Mais cela pourrait bien être Marc Marquez, puisque le n°93 du HRC fera en France son - grand ? - retour en compétition. Ses médecins ont mis fin à sa pause de près de sept semaines afin de laisser le temps à sa main droite de se remettre totalement de sa blessure portugaise...

Suite à son accrochage avec le local de l’étape d’ouverture 2023 Miguel Oliveira - également harponné par Fabio Quartararo à Jerez, le pauvre -, l’octuple champion du monde s’était en effet fracturé le premier métacarpien, celui du pouce, indispensable pour dompter les protos de MotoGP et à plus forte raison la tumultueuse Honda..

Marc Marquez devrait prendre ainsi dimanche son 234ème départ en GP. Réalisera-t-il aussi son 2340ème rattrapage de fortune (surveillez-le dans le Garage Vert !) lors des essais, ou bien sa 23 400ème attaque "musclée" en course afin de prouver à ses concurrents qu’il est le véritable patron de la catégorie ?!

Avant même d’avoir poser une roue sur le tarmac français, le sextuple champion de MotoGP a remporté une première victoire cette semaine puisque la Cour d'Appel MotoGP "a décidé d'annuler l'application de la sanction imposée à Marc Marquez, qui avait été émise par le Collège des Commissaires FIM MotoGP en lien avec la sanction initiale", indique la FIM.

Selon les instances sportives, la pénalité "Double Long Lap" infligée à Marc Marquez à l’issue du Grand Prix du Portugal le 26 mars 2023, "a été purgée suite à la non-participation du coureur à la Course de MotoGP 2023 en Argentine". Circulez, i n’y a plus rien à voir !

Marquez de retour au HRC, Petrucci sur Ducati !

Un autre grand nom des Grand Prix, apprécié par l’ensemble du public cette fois, réapparaîtra également sur les tablettes ce week-end : Danilo Petrucci, en remplacement d’Enea Bastianini toujours convalescent ! Le vainqueur de l’édition 2020 remplace donc celui de l’édition 2022.

"Après Le Mans, le championnat du monde fera une pause de trois semaines pendant laquelle je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour me rétablir à temps pour ma course à domicile au Mugello, prévue pour le mois de juin", calcule le n°23, fauché à Portimao par son copain Luca Marini et pas assez en forme à Jerez pour prendre le départ d’un Grand Prix.

"Je suis ravi d'être de retour en MotoGP, même si je regrette qu'Enea doive manquer une nouvelle course", signale le n°9. "Ce sera un honneur de pouvoir essayer la moto championne du monde et de porter la combinaison avec laquelle j'ai gagné dans le passé", se réjouit le pilote tout-terrain (MotoGP l’automne dernier, Dakar cet hiver et World Superbike ce printemps !), toujours très à l’aise sous la pluie...

Enfin, Ducati qui assure un tiers du plateau en MotoGP, s’apprête à lâcher ses motos électriques : la V21L est la nouvelle machine support du championnat MotoE qui débute ce week-end sur la piste du Bugatti. La tension (!) sera extrêmement élevée pour les pilotes car le roulage est extrêmement réduit...

Les essais se résument à deux mini-sessions d’un quart d’heure les vendredi matin et midi, puis les qualifs sont condensées en deux séances de 10 minutes le soir même. Le samedi, les deux courses seront lancées dans la foulée des qualifs et du Sprint MotoGP : le public restera-t-il nombreux dans les gradins ? Le spectacle devra pour cela être survolté...

Horaires du GP de France MotoGP 2023

Vendredi 12 mai

  • 08h30 à 08h45 : Essais 1 MotoE
  • 09h00 à 09h35 : Essais 1 Moto3
  • 09h50 à 10h30 : Essais 1 Moto2
  • 10h45 à 11h30 : Essais 1 MotoGP
  • 12h35 à 12h50 : Essais 2 MotoE
  • 13h15 à 13h50 : Essais 2 Moto3
  • 14h05 à 14h45 : Essais 2 Moto2
  • 15h00 à 16h00 : Essais 2 MotoGP
  • 17h00 à 17h10 : Qualifications 1 MotoE
  • 17h20 à 17h30 : Qualifications 2 MotoE

Samedi 13 mai

  • 08h40 à 09h10 : Essais 3 Moto3
  • 09h25 à 09h55 : Essais 3 Moto2
  • 10h10 à 10h40 : Essais libres MotoGP
  • 10h50 à 11h05 : Qualifications 1 MotoGP
  • 11h15 à 11h30 : Qualifications 2 MotoGP
  • 12h10 : Course 1 MotoE
  • 12h50 à 13h05 : Qualifications 1 Moto3
  • 13h15 à 13h30 : Qualifications 2 Moto3
  • 13h45 à 14h00: Qualifications 1 Moto2
  • 14h10 à 14h25 : Qualifications 2 Moto2
  • 15h00 : Course Sprint MotoGP
  • 16h10 : Course 2 MotoE

Dimanche 14 mai

  • 09h45 à 09h55 : Warm-up MotoGP
  • 10h00 à 10h35 : Parade des pilotes MotoGP
  • 11h00 : Course Moto3
  • 12h15 : Course Moto2
  • 14h00 : Course MotoGP

Circuit Bugatti du Mans

  • Meilleur tour en course : Bagnaia (Ducati) 1’ 31,778 en 2022
  • Meilleur chrono absolu : Bagnaia (Ducati), 1’ 30,455 en 2022
  • Vitesse maxi : Marquez (Honda), 323,7 km/h en 2022
  • Longueur : 4,19 km
  • Ligne droite : 624 m
  • Virages : 14 (5 gauche, 9 droit)
  • Course Sprint : 12 tours (55 km)
  • Course : 27 tours (113 km)

Podium 2022

  1. Bastianini (Ducati)
  2. Miller (Ducati)
  3. Espargaro (Aprilia)

Horaires, enjeux et objectifs du GP d’Espagne MotoGP 2023

Objectifs des pilotes au GP de France 2023

(dans l’ordre du classement provisoire MotoGP 2023)

1er - Pecco Bagnaia, Ducati n°1 :
Non communiqué

2ème - Marco Bezzecchi, Ducati n°72 :
"Le Mans est un circuit historique du championnat et à part la météo, qui a parfois été un peu délicate, c'est un circuit que j'aime et où j'ai été rapide. Nous n'avons pas été parfaits à Jerez, le vendredi a affecté tout le week-end, ce que nous avions supposé, mais qui ne nous était jamais arrivé jusqu'alors. Lors du test (le lundi suivant, NDLR), j'ai retrouvé mes sensations et je suis heureux. Nous commençons tout de suite fort dès les essais libres et nous ne nous laissons pas surprendre afin de pouvoir gérer le GP de la meilleure façon possible. ".

3ème - Brad Binder, KTM n°33 :
NC

4ème - Jack Miller, KTM n°43 :
NC

5ème - Maverick Vinales, Aprilia n°12 :
NC

6ème - Luca Marini, Ducati n°10 :
"Le week-end du Mans est toujours un grand point d'interrogation : la météo peut vraiment faire la différence. Espérons qu'il fasse sec, ensoleillé et que les températures soient bonnes. Sinon, il ne faudra pas se laisser surprendre et il faudra être capable de gérer les conditions intermédiaires de la piste de la meilleure façon possible. Nous apporterons les données des essais de Jerez, nous avons fait du bon travail, nous ferons d'autres essais ici et nous essaierons d'être compétitifs dès le départ. Au vu des résultats des premières courses, les FP de vendredi sont cruciales pour pouvoir prétendre au podium dans le Sprint puis en course dimanche".

9ème - Johann Zarco, Ducati n°5 :
"À Jerez, j’ai essayé de hausser un peu le niveau pour déjà préparer le GP de France d’une certaine façon. Je m’étais mis en tête de gagner et je m’étais dit : "on verra où ça nous mène". Samedi, je n’étais pas très loin, le groupe de tête était là, juste devant moi. Et dimanche pareil, j’étais cinquième quand je suis tombé à sept tours de la fin : malheureusement, ce sont des choses qui arrivent. C’est frustrant car je laisse échapper 11 précieux points. Cela dit, le bilan reste positif car il y a eu beaucoup de changements (dans son team comme dans son entourage, NDLR) et ça nécessite un certain temps pour que tout se mette correctement en place. Au niveau technique, ça fait quasiment trois ans que la Desmosedici constitue la référence. Et j’ai la chance de l’avoir chez Pramac. Du coup à moi d’aborder les choses de façon un peu différente, afin de débloquer ce fameux compteur de victoires. Là, avec l’énergie du public et une piste différente, qui m’a souvent réussi par le passé, il faut viser haut ! Tu sens que tu es en France et qu’il y a un très gros engouement autour de la moto. Puis l’avantage avec Fabio, c’est qu’on a deux profils bien distincts, on n’est pas de la même génération : de quoi combler tout le public. Il y en a pour les deux, chacun s’y retrouve !"

11ème - Fabio Quartararo, Yamaha n°20 :
"Le potentiel est là en matière de vitesse. Le problème, c’est qu’on n’arrive pas à l’exploiter pour faire la différence sur un time-attack ou doubler des pilotes,. Dès lors, on ne roule plus de la même façon. Remédier à ces deux éléments est vraiment la priorité à ce stade. Pour l’instant, je ne pense pas trop au championnat. Avec l’équipe, on essaie juste de trouver une solution, pour avant tout s’amuser en course. Le Grand Prix au Mans est toujours un moment spécial pour nous en tant que Français, sachant que c’est la seule épreuve dans notre pays. Dans l’esprit, j’y vais bien sûr pour me battre devant, mais il y a tellement de paramètres à prendre en compte, que c’est difficile de prédire une place à laquelle on peut espérer terminer. Tout dépend à vrai dire de nos qualifications et de notre premier tour, car notre rythme nous permettrait clairement de jouer la victoire sur presque tous les Grands Prix, je crois. On l’a bien vu à Jerez !"

19ème - Marc Marquez, Honda n°93 :
"Je suis vraiment heureux d'être de retour au sein du Repsol Honda Team et d'être sur le point de remonter sur ma moto. Je tiens tout d'abord à remercier mon équipe médicale pour son professionnalisme et ses conseils au cours des dernières semaines. En tant que pilote bien sûr, vous voulez toujours revenir le plus vite possible, mais avec une blessure comme celle-ci, il était vraiment important de la laisser guérir. Mais cetet fois c’est bon, je me concentre pleinement sur la course, je n'ai plus d'inquiétude à propos de la blessure puisqu'elle est complètement guérie. Voyons ce que nous réserve le GP de France et, surtout, travaillons au maximum de nos capacités".

23ème - Raul Fernandez, GasGas n°37 :
"Je suis très enthousiaste à l'idée de me rendre au Mans après les progrès que nous avons réalisés la semaine dernière lors du test de Jerez. Je suis persuadé que nous pouvons faire un pas de plus pendant les courses, alors j'ai hâte d'y aller. Le Mans est un circuit que j'aime bien, j'ai gagné la course l'année dernière en Moto2 et j'y ai obtenu de bons résultats par le passé. Je suis impatient".

Historique du Grand Prix de France MotoGP

.

.

.

Les derniers essais MNC

Essai vidéo des trails QJMotor SRT600SX et SRT700SX Touring

QJMotor, distribué par la SIMA, investit le segment préféré des motards européens : les trails. Et le constructeur chinois ne fait pas les choses à moitié avec deux motos bien motorisées (accessibles A2) et équipées de pied en cap jusqu'à la bagagerie incluse, en plus de de périphériques flatteurs. Ces SRT 600 SX et SRT 700 SX Touring peuvent-elles faire trembler les références ? Réponses dans notre essai complet en vidéo.
Royal Enfield Bear 650 2025 : notre essai en vidéo

Jantes à rayons de 19 et 17 pouces, pneus à crampons, grosses suspensions, simple échappement orienté vers le haut (mais pas trop, pour éviter les brûlures), selle plate et guidon typé cross ? Aucun doute, Royal Enfield se lance dans le scrambler avec sa Bear 650. Moto-Net.Com a pu la tester sur routes… mouillées !
Nouveautés 2025 2 commentaires
Essai QJMotor SRK600 RS 2025 : Chine mais pas toc !

Une sportive A2 punchy et bien équipée, à moins de 6500 euros : c'est forcément une moto d'occasion. A moins de se tourner vers l'ambitieux constructeur chinois QJMotor, distribué par la SIMA, et sa SRK 600 RS. Essai. 
Yamaha Ténéré 700 2025 et Rally : notre essai complet en vidéo

Bien qu'attaquée de toutes parts, la Ténéré 700 reste le trail de référence chez les moyennes cylindrées, notamment grâce à son moteur CP2 qui passe en 2025 à Euro5+, au ride-by-wire et aux modes moteur gérés via de nouveaux commodos et un grand écran. Partie-cycle et look évoluent aussi. Essai vidéo de la nouvelle T7 et de sa version Rally !

A lire aussi sur le Journal moto du Net

Fabio Quartararo claque une pole record au GP de France 2025 !

Après Jerez, Le Mans ! Aux commandes de sa Yamaha M1 - beaucoup ? - moins performante que les Ducati des frères Marquez (toujours dans le coup, rassurez-vous), Fabio Quartararo signe sa seconde pole d'affilée : le public français exulte et scande une Marseillaise. La première du week-end ? Belle perf aussi de Vinales, 5ème pour l'écurie varoise Tech3. Passé par la Q1, Zarco chute en Q2 et partira 11ème.
France 2 commentaires
Victoires de Dunlop et Todd en ouverture de la North West 200 2025

Michael Dunlop ne s'est pas dégonflé. Malgré une douloureuse chute aux essais et une longue période de disette à la North West 200, le nord-irlandais a remporté devant son public deux victoires ce jeudi 8 mai 2025, en Supersport sur Ducati (!) et en Superstock sur BMW. En Superbike et sur M1000RR aussi, Davey Todd a pris la succession du retraité Glenn Irwin.
Essai vidéo des trails QJMotor SRT600SX et SRT700SX Touring

QJMotor, distribué par la SIMA, investit le segment préféré des motards européens : les trails. Et le constructeur chinois ne fait pas les choses à moitié avec deux motos bien motorisées (accessibles A2) et équipées de pied en cap jusqu'à la bagagerie incluse, en plus de de périphériques flatteurs. Ces SRT 600 SX et SRT 700 SX Touring peuvent-elles faire trembler les références ? Réponses dans notre essai complet en vidéo.
Royal Enfield Bear 650 2025 : notre essai en vidéo

Jantes à rayons de 19 et 17 pouces, pneus à crampons, grosses suspensions, simple échappement orienté vers le haut (mais pas trop, pour éviter les brûlures), selle plate et guidon typé cross ? Aucun doute, Royal Enfield se lance dans le scrambler avec sa Bear 650. Moto-Net.Com a pu la tester sur routes… mouillées !
Nouveautés 2025 2 commentaires
L'Euro Festival Harley-Davidson paré à vibrer dans le Golfe de St-Tropez

Les ponts du mois de mai 2025 sont l'occasion de faire de la moto ! Ou la fête ? Harley-Davidson propose les deux à la fois en relançant son ''famous'' Euro Festival qui se tiendra du 8 au 11 mai prochains à Grimaud et sur ses routes environnantes. Demandez le programme !

Calendrier MotoGP 2025

Plateau : Les pilotes et leurs motos 2025

GP moto de Thaïlande 02 mars : GP de Thaïlande
GP moto d'Argentine  16 mars : GP d'Argentine
GP moto des Amériques 30 mars : GP des Amériques
GP moto du Qatar 13 avril : GP du Qatar
GP moto d'Espagne 27 avril : GP d'Espagne
GP de France moto 11 mai : GP de France
GP moto de Grande-Bretagne 25 mai : GP de Grande-Bretagne
GP moto d'Aragon 08 juin : GP d'Aragon
GP moto d'Italie 22 juin : GP d'Italie
GP moto des Pays-Bas 29 juin : GP des Pays-Bas
GP moto d'Allemagne 13 juillet : GP d'Allemagne
GP moto de République Tchèque 20 juillet : GP de République Tchèque (sous réserve)
GP moto d'Autriche 17 août : GP d'Autriche
GP moto de Hongrie 24 août : GP de Hongrie (sous réserve)
GP moto de Catalogne 07 septembre : GP de Catalogne
GP moto de Saint-Marin 14 septembre : GP de Saint-Marin
GP moto du Japon 28 septembre : GP du Japon
GP moto d'Indonésie 05 octobre : GP d'Indonésie
GP moto d'Australie 19 octobre : GP d'Australie
GP moto de Malaisie 26 octobre : GP de Malaisie
GP moto du Portugal 09 novembre : GP du Portugal
GP moto de Valence 17 novembre : GP de Valence

SAISON 2025   |   SAISONS PRÉCÉDENTES

  • En savoir plus...