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GUIDE MNC HIVER
Paris, le 6 décembre 2023

Rouler à moto en hiver : astuces et équipements

Rouler à moto en hiver : astuces et équipements

Affronter l'hiver à moto sans trembler avec toutes les astuces des essayeurs Moto-Net.Com, ainsi que les conseils et équipements indispensables pour se protéger efficacement du froid. Guide pratique pour les motards qui n'ont pas froid aux yeux !

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L'hiver n'est pas la meilleure saison pour la moto en raison de son exposition "naturelle" au froid et aux intempéries, et pourtant : tous les motards n'hibernent pas au 21 décembre, date d'entrée officielle de l'hiver ! Le tout est de se préparer pour combattre le froid et l'humidité - principales contraintes climatiques - et de s'équiper en conséquence. Comment s'y prendre ? Rien de plus simple : suivez ce guide pratique Moto-Net.Com avec nos astuces et conseils pour déjouer les rigueurs de la saison hivernale. 

Rappelons que la perception du froid varie selon la température et la protection de la moto (sans blague ?!), mais aussi en fonction des individus et de leur localisation : une journée glaciale à Marseille n'est pas la même qu'à Amiens. Il convient également de différencier "froid réel" et "froid ressenti" : le premier désigne la température à l'arrêt, l'autre en dynamique. Plus la moto se déplace rapidement plus le ressenti est vif : ce rapport se calcule avec l'indice de refroidissement éolien (IRE) qui révèle qu'une température de 0°C à l'arrêt dégringole à -10°C à 90 km/h, puis à -15°C à 130 km/h.

Rouler à moto en hiver : les conseils MNC

Plus percutant encore : quand l'air est à -10°C, roulez sur autoroute à 130 km/h amène à subir l'équivalent de -25°C ! Ralentir l'allure est donc fortement conseillé, d'autant que cela augmente la marge de sécurité dans des conditions de roulage plus difficiles : adhérence précaire, visibilité réduite, réflexes ralentis par le froid, etc. Et cela contribue aussi à la préservation d'une espèce hautement menacée : le capital points de votre permis de conduire. 

En termes d'alimentation, la nourriture doit être adaptée en hiver puisque le corps brûle davantage de calories pour produire de la chaleur, augmentation de ses besoins à la clé. Une alimentation équilibrée est recommandée : fuyez le McPasBon et l'affreux triangle de station-service (celui avec supplément Sans-Plomb à 14 balles : mon préféré !). Privilégiez les sucres lents comme les pâtes et féculents, les aliments riches en protéines comme les viandes, poissons, oeufs et produits laitiers, ainsi que les fruits et légumes. Profitez aussi des apports en magnésium et oligo-éléments du chocolat noir et n'hésitez à pas à grignoter des abricots secs, riches en carotène.

Un corps maintenu en forme lutte par ailleurs plus efficacement contre les rigueurs de l'hiver : faire un minimum de sport est donc plus que jamais à (re)mettre à l'ordre du jour. Privilégiez les activités extérieures comme le jogging ou le vélo, car l'organisme apprend ainsi à se protéger contre les différences de températures. Depuis le temps que vos baskets moisissent dans le carton "bonnes résolutions" : l'hiver est enfin le moment de les en sortir. Reste à trouver la motivation, mais ça c'est une autre histoire !

Manger, bouger et boire... de l'eau !

Le froid et la sudation engendrée par le suréquipement - empiler sept couches est le meilleur moyen pour se changer en "sauna-mobile" ! - accentuent la déshydratation : pensez à boire régulièrement et à multipliez les pauses avec une boisson chaude. On parle d'un café, d'un thé ou d'un chocolat, pas d'un vin chaud ! Car contrairement aux idées reçues, l'alcool ne réchauffe pas l'organisme : il déplace en réalité la chaleur interne vers la surface du corps, par vasodilatation cutanée.

 

C'est cet afflux de sang chaud en surface qui donne cette sensation de chaleur après l'ingestion d'alcool. Alors que l'inverse se produit dans votre corps : la température corporelle descend de l'ordre d'un demi degré pour cinq unités d'alcool ! De surcroît, l'alcool altère dangereusement les réflexes - déjà engourdis par le froid - en plus de favoriser la somnolence et la prise de risques. Sans parler que l'époque du petit dernier pour la route est depuis longtemps révolue : aujourd'hui le ballon vous amène directement au placard... sans passer par la case départ et empocher 20 000 €.

Autres recommandations bonnes à connaître pendant l'hiver : pensez à toujours embarquer un vêtement de pluie, qui constitue une barrière efficace contre le vent et le froid ressenti. En cas de soudaine baisse de mercure, ça peut servir ! Réimperméabiliser  par ailleurs régulièrement votre tenue, car les traitements déperlant et d'étanchéité se dégradent avec le temps : l'eau imbibe alors les tissus et glace le bonhomme en dessous. L'équipement qui, justement, doit par ailleurs fait l'objet d'un choix attentif...

S'équiper pour rouler à moto en hiver : les sous-vêtements

La tête - à l'instar de toutes les extrémités  - doit faire l'objet de toutes les attentions. Selon certains spécialistes, entre "30 et 50%" de la chaleur corporelle peut être perdue par son seul biais ! C'est pourtant la zone la plus fréquemment négligée par les motards et scootéristes. Moto-Net.Com recommande la cagoule pour s'en prémunir, malgré son aspect peu seyant voire braqueur de banques. Le casque joue également un rôle important :  un intégral isole en toute logique davantage qu'un jet.

 

De même, la qualité du casque et de son système de ventilation peuvent faire une réelle différence. Exemple avec les mousses internes : un revêtement qualitatif et respirant régule mieux la transpiration et favorise une meilleure isolation thermique. De même, par temps froid et humide, un dispositif de ventilation efficace évite d'avoir à ouvrir toutes les aérations - voire d'entrebâiller l'écran - pour lutter contre la formation de buée sur la visière. Sur ce point, une lentille antibuée comme la référence Pinlook reste la solution la plus efficace.

Autre zone à préserver : le cou. Un tour de cou est indispensable pour éviter la gorge qui gratte tout l'hiver. La plupart du temps, un simple "tube" en fibres polaires se révèle suffisant, mais des tours de cou dotés d'un plastron plus ou moins long sont aussi disponibles dans les magasins d'équipement . Moins pratiques à enfiler, ils sont toutefois plus efficaces car le plastron protège le haut du torse et réduit les risques d'entrées d'air sur le bas du cou. A noter que que certaines cagoules jouent aussi le rôle de tour de cou via une rallonge de tissu, ce qui permet de raccourcir les fastidieuses séances "d'habillage-déshabillage" !

Trois couches sinon rien

Avant d'enfiler votre blouson et son pantalon d'hiver, gardez à l'esprit que le rôle de ces équipements est plus d'isoler du froid que de fournir de la chaleur : ce sont les autres vêtements en dessous qui vont maintenir la chaleur corporelle. La tenue vestimentaire hivernale idéale repose sur une règle de trois couches pour trois objectifs : des sous-vêtements près du corps - maillot, collant, et chaussettes - pour maintenir la température et absorber la transpiration, une seconde épaisseur type pull ou sweat-shirt en polaire pour conserver la chaleur et une dernière couche isolante, soit l'ensemble blouson et pantalon imperméables et coupe-vent.

 

Concernant les sous-vêtements, la plupart des équipementiers proposent des ensembles thermiques - une ou deux pièces - en textiles synthétiques et élastiques. Particulièrement recommandés par grand froid, leurs propriétés anti-transpirantes se montrent supérieures à celles de leurs pendants en coton qui conservent l'humidité. Rappelons que rouler avec des vêtements humides en hiver, c'est le coup de froid assuré ! Soyez attentif à ne pas vous "suréquiper" pour éviter de transpirer excessivement. Lorsque la température avoisine les 10°C et que la durée du trajet est inférieure à une heure, des sous-vêtements thermiques n'ont rien d'indispensable. 

Conseils MNC sur les sous-vêtements moto d'hiver 

  • Préférez les tours de cou dotés d'un cordon : plus le tissu est maintenu au contact de la peau, moins elle sera exposée aux courants d'air
  • Évitez les pulls avec de gros cols sous un tour de cou : la superposition de couches empêche de bien refermer le col de son blouson ou d'enfiler le haut du tour de cou dans le casque, ce qui entraîne des "fuites" de chaleur considérables
  • Evitez l'écharpe en laine de mamie : non seulement des fibres synthétiques comme le polaire se montrent plus isolantes et respirantes, mais le risque qu'elle se détache avec le vent et s'enroule dans le kit chaîne ou la roue arrière n'est pas à écarter...
  • Respirez par le nez plutôt que par la bouche : l'air aura le temps de se réchauffer - un peu - avant de descendre dans les poumons
  • Équipez-vous au tout dernier moment pour ne pas être en nage au moment de monter sur votre moto !
  • Les rayons "Montagne" ou "Randonnées" des magasins de sport proposent des sous-vêtements parfaitement adaptés aux besoins des motards. Et souvent moins cher que chez les équipementiers moto !
  • Evitez la superposition de vêtements trop épais, car ils réduisent votre amplitude de mouvements : trop engoncé, le motard manque de réactivité et de sensibilité. En outre, il transpire plus facilement et, à terme, se refroidit.

S'équiper pour rouler à moto en hiver : les vestes et blousons

En progrès constants, les gammes "Hiver" des principaux manufacturiers moto offrent de bonnes performances contre le froid et la pluie : l'alliance de matières synthétiques à la fois respirantes et isolantes -Polartec, Thinsulate - et de membranes étanches comme le Gore-Tex et l'Hipora sont à l'origine de ces qualités. Mais le coût de ces technologies reste élevés : soyez attentifs à leurs caractéristiques pour éviter de cruelles - et froides - déconvenues.

 

Le premier équipement - le plus cher - est le blouson ou la veste d'hiver. Ce vêtement de préférence en textile - plus étanche et respirant que le cuir - doit proposer un maximum de réglages ergonomiques pour s'ajusté à votre morphologie, tout en évitant les les courants d'air. Pour la même raison, optez pour un modèle suffisamment long pour couvrir le bas du dos : gardez à l'esprit que beaucoup de motos engendrent une position plus ou moins penchée vers l'avant. Se retrouver les reins exposés au froid n'a rien d'agréable, même sur une sportive dernier-cri  !

Votre équipement doit comporter au minimum deux doublures : une doublure chaude - souvent en polyester - et une membrane étanche de type Sympatex ou Gore-Tex, sur les modèles haut de gamme. Veillez à ce qu'elles recouvrent l'intégralité du buste et des bras : certains blousons se contentent de gilets, qui se montrent insuffisants par temps très froid. Une doublure fixe en tissus maillés Mesh est par ailleurs bienvenue pour évacuer le surcroît de chaleur et la transpiration.

Rappelons à toutes fins utiles que les blousons et vestes d'hiver sont destinés à affronter la pluie : ils doivent se montrer parfaitement imperméables ! Vérifier que les zips d'aérations et de poches sont recouverts d'une bande étanche pour éviter les fuites. Même chose pour la fermeture éclair centrale : un rabat étanche sur le dessus est un allié précieux. Privilégiez par ailleurs les cols hauts et doublés pour isoler le cou, notamment si vous avez décidé de faire l'impasse sur le tour de cou (ou si vous l'avez encore oublié à l'entrée du garage).

Enfin, un bon équipement d'hiver ne doit négliger ni la sécurité - protections homologuées, inserts réfléchissants -, ni les aspects pratiques : des espaces de rangements facilement accessibles et un zip pour raccorder la veste au pantalon sont hautement appréciables. De même, disposer d'une poche étanche sur une manche permet de sortir la carte bleue au péage ou la télécommande du garage sans avoir à ôter ses gants ni ouvrir son blouson : autant d'exposition directe au froid en moins !

S'équiper pour rouler à moto en hiver : les pantalons

Proposé sous forme d'ensemble avec le blouson ou la veste ou acheté séparément, le pantalon moto pour l'hiver doit répondre aux mêmes impératifs : assurer une fonction coupe-vent et disposer d'une doublure chaude et étanche. La rédaction de Moto-Net.Com recommande de choisir une doublure détachable pour pouvoir porter le pantalon à la mi-saison.

D'autant qu'une fois la doublure ôtée, il est parfois possible d'enfiler directement le pantalon d'hiver au dessus d'un jean : pratique pour éviter d'avoir de passer par la case "vestiaire" arrivé au bureau. Intéressez-vous aussi au système d'ouvertures inférieures : le bas des jambes doit être suffisamment large pour laisser passer de grosses bottes d'hiver. La plupart des pantalons d'hiver s'ouvrent sur leur partie basse à cet effet : veillez à ce que les fermetures éclair ou les scratches soient faciles à manipuler et d'aspect robuste.

Pour éviter les courants d'air, choisissez un pantalon d'hiver qui s'attache à votre blouson et dont l'arrière remonte sur les reins : cela permet de recouvrir hermétiquement le bas du dos et garantit une sécurité accrue en cas de glissade. Enfin, des poches fermant par zips, des protections aux genoux et aux hanches, des inserts réfléchissants ainsi que des renforts sur les zones exposées (hanches, genoux et fesses) constituent des points pratiques et sécuritaires à privilégier.

S'équiper pour rouler à moto en hiver : bottes et chaussures

La plupart du temps directement exposées aux intempéries, les bottes d'hiver doivent concilier confort, isolation et protection : un sacré challenge qui entraîne fatalement son lot de compromis. C'est pourquoi il est capital d'identifier précisément ses besoins, qui ne sont pas les mêmes pour un scooteriste qui parcourt 15 km par jour en centre-ville et pour le baroudeur prêt à braver la neige pour sillonner les petites routes du nord de la France !

 

Dans le premier cas, le critère de confort primera sur l'efficacité : inutile de choisir d'encombrantes bottes "Touring". Un modèle plus léger suffit, complété éventuellement par des sur-bottes ou sur-chaussures les jours de fortes pluies. Pour les roulages au long cours, en revanche, les bottes en cuir pleine fleur sont indiquées. L'étanchéité optimale passe par un enduit étanche doublée d'une membrane imperméable et respirante, le tout avec coutures thermo-soudées.  Un insert interne en tissu synthétique assure l'isolation thermique.

Attention de ne pas négliger la protection : des renforts au-dessus des orteils et des tibias sont impératifs, ainsi qu'un dispositif anti-torsion pour les chevilles, des renforts aux talons renforcés et des protections sur les malléoles. 

Conseils Moto-Net.Com sur les bottes d'hiver moto

  • Les bottes conservent plus longtemps souplesse et imperméabilité si elles sont régulièrement nettoyées, graissées et imperméabilisées
  • En cas de soudaines prises d'eau, fabriquez une paire de chaussettes étanches avec des sacs plastiques : un remède de grand-mère pratique et économique !
  • A l'instar de tous les équipements avec membrane étanche, évitez de faire sécher vos bottes au-dessus d'un radiateur pour ne pas détériorier la fonction imperméabilisante
  • Le dispositif d'ouverture-fermeture doit être solide et suffisamment large pour permettre de porter d'épaisses chaussettes
  • La fermeture éclair doit impérativement être recouverte d'un rabat d'étanchéité pour éviter les "fuites"
  • Choisissez un modèle avec une semelle étanche, antidérapante et résistante aux hydrocarbures. Fuyze les semelles trop rigides qui nuisent tant au confort qu'au feeling 

S'équiper pour rouler à moto en hiver : les gants

Attention, zones sensibles ! Les mains, comme toutes les extrémités du corps, se montrent très vite sensibles au froid et à l'humidité. Elles demandent donc une très bonne protection en hiver. Premier facteur à prendre en compte : à de rares exceptions près, plus le rembourrage ouaté est épais et plus la dextérité du pilote et sa sensibilité sur les commandes sont réduites...

 

Or, plus ils sont fins et plus vite vous aurez froid ! Un constat presque "Lapalissien", mais qui complique singulièrement le choix. Privilégiez les gants à l'épaisseur adaptée aux différentes zones de la main : les besoins en mobilité et l'exposition n'étant pas les mêmes au niveau des doigts que du poignet, la quantité de rembourrage peut varier au bénéfice de la sensibilité. Certains équipementiers proposent sinon des gants de type "pince", dans lesquels les doigts sont maintenus deux par deux pour minimiser les déperditions de chaleur.

Autre solution, plus élégante : des sous-gants en soie, qui assurent une isolation supplémentaire appréciable. Mais leur épaisseur supplémentaire- bien que minime - peut nuire là encore au toucher sur les commandes. Enfin, comme pour le reste de votre panoplie d'hiver, les gants d'hiver doivent présenter un insert étanche de qualité et des ajustements ergonomiques. Par ailleurs, leur revêtement externe doit impérativement avoir reçu un traitement déperlant afin d'éviter que le tissu ne se gorge d'eau sous la pluie.

Conseils Moto-Net.Com sur les gants d'hiver moto 

  • Vérifiez à ce que vos gants soient rembourrés des deux côtés : certains modèles - même annoncés "d'hiver" ! - ne présentent qu'une couche de ouate sur le dessus de la main afin de gagner en maniabilité
  • Enfiler les manchons de ses gants sous les manches de sa veste permet de limiter les entrées d'eau sous la pluie. Contrepartie : des courants d'air au niveau du poignet. Solutions : adopter des gants avec deux manchons : le premier, long et étanche, à placer sur la veste, le second en dessous. Plus laborieux à enfiler, mais efficaces !
  • Les gants les plus chers ne sont pas forcément les plus efficaces. Toutefois, fabriquer de bons gants d'hiver réclament un savoir-faire et des matériaux spécifiques : méfiance, donc, face aux prix "discount"...
  • Les chaufferettes disponibles dans les magasins de sport, peu onéreuses et facilement transportables dans un sac à dos, constituent un recours salutaire pour se réchauffer rapidement
  • Côté pratique, certains gants reçoivent une raclette pour enlever l'eau de la visière : un vrai plus sécuritaire sous la pluie
  • La protection contre les chutes ne doit pas être négligée : des protections homologuées ou des renforts doivent protéger phalanges, poignet, tranchant et paume

Rouler à moto l'hiver : les accessoires et équipements chauffants

Lorsque la température passe sous 0°C et que la durée du trajet est supérieure à deux heures, l'équipement, aussi bon soit-il, ne suffit plus pour lutter contre le froid : il convient d'équiper son deux-roues en conséquence, par exemple avec un tablier qui prend le forme d'une couverture ou des manchons.

 

Sur certaines motos, l'ajout d'un demi-carénage, d'une bulle haute et de pare-mains est une bonne solution pour se couper des morsures du vent. Mais c'est surtout en optant pour des accessoires chauffants que le gain sera le plus sensible : certains modèles disposent notamment de poignées et selles chauffantes, de série ou en option, qui sont un luxe dont on peut difficilement se passer après y avoir goûté !

Enfin, la plupart des équipementiers proposent des vêtements chauffés électriquement, le plus souvent par l'intermédiaire de batteries amovibles : gants et gilets sans manche chauffants sont une invention géniale, tout comme les semelles chauffantes.  Les équipements les plus évolués sont paramétrables depuis son smartphone avec une application dédiée. 

 A noter : ce guide pratique est une réédition mise à jour de notre article publié le 23 décembre 2015.

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