L'info doit encore être officialisée, mais le team Honda Repsol aurait finalement trouvé un remplaçant à Dani Pedrosa , et pas n'importe lequel : l'australien Mick Doohan, détenteur de cinq titres consécutifs en GP500 sur la Honda officielle de 1994 à 1998 ! Un retour complètement inattendu sur lequel revient l'homme fort des années…
L'info doit encore être officialisée, mais le team Honda Repsol aurait finalement trouvé un remplaçant à Dani Pedrosa, et pas n'importe lequel : l'australien Mick Doohan, détenteur de cinq titres consécutifs en GP500 sur la Honda officielle de 1994 à 1998 ! Un retour complètement inattendu sur lequel revient l'homme fort des années 90...
"Si Rossi gagne encore à 36 ans, pourquoi je ne courrais pas à 49 ans ?"
Pour le moins surpris par cette annonce, MNC a contacté Doohan pour connaître les raisons qui le poussent à reprendre le guidon, lui qui va fêter le 4 juin ses 50 ans, âge limite pour courir en MotoGP.
"L'âge n'a aucune prise sur le talent : l'important, c'est la motivation", nous a certifié l'ancien numéro 1 en faisant un parallèle avec l'éphémère retour de son compatriote Troy Bayliss en Superbike : "Troy l'a encore démontré récemment en venant tordre des petits jeunes sur une moto qu'il découvrait".
"Et puis, Rossi gagne bien encore des courses à 36 ans, face à des adversaires comme Marquez qui ont 15 ans de moins", note avec une pointe de malice l'expérimenté - c'est le moins qu'on puisse dire - pilote australien !
Reste deux inconnues de taille, dont la condition physique du natif de Brisbane, contraint de tirer sa révérence en 1999 après avoir lourdement chuté lors des essais du GP d'Espagne et s'être relevé avec le bras et la jambe cassés.
"Grâce aux progrès de la médecine et aux gains collectés dans ma carrière (Doohan est le premier pilote moto à avoir touché un salaire à 7 chiffres, NDLR), j'ai récupéré une mobilité suffisante pour piloter à nouveau : j'ai participé, anonymement bien sûr, à quelques courses de Superbe australien et mon rythme était au niveau des meilleurs", certifie Mick Doohan qui a notamment fait fructifier ses économies dans l'immobilier et dans une société de transport de "VIP" par hélicoptère.
"Les MotoGP actuelles sont sur-assistées par l'électronique"
Autre aspect crucial qui semble s'opposer à ce retour : Doohan n'a jamais piloté de MotoGP "moderne", 4-temps, bardée d'électronique. Un "détail" selon le champion, dont l'assurance et la confiance en lui ne semblent avoir pas changé d'un iota depuis sa retraite !
"Bien sûr qu'il y a aura une période d'acclimation, entre les pneus, le moteur et les réglages à découvir. Mais j'ai remporté cinq titres avec la NSR 500 Honda, qui était un véritable cheval sauvage : aujourd'hui, la moto est peut-être plus puissante de 50 ou 60 ch, mais elle est aussi sur-assistée", assure-t-il d'un ton rogue.
Pour autant, la légende des Grands Prix n'a selon nous aucune chance de jouer aux avant-postes lors de son retour programmé pour la prochaine course à Austin le 12 avril. Pour MNC, ce retour est surtout à considérer comme un coup de com' de la part du HRC, sans doute en vue de noyer le poisson après la désaffection surprise de Dani Pedrosa au Qatar...
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Plateau : Les pilotes et leurs motos 2025
02 mars : GP de Thaïlande
16 mars : GP d'Argentine
30 mars : GP des Amériques
13 avril : GP du Qatar
27 avril : GP d'Espagne
11 mai : GP de France
25 mai : GP de Grande-Bretagne
08 juin : GP d'Aragon
22 juin : GP d'Italie
29 juin : GP des Pays-Bas
13 juillet : GP d'Allemagne
20 juillet : GP de République Tchèque (sous réserve)
17 août : GP d'Autriche
24 août : GP de Hongrie (sous réserve)
07 septembre : GP de Catalogne
14 septembre : GP de Saint-Marin
28 septembre : GP du Japon
05 octobre : GP d'Indonésie
19 octobre : GP d'Australie
26 octobre : GP de Malaisie
09 novembre : GP du Portugal
17 novembre : GP de Valence
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