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MOTOGP 2010 - MOTEGI
Paris, le 4 octobre 2010

Grand Prix du Japon : déclarations, classements et analyses

Grand Prix du Japon : déclarations, classements et analyses

Chaque lundi suivant un Grand Prix, retrouvez les déclarations des principaux acteurs de la catégorie reine, les classements de la course et du championnat et l'analyse des performances des stars du MotoGP par l'équipe de Moto-Net.Com !

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Ce week-end à Motegi, les événements n'auront décidément guère souri aux Japonais dans leur propre jardin : outre le fait qu'aucun nippon ne soit parvenu à monter sur le podium, qu'Honda ait probablement vu s'envoler ses derniers espoirs avec le forfait de Pedrosa (lire MNC du 2 octobre 2010) et que Yamaha ait failli perdre gros dans le duel Rossi-Lorenzo, c'est en plus une Ducati qui a mis à l'amende les RCV212, M1 et autres GSV-R (lire nos comptes rendus complets des courses MotoGP, Moto2 et 125)...

Casey Stoner, Ducati (1er) : "Nous avons essayé autre chose durant le warm up mais ça n'a pas marché et je n'étais pas très à l'aise. Nous sommes ensuite revenus à ce que nous avions en qualifications en changeant l'orientation de nos réglages, nous avons eu un peu de chance et ça a marché !"

"Après les deux premiers tours, j'ai vu les temps que je pouvais faire et je savais que nous avions une opportunité de gagner, mais il a fallu se battre ! Andrea (Dovizioso, NDLR) était tout le temps là, il me poussait et à chaque fois que j'arrivais à creuser un petit écart pour souffler, il revenait tout de suite. J'ai été obligé d'attaquer durant toute la course et je n'ai pas pu me relâcher avant le dernier tour. C'est une victoire très importante pour nous, surtout sur ce circuit".

L'analyse Moto-Net.Com : Avec cette superbe victoire acquise au nez et à la barbe des constructeurs japonais, Casey Stoner signe sa deuxième victoire de la saison mais aussi sa 22ème en catégorie reine. A 24 ans (il atteindra le quart de siècle dans exactement douze jours) et pour sa cinquième saison en MotoGP, Stoner ajoute son nom aux côtés de légendes comme Geoff Duke, Kenny Roberts (Senior, bien sûr !) et John Surtees.

Longtemps en délicatesse avec sa Ducati avant la course, le champion du monde 2007 est finalement parvenu à trouver la vélocité qui lui manquait en choisissant de privilégier la motricité plutôt que la stabilité au freinage. Un pari visiblement pertinent sur un tracé japonais typé "stop and go" !

Si Stoner n'était pas forcément beaucoup plus rapide que son poursuivant direct Andrea Dovizioso (meilleur tour en course en 1'47.410 contre 1'47.528 pour "Dovi"), sa Ducati s'est montrée plus constante que la Honda, notamment en fin de course, ce qui lui permet de passer sous la drapeau à damiers avec 3,868 secondes d'avance sur le pilote officiel HRC .

Andrea Dovizioso, Honda-HRC (2ème) : "J'étais à 100% pendant toute la course, les chronos de Casey et les miens étaient assez impressionnants et très réguliers. Casey était très rapide au début quand les pneus n'étaient pas tout à fait à température et dès cet instant, j'ai su que ça allait être difficile de me battre avec lui"'.

"Je ne sais pas comment il a fait aujourd'hui, mais Casey a été incroyablement rapide. Il y a deux ou trois endroits où il était plus rapide que moi à chaque fois, mais j'ai vu qu'il était aussi à la limite j'ai donc continué à pousser. Garder ce rythme avec les pneus usés était difficile sur les derniers tours et j'ai failli partir sur un gros high side à trois tours de l'arrivée... A ce moment-là, je savais que je ne pouvais plus gagner".

L'analyse Moto-Net.Com : Absent du podium depuis huit courses déjà, Andrea Dovizioso a superbement inversé la tendance en signant sa première pole position en MotoGP et une magnifique seconde place devant les décideurs Honda. Certes, il se montre légitimement déçu de na pas avoir été en mesure de terminer devant le "Boulet rouge", mais ses performances du week-end lui permettent de ravir la quatrième place du championnat provisoire à un certain Valentino Rossi !

Cette position met le HRC au supplice, puisque contractuellement le n°4 devait être reconduit dans l'équipe officielle Honda en 2011 s'il apparaissait dans le Top 5... Or, avec l'embauche de Stoner et la reconduction du contrat de Pedrosa au HRC, la destinée du sympathique transalpin - qui vient tout de même de signer le 250ème podium depuis qu'Honda et Repsol se sont associés en 1995 - semble pourtant de devoir intégrer une équipe privée en 2011...

Valentino Rossi, Fiat-Yamaha ( 3ème) : "Quelle course ! J'aurais évidemment préféré me battre pour la victoire, mais c'était quand même sensationnel, un vrai show et je veux féliciter Jorge parce qu'il a été très fort et n'a rien lâché ! J'ai malheureusement perdu du temps au départ lorsqu'il m'est passé devant, quand Stoner et Dovizioso se sont échappés. Lorsque je l'ai doublé, ils étaient déjà trop loin. A la fin j'étais fatigué et mon pneu glissait beaucoup, il était un peu plus tendre que ce que j'espérais et je savais que j'allais avoir des problèmes, mais je voulais vraiment ce podium".

"Jorge m'a rattrapé et nous avons eu une superbe bagarre, une vraie course, et je pense que tous ceux qui regardaient ont apprécié. Le week-end a été excellent parce que nous nous attendions à ce que ce soit plus difficile, mais en fait nous avons été forts à chaque séance et on a très bien travaillé sur la moto. Mon épaule va bien pour l'instant alors nous verrons si nous pouvons continuer comme ça en Malaisie ou faire encore mieux".

L'analyse Moto-Net.Com : Très performant aux essais et auteur du meilleur chrono en course (meilleur tour en 1'47.395), Valentino Rossi aurait effectivement pu tenter de se battre pour la victoire s'il avait pris un meilleur départ pour garder le contact avec Stoner et Dovizioso en début de course.

Au lieu de cela, le Docteur a dû "soigner" son patient le plus contrariant : Jorge Lorenzo... A quelques tours de l'arrivée, le majorquin a dépassé son illustre "coéquipier" histoire de récupérer les gros points de la troisième place... sans se douter une seconde que celui-ci préférerait prendre le risque de se mettre au tas plutôt que de terminer de nouveau derrière lui !

Placée sous le signe de la fierté, cette confrontation dantesque a surtout fait tomber les masques : en n'hésitant pas à entrer au contact avec son propre "coéquipier" - déjà quasiment assuré du titre mondial - pour conserver l'avantage, le n°46 prouve une fois encore que derrière son image de gendre idéal se cache un véritable tueur, comme en ont déjà fait l'amère expérience Max Biaggi (Welkom en 2004), Sete Gibernau (Jerez en 2005) ou Casey Stoner (Laguna Seca en 2008) !

Mortifiés devant l'agressivité de leur ancien chef de file, les responsables du team officiel Yamaha ont illico rappelé à la star de Tavullia que Jorge Lorenzo jouant le titre, il était plutôt censé l'aider en course... et non prendre le risque d'interrompre sa marche vers la couronne mondiale ! Mais allez donc demander à un pilote d'un tel calibre de mettre son ego dans poche face à son plus que probable successeur...

D'autant qu'en 2011, Rossi quitte Yamaha : il n'allait pas laisser passer l'occasion de montrer à tous qu'à matériel égal, le "vieux lion" était encore capable d'en remonter au "jeune tigre" ! Un côté "Loi de la jungle" par ailleurs parfaitement assumé par le nonuple champion du monde.

"Lorsqu'on est blessé et qu'on saigne, ceux qui sont plus jeunes se sentent plus forts et plus aptes à nous dévorer", a-t-il ainsi déclaré récemment à la presse italienne. "C'est comme dans la jungle mais ça me plaît, ça me va comme ça. Ils disent tous : "Ah ! Valentino ! C'est mon idole depuis que je suis tout petit". Mais ce n'est pas vrai, ce ne sont que des mensonges ! Je suis un obstacle, un rival, comme Biaggi l'a été pour moi !"

Jorge Lorenzo, Fiat-Yamaha (4ème) : " Le show a été génial pour tout le monde et pour l'industrie motocycliste. C'est fantastique, mais quand on est un pilote et qu'on est sur un prototype MotoGP qui va à 300 km/h en ligne droite et à 180-200 km/h dans les virages, et qu'on se fait bousculer par un autre pilote, ce n'est jamais plaisant parce qu'on sait qu'on met sa vie en péril... Je pense que les trois ou quatre dépassements que j'ai faits sur Valentino étaient corrects. D'un autre côté, ses manoeuvres étaient de mon point de vue légales mais à la limite"...

"Nous savons bien comment il aime se battre, c'était arrivé avant avec Gibernau, ensuite avec Stoner et maintenant avec moi. A l'avenir, peut-être que ses adversaires en auront assez et que nous ferons comme lui ! Nous sommes co-équipiers, je me bats pour le championnat, mais nous luttons aussi pour les championnats des teams et des constructeurs et nous devons garder ça à l'esprit. Je suis bien sûr déçu de manquer le podium parce que je voulais le faire ici chez Yamaha, mais c'est la course !"

L'analyse Moto-Net.Com : Déjà battu sur le fil par Rossi à Montmeló en 2009, Jorge Lorenzo pensait déjà savoir de quoi était capable son "coéquipier" pour gagner. Mais à Motegi, le majorquin s'est aperçu que malgré ses récentes promesses, le Docteur n'avait absolument pas l'intention de l'aider au championnat et qu'il était même prêt à risquer de le flanquer par terre pour satisfaire son orgueil !

Plusieurs fois à la limite, les deux pilotes Fiat-Yamaha ont offert un spectacle à couper le souffle qui a grandement participé à décupler l'intérêt d'un Grand Prix à l'issue qui semblait pliée dès le premier tour. En outre, si la combativité de Rossi entraîne des sentiments mitigés (lire vos commentaires !), les répliques immédiates de Lorenzo qui n'a rien voulu céder malgré son statut au championnat démontrent qu'il ne se contente pas d'assurer en attendant d'enfiler une couronne qui lui tend les bras dès le prochain Grand Prix en Malaisie !

Débarrassé de la menace Pedrosa suite à sa lourde chute en essais libres, l'espagnol a reconnu s'être fourvoyé dans le choix de son pneu avant (médium au lieu de dur pour ses rivaux). Il a également expliqué qu'il avait préféré conserver l'ancien moteur Yamaha pour être sûr de finir la course, tandis que Rossi bénéficiait de l'allonge supérieure de la nouvelle motorisation Yamaha, a priori plus gourmande en essence...

Colin Edwards - Yamaha Tech3 (5ème) : "En ce qui concerne le résultat, je suis vraiment heureux parce que c'est mon premier Top 5 de l'année et je pense que c'était mérité après tout le dur travail de l'équipe et de moi-même pour améliorer nos résultats ! De plus, c'est particulièrement important d'obtenir un bon résultat au Japon, une course très importante pour Yamaha et le team Tech3. Même si j'ai bien roulé, je suis tout de même un peu déçu de terminer à 27 secondes du vainqueur. C'est un écart énorme, alors que j'ai piloté aussi fort que je le pouvais... Je me sens bien sur la moto maintenant et nous avons amélioré la situation, mais je suppose que nous avons tiré le meilleur parti d'une moto non officielle".

L'analyse Moto-Net.Com : Transparent depuis le début de la saison, Colin Edwards réalise son meilleur résultat au Motegi depuis ses troisièmes places à Laguna Seca, Brno et San Marin.

Heureux de terminer devant son jeune et prometteur coéquipier Ben Spies - bien que la sortie de piste de ce dernier ne lui ait pas facilité la tâche ! -, l'expérimenté américain de 36 ans a fait preuve d'une combativité retrouvée en battant Marco Simoncelli et Loris Capirossi aux termes d'un fantastique duel.

Pour autant, comme il le souligne lui-même, Edwards termine à 27,092 secondes de Stoner et à plus de 20 secondes des Yamaha officielles de Rossi et Lorenzo : un véritable gouffre aux regards des performances possibles des YZF-M1 Tech3 que Spies a déjà emmenées deux fois sur le podium (Silverstone et Indianapolis) et dix fois dans le Top 7 !

Ben Spies, Yamaha - Tech 3 (8ème) : " Compte tenu de tout ce qui s'est passé ce week-end, je ne peux pas être totalement satisfait, même si je suis extrêmement content d'être revenu de la quinzième à la huitième place en course ! Nous avons fait un grand changement sur la géométrie de la moto avant la course et j'ai couru avec un amortisseur arrière que nous n'avions pas utilisé du week-end... C'était un gros pari, mais ça a payé. Dans le virage n°5, Loris Capirossi était devant moi et il m'a semblé freiner vraiment, mais alors vraiment très tôt ! Pour éviter de le heurter, j'ai dû m'écarter et faire un passage en dehors de la piste. J'ai alors roulé aussi fort que je pouvais et même si ce n'est pas mon meilleur résultat, c'était encore une bonne course".

L'analyse Moto-Net.Com : Qualifié quinzième sur le tracé du Motegi, Ben Spies n'a pas baissé les bras en course, malgré une sortie de piste qui lui a fait perdre huit secondes et le contact avec le second groupe. Le couteau entre les dents, le Texan s'est ensuite appliqué à remonter un par un ses adversaires, gratifiant les 40 113 spectateurs de superbes et osés dépassements pour finir huitième !

Sixième au provisoire avec seulement 27 points de retard sur Valentino Rossi, "Big Ben" n'en finit plus d'impressionner les observateurs de par sa vélocité et sa pugnacité : Jorge Lorenzo pourrait même rapidement regretter de faire équipe avec lui en 2011...

Randy de Puniet, Honda-LCR (9ème) : "Mon départ n'a franchement pas été des plus éclatants depuis la troisième ligne, mais j'ai tout de même pu me montrer bien incisif dans la première partie de la course. À l'entrée du cinquième virage dans le 10ème tour, j'ai eu un souci au rétrograde avec ma jambe qui commençait à fatiguer pour descendre les rapports. J'ai voulu passer la première alors que j'y étais déjà et suis tombé sur un faux point mort avant d'être contraint de garder l'embrayage pour tirer tout droit".

"Plusieurs pilotes en ont ainsi profité pour me passer. J'ai donc dû faire une course en solitaire ensuite, mais ça reste malgré tout un résultat réconfortant dans la mesure où l'on conserve notre 8ème place au championnat. Ça fait un petit bout de temps maintenant que l'on attendait de retrouver le bon chemin et le travail pointu effectué ce week-end en configuration course a visiblement porté ses fruits".

L'analyse Moto-Net.Com : Après deux modestes treizièmes places à Indianapolis et San Marin et sa chute à Aragon, Randy de Puniet renoue avec le Top10 : une performance qui tombe à pic pour le résident d'Andorre, actuellement à la recherche d'un guidon pour la saison 2011.

Brillant en début de championnat (6ème au Qatar, au Mans, à Silverstone et à Assen, puis 4ème en Catalogne), le seul pilote français en catégorie reine traversait en effet une mauvaise passe suite à sa blessure à la jambe. Bien qu'une légère sortie de piste l'ait privé d'une probable septième place, Randy démontre ainsi à son employeur que son talent et sa vélocité sont encore là : espérons que cela suffira à lui assurer une place en MotoGP la saison prochaine !

Résultats du Grand Prix du Japon 2010 MotoGP

  • 1 - 27 Casey STONER
  • 2 - 4 Andrea DOVIZIOSO
  • 3 - 46 Valentino ROSSI
  • 4 - 99 Jorge LORENZO
  • 5 - 5 Colin EDWARDS
  • 6 - 58 Marco SIMONCELLI
  • 7 - 19 Alvaro BAUTISTA
  • 8 - 11 Ben SPIES
  • 9 - 14 Randy DE PUNIET
  • 10 - 7 Hiroshi AOYAMA
  • 11 - 33 Marco MELANDRI
  • 12 - 69 Nicky HAYDEN
  • 13 - 40 Hector BARBERA
  • 14 - 41 Aleix ESPARGARO
  • 15 - 36 Mika KALLIO

    Non classé

  • Loris CAPIROSSI

    Classement général provisoire après Motegi

  • 1 - Jorge LORENZO Yamaha SPA 297
  • 2 - Dani PEDROSA Honda SPA 228
  • 3 - Casey STONER Ducati AUS 180
  • 4 - Andrea DOVIZIOSO Honda ITA 159
  • 5 - Valentino ROSSI Yamaha ITA 156
  • 6 - Ben SPIES Yamaha USA 139
  • 7 - Nicky HAYDEN Ducati USA 129
  • 8 - Randy DE PUNIET Honda FRA 88
  • 9 - Marco SIMONCELLI Honda ITA 84
  • 10 - Colin EDWARDS Yamaha USA 81
  • 11 - Marco MELANDRI Honda ITA 79
  • 12 - Hector BARBERA Ducati SPA 69
  • 13 - Alvaro BAUTISTA Suzuki SPA 58
  • 14 - Aleix ESPARGARO Ducati SPA 52
  • 15 - Loris CAPIROSSI Suzuki ITA 41
  • 16 - Hiroshi AOYAMA Honda JPN 35
  • 17 - Mika KALLIO Ducati FIN 34
  • 18 - Alex DE ANGELIS Honda RSM 11
  • 19 - Roger Lee HAYDEN Honda USA 5
  • 20 - Kousuke AKIYOSHI Honda JPN 4
  • 21 - Wataru YOSHIKAWA Yamaha JPN 1
  • .

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    Commentaires

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    Lectures: 
    0
    Ouais, c vrai que ct limite les attaques de vale... même si les deux sont finalement restés sur leurs roues ! Pis, bon, personne n'est dupe et Rossi le reconnait d'ailleurs dans cet article : les deux hommes se détestent et ferait tt pour terminer devant l'autre. En plus, si y avait pas ce genre d'action pour pimenter les GP, y a longtemps que plus personne n'irait les voir : on va pas payer une fortune ou se lever à pas d'heure un dimanche matin pour regarder un mec partir seul en tête et ses poursuivants se faire des politesses avant de se doubler ! Sinon, autant se mettre à la F1 !

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