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CHALLENGE DES MONOS 2005
Paris, le 29 mars 2005

Team Moto-Net : c'est reparti pour un tour !

Team Moto-Net : c'est reparti pour un tour !

Pour la seconde année consécutive, le Team Moto-Net signe en Challenge des Monos et entame cette nouvelle saison avec la secrète ambition de rentrer dans les points... Cette année encore, partagez notre aventure de l'intérieur ! Episode 1 : le Bugatti.

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Pour la seconde saison consécutive, le Team Moto-Net signe en Challenge des Monos. Après un rude hiver passé à réparer les séquelles mécaniques de la saison dernière, nous entamons cette saison nouvelle avec la secrète ambition de rentrer dans les points. Partagez cette année encore notre aventure de l'intérieur : la compétition moto vue par deux poireaux qui ambitionnent de ne pas le rester trop longtemps... En route pour l'aventure !

Episode 1 : Le Bugatti !

Scène 1 : le marteau

Mercredi, 1h30 du matin. Benoît, pilote de la Moto-Net Mobile n°14 (anciennement n°25, ne nous demandez pas pourquoi) termine de bricoler son cale-pied gauche à coups de marteau dans mon garage. Forcément, demain la première séance d'entraînement est à 9h. Forcément, on ne dormira pas assez. Forcément, quelques minutes de palabres aboutissent à la conclusion que nous devrions faire une croix dessus, dormir un peu plus et arriver en forme pour la seconde séance à 14h. Alea Jacta Est. Le repose-pied attendra demain.

Scène 2 : Le repose-pied farceur

Jeudi, 8h du matin. La nuit portant conseil, je me suis souvenu que j'avais un cale-pied au fond d'un carton, et je le sors de ma besace pour réveiller Benoît. On aurait pu éviter de se coucher à pas d'heure, mais depuis l'année dernière je me suis fait une raison : d'abord les emmerdements maximaux, ensuite les solutions "à l'arrache". Bref, la 14 va pouvoir rouler cet après-midi. N'empêche, je suis de mauvais poil, j'en ai un peu marre d'être à la bourre tout le temps, mais je me connais, ça va passer. D'autant que la 95 est prête depuis un moment, j'y ai travaillé tout l'hiver !

Scène 3 : Dans la cour des grands

Jeudi, 12h30. Arrivée sur le mythique circuit Bugatti... La piste du GP de France, des 24 Heures, et de l'Open de France, avec lequel nous cohabitons ce week-end. A l'arrivée, nous nous installons sous la tente du Team Trophy Sport, qui à la gentillesse de nous héberger cette saison. Forcément, s'installer à côté du GMT, à deux pas de DAP, à une coudée de tout un tas de pointures de niveau inter, avec des super camions tout beaux, ça fait un peu bizarre, d'autant que la Golf de Benoît commence à souffrir de son stationnement banlieusard et fait un boucan d'enfer. Je me sens tout petit petit...

Scène 4 : Où tout déraille

Jeudi, 14h10. A peine trois tours, tranquilles, nous n'avons pas roulé depuis septembre dernier. Je commence à tartiner un poil en sortie de courbe, et CRAC... la chaîne pendouille lamentablement sur le bras oscillant de la moto. J'ai bêtement déraillé. Le temps de me mettre à l'abri derrière le muret, et je regarde avec amertume mes petits copains commencer à prendre la mesure de la piste. Au moins, j'ai un bon point de vue pour la sortie du raccordement. Ca commence fort pour moi. De son côté, Benoît finit sa séance en engrangeant du roulage, mais en perdant son bouchon de réservoir d'huile. Ca commence fort pour lui aussi. Au moins, il a roulé.

Scène 5 : Tu te rappelles de Carole ?

Vendredi, 4h00 (oui, du matin). J'ai une sérieuse envie de tout lâcher, d'aller me coucher et d'envoyer valdinguer la caisse à outils à grands coups de pompes. En revenant de la séance de 14h, après avoir retendu ma chaîne, j'ai fait un petit check-up de la moto, question d'habitude. Et la surprise du jour est... une fuite d'eau sévère, des bulles dans le circuit de refroidissement, un joint de culasse HS. Bon... Dans ces cas là, faut pas se poser de question. Mode intelligence sur Off, mode manuel sur On et on change le tout avec l'aide de Régis et de son équipe de gros bras. A 2h, le moteur est remonté dans le cadre, à 3h je le mets en route et j'en profite pour réveiller tout le monde aux alentours. C'est idiot, je sais, mais j'étais vraiment trop crevé pour penser que le mono en échappement libre pouvait perturber la tranquillité des paddocks.

J'en profite pour adresser un message d'excuse personnel au mécano du GMT qui n'a pas, à juste titre, apprécié du tout le martèlement du 680 Yam. Bref, je suis prêt pour la séance de 9h, nous décidons de faire la sieste dans la Golf, vu l'heure, impensable de trouver un hôtel, d'autant qu'il faudra se lever à l'aube.

Scène 6 : Ombres et Brouillard

Vendredi, 9h05. Moral au fin fond des chaussettes sales de la veille. Nous avons eu froid, nous avons comaté deux heures, la séance est annulée pour cause de brouillard. Je commence à avoir la très nette impression de perdre mon temps, mon argent et ma santé pour des queues de cerises. Clope sur clope, une petite sieste dans le coffre de la voiture de Régis, et on verra bien. Sous la tente du TTS, l'activité est à son comble, les motos se préparent gentiment, tout est beau et propre, ça fait rêver comparé à nos deux rat's.

Scène 7 : Trois petits tours et puis s'en va

Vendredi 14h. Au moins, il fait beau maintenant. Allez, en route pour le dernier entraînement libre du week-end. Moto prête, pilote un peu reposé, faut rattraper le retard. Et puis au quatrième tour, re-clong, la chaîne saute encore une fois. Je rentre avant de tout casser. Mais au moins, cette fois, j'ai compris pourquoi je déraille à répétition. Le truc vraiment idiot, mais alors vraiment, vraiment très idiot. Suite à ma gamelle de septembre, j'ai cassé les vis de tension de chaîne. Je n'ai rien trouvé de plus intelligent à faire que de les supprimer purement et simplement une fois la tension effectuée, pensant qu'elles ne servaient qu'à ce réglage. Hé hé... sauf que le serrage d'axe de roue ne suffit pas à l'empêcher de se mettre de travers sous les contraintes de l'accélération. CQFD. Je remonte des tendeurs maison, range la moto et commence à me faire des cheveux blancs pour la qualif' de demain. On verra bien. Benoît a encore subi des ennuis mécaniques, malgré une réparation dans les règles de l'art. Rideau pour aujourd'hui. Nous accompagnons Flavien, pilote de la 91, au gîte du coin, où son père a réussi à nous dégotter une chambre. Un lit pour deux mais dans notre état, c'est un pur bonheur. Et en plus, Benoît a fait l'effort de ne pas ronfler.

Scène 8 : Petit déjeuner bucolique en bonne compagnie

Samedi, 8h. Sympa, le petit déjeuner en compagnie de Stéphane Mertens, pilote de renom, coach du team ZongShen et personnage des plus agréables. Je le dépanne d'un pass pour le paddock, et en route pour la qualif. Au moins, la journée commence mieux que d'habitude.

Samedi, 12h35. Retour de la première session de qualif. Forcément, c'est un peu dur, mais je suis qualif', avant-dernier, de justesse. Disons que c'était une bonne séance d'entraînement. Au moins, la course est assurée : la seconde session qualif' ayant lieu demain matin à l'aube, personne n'améliorera sensiblement les chronos. La moto va ENFIN bien, pas de soucis particuliers. Le moral remonte en flèche, le week-end semble sauvé. J'en profite pour papoter un peu avec Yan Cornic, qui m'aide à améliorer mes réglages de suspensions. Un clic par ci, un clic par là et zou, la moto change de comportement. Terrible, de voir qu'un mec qui vient pour gagner te file un coup de paluche comme ça, juste pour le plaisir de la faire. Merci encore.

Benoît pointe à la 45ème position, non qualifié. Il a été obligé d'écourter sa session pour cause de gamelle au second tour. Pneus froids, pilote aussi. La dure règle de la piste. Au moins, pas de gros dégâts, il aura le temps de réparer pour demain, un sélecteur par ci, un peu de polyester par là... Ambiance studieuse pour cet après-midi.

Scène 9 : Raaaaah, lovely

Dimanche, 8h55. Fin de la seconde séance qualif. Enfin, j'ai roulé en pilotant et sans me poser de questions métaphysiques sur la tension de chaîne, le niveau d'eau ou la propension de mes joints de culasse à ne pas être étanches. Je commence à prendre la mesure du circuit et je suis déjà nettement moins perdu qu'hier. Merci à Charly Barray pour ses conseils avisés de la veille, il m'a fait gagner en confiance dans quelques parties critiques du circuit.

Bilan, 22ème position de cette séance, avec deux pleines secondes de mieux qu'hier malgré des conditions météo nettement plus défavorables. OUF, je souffle, je suis en 35ème position sur la grille, mais je vais partir le couteau entre les dents, je suis motivé comme jamais. Cette fois, et pour la première fois, je pars avec l'envie de me battre pour prendre des places, pas pour simplement finir la course. Grand changement ! Benoît, quant à lui, n'est malheureusement pas qualifié, il a encore subi un souci mécanique et a quitté la piste avant de perdre son huile.

Scène 10 : Les sentiers de la gloire

Dimanche, 11h15. Grrrr. Remonté à bloc, je guette avidement le passage au vert. GO ! C'est dingue le nombre de places que l'on peut prendre en prenant un bon départ. J'ai l'impression d'avoir gagné deux lignes, soit une dizaine de places. Je me retrouve enfermé à la chicane Dunlop et en reperd 5 ou 6 d'un coup. Mais au moins, je suis remonté à bloc. Du gaz du gaz du gaz !!! C'est la première fois que je pars aussi motivé, et je ne lâcherai rien pendant les cinq premiers tours. Ensuite ça se gâte, j'ai une grosse baisse de forme. La faute à la fatigue accumulée les jours derniers, et à un style de pilotage trop en force. Le temps de me reposer un petit tour, et je perd encore trois ou quatre places.

Puis vient le second souffle, après lequel tout va mieux. Gros plaisir, tout se relâche, et c'est reparti pour remonter trois ou quatre concurrents. J'attribue une excellente note technique au numéro 144, Yvan Maudet (enfin je pense que c'est lui), qui me passe régulièrement... M'enfin, comment il fait pour me doubler trois fois en trois tours celui-là ? Arf, j'ai compris : à chaque passage au double droite du raccordement, il tire tout droit dans un grand nuages de poussière, repart le mors entre les dents et se rebourre au passage suivant. Je suis mort de rire, mais pas pour lui, car il finira par abandonner après une dernière sortie de piste.

Tiens, deux missiles sol-sol me passent, les deux prétendants à la victoire. C'est tout ? Oui. Cette fois, je n'ai pris qu'un tour, et uniquement par les deux premiers. Note, il y a du progrès par rapport à Lédenon l'année dernière, où j'avais pris au moins trois tours ! (lire Moto-Net du 19 avril 2004)

Fin de la course, drapeau à damier, tour d'honneur, même pour moi et ma 26ème place. J'en chialerai sous mon casque, en voyant les commissaires applaudir tout le monde, du premier au dernier. Ca, c'est de l'or en barre, la récompense d'un hiver de boulot, de dépenses à fonds perdus, de galères et de doutes. Non, à cet instant, je ne regrette plus rien, les compteurs sont remis à zéro. Tiens, rien qu'à écrire ces lignes, j'en ai un creux au ventre.

Quand même, le Bugatti, moi dessus, mon mono pétaradant, j'y suis, je le vis, c'est magique, tout simplement.

Scène 11 : débriefing

Le tour embarqué. Cette année, je vais tenter le tour embarqué systématique, histoire de vous plonger un peu plus dans l'univers de la piste, si jamais il vous prenait l'envie de tâter du bitume... C'est parti :

Départ des stands. On enquille la ligne droite, le temps d'arriver en cinq dans la chicane Dunlop. Bon, on va pas ergoter, c'est le passage "gros coeur" du circuit. Un grand droite dans lequel le panneau des 200 m te saute à la tronche. Y a pas, faut freiner sur l'angle. Personnellement, j'ai pas encore tout compris. Simplement, à la fin de la courbe rapide, il arrive un petit bout droit pour freiner. Les meilleurs racontent qu'ils prennent les freins après le panneau 100. Moi, je décide de faire l'impasse sur cette saleté de chicane pour ne pas prendre de risques inutiles. Bref, on tombe un rapport pour le pif à droite, un autre pour le paf à gauche, et on reste en trois pour le pouf à droite.

Là, gros gaz en descente, passage de la quatre pour arriver à la Chapelle. Grand droite en dévers, en trois, sans gros piège. Je prends la corde tard, et j'y rentre trop hésitant. Il devrait passer en quatre.

Montée vers le Musée. Celui là, il est marrant. J'ai la frousse d'y entrer fort, mais il y a vraiment de la place à la sortie. Une parabolique qui finit en descente, le temps de passer la cinq, direction le Garage vert. L'un des plus simples, un double droite que je prends en trois, milieu de piste à l'entrée. Pareil que le Musée, il y a vraiment de la place à la sortie. On tord la poignée de gaz jusqu'au Chemin aux boeufs. Le premier gauche est traître, on a envie d'y entrer très vite mais comme c'est une chicane, il faut vraiment soigner le droite qui conditionne un bout droit. Passage en trois. Je ne suis pas assez vif au changement d'angle, mais c'est une partie plaisante du tracé. Au pire, on peut couper la chicane en sautant les vibreurs, il y a un raccordement de bitume prévu pour. Attention, c'est aussi un gros point de freinage, et j'en ai vu quelques uns se sortir ici.

Après le bout droit, arrivée aux Esses bleus, un pur nectar de technicité. Le genre de tracé qui te donne toujours l'impression d'avoir à progresser. Une chicane droite/gauche rapide qui va conditionner la ligne droite des stands. En effet, une mauvaise sortie du gauche implique une mauvaise entrée dans le raccordement, et donc... une pitoyable ligne droite. Personnellement, je tente la technique du "tard-tard", entrée tardive dans le droit, entrée tardive dans le gauche. Ici, le changement d'angle droite/gauche se fait sur les gaz, l'avant s'allège. Bonnes sensations. Le premier esse est en dévers, la cadence s'accélère au fil des tours.

Enfin, le double droite du raccordement, salement piègeux. Je n'ai pas réussi à le passer proprement, il faut faire attention car le point de corde extérieur entre les deux droits se rapproche vraiment vite. Pour assurer, je prends le premier droit milieu de piste, ce qui me pénalise beaucoup sur la relance de la ligne droite, mais me permet de ne pas me bourrer. A la sortie, j'en ai vu plus d'un passer derrière les vibreurs, une technique à creuser.

Et hop, c'est reparti pour un tour. Au final, le Bugatti, tu commences à le comprendre une fois que tu roules trop vite par rapport à tes capacités. Finalement, tu t'aperçois que ça passe beaucoup plus vite que prévu. Alors quand t'as pas l'habitude de ce genre de tracé faussement lent, c'est un peu dur. Une seule solution : prendre des repères, ce que je n'ai pas eu le temps de faire.

Scène 12 : Espoir, espoir...

Optimisme ! Allez, c'est sur une note optimiste que nous préparons Dijon-Prenois, mi-avril. Un circuit terrible que j'ai apprécié l'année dernière (lire Moto-Net du 12 août 2004), même si j'y ai été pitoyable en course. J'espère me refaire cette année. Quant à Benoît, je sens qu'il va se remonter à bloc pour claquer une pendule.

Merci à HJC et Ipone pour leurs produits, à Urbanmoto.com pour son soutien inconditionel et au TTS pour nous accueillir cette année et nous accompagner dans notre apprentissage de la course.

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