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Paris, le 22 avril 2013

Bol d'Or 2013 : déclarations des pilotes et team managers

Bol d'Or 2013 : déclarations des pilotes et team managers

Retrouvez les principales déclarations des pilotes et team managers à l'issue du Bol d'Or 2013, remporté de main de maître par la Kawasaki SRC n°11 aux mains de Grégory Leblanc, Loris Baz et Jérémy Guarnoni.

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Retrouvez les principales déclarations des pilotes et team managers à l'issue du Bol d'Or 2013, remporté de main de maître par la Kawasaki SRC n°11 aux mains de Grégory Leblanc, Loris Baz et Jérémy Guarnoni.

Gilles Stafler, team manager du SRC Kawasaki n°11 (vainqueur) : "la mise en place de l'équipe n'a pas été facile. J'ai dû effectuer un petit recadrage après la séance d'essais libres de jeudi, mais depuis jeudi midi mes pilotes ont fait preuve d'un grand professionnalisme. Notre résultat est à l'image de leur sérieux".

Bol d'Or 2013 : déclarations des pilotes et team managersLoris Baz, pilote SRC Kawasaki n°11 (vainqueur) : "la pression était encore plus forte qu'en Superbike, parce qu'on roule pour trois pilotes et il faut penser à trois. Mais j'en avais déjà pris conscience l'année dernière. L'endurance devient de plus en plus une épreuve de vitesse. Je m'attendais à une bagarre serrée à trois ou quatre, mais rapidement on s'est retrouvé à deux toute la nuit. C'est usant mentalement. Je pense beaucoup à Jean-Claude Olivier après avoir gagné ce Bol d'Or ! Il doit être heureux là haut ! Il est aussi grâce à toi ce Bol Jean-Claude, merci ! RIP".

Jérémy Guarnoni, pilote SRC Kawasaki n°11 (vainqueur) : "cette victoire restera à jamais gravée dans ma mémoire ! C'est incroyable et magique de gagner le Bol d'Or à 20 ans. Je suis dans une super structure, le team n'a fait aucune erreur. Je suis extrêmement fatigué. Dès que je perdais trois ou quatre secondes, je devenais fou dans le casque".

Grégory Leblanc, pilote SRC Kawasaki n°11 (vainqueur) : "j'ai pris mon rôle de leader à coeur. Merci au chef (Gilles Stafler) de m'avoir fait confiance. Nous avons vite pris de l'avance et nous avons profité des erreurs du SERT qui est un adversaire coriace. Nous avons aussi eu un peu de chance ! Je remercie mes coéquipiers qui ont fait zéro faute et n'ont pas tremblé. Avec dix tours d'avance, on a économisé le matériel pour emmener la machine au bout. C'est vraiment un très beau succès. Nous avons démontré depuis les essais que nous étions là pour la gagne et nous avons assumé ce statut. Mes deux jeunes coéquipiers ont également réalisé une superbe course, sans faire la moindre erreur, que ce soit aux essais ou en course. L'équipe a été encore une fois irréprochable et notre Kawasaki ZX-10R a démontré toute sa fiabilité. Ce succès n'est qu'une récompense logique de tout ce travail. Sincèrement, je pense que nous le méritons amplement. J'ai réalisé le meilleur temps absolu des essais, Loris, Jérémy et moi avons terminé en tête de nos qualifications respectives et j'ai réalisé le meilleur temps en course. Je pense que ça veut bien dire quelque chose ! Nous avons aussi su prendre des risques dans les choix pneumatiques aux moments opportuns et au final ce travail a payé. Je suis très satisfait de ce succès qui ne peut souffrir la critique. C'est également une très belle réponse à toutes les personnes qui pensaient que nous avions un équipage beaucoup trop jeune et que notre manque d'expérience nous serait préjudiciable en course".

Bol d'Or 2013 : déclarations des pilotes et team managersIgor Jerman, pilote Yamaha YART n°7 (2ème) : "on attendait ce résultat. On a rempli notre contrat, mais ça n'a pas été simple. En qualifications, nous n'avions pas les bons réglages. La moto était très dure et physique à piloter. On est content du podium. S'il y avait eu davantage de pluie, ça aurait été encore mieux pour nous".

Broc Parkes, pilote Yamaha YART n°7 (2ème) : "le Bol d'Or était mon premier essai en endurance, une course folle mais une super expérience. Parfois, dans la nuit, je me suis demandé un peu ce que je faisais là sur la moto... La course a été très difficile physiquement".

Sheridan Morais, pilote Yamaha YART n°7 (2ème) : "je suis arrivé d'Afrique du Sud seulement mercredi. Je ressens de nombreuses courbatures, je suis haché menu, mais je suis très content du résultat. On a été plus compétitifs en course que pendant les essais".

Anthony Delhalle, pilote SERT Suzuki n°1 (3ème) : "cette remontée a été très éprouvante physiquement ! Entre les relais, ça a été très dur. Sur la moto, la concentration m'aidait à aller mieux mais ça devenait dur en milieu de relais. Il a fallu serrer les dents".

Bol d'Or 2013 : déclarations des pilotes et team managersJulien da Costa, pilote SERT Suzuki n°1 (3ème) : "je ne suis pas satisfait parce que je voulais gagner. On pouvait se battre pour la victoire. Après les deux erreurs commises, c'était inespéré de terminer troisième. On est allé de l'avant et on a bénéficié des aléas de course de la Yamaha n°94. C'est notre boulot. On serre les dents, on essore la poignée et on freine de temps en temps".

Vincent Philippe, pilote SERT Suzuki n°1 (3ème) : "j'ai bien cru abandonner quand j'ai chuté... Je pensais avoir le pied cassé et le dos bloqué, j'avais du mal à marcher et à monter sur la moto. Il faut se satisfaire de la troisième place et penser au championnat. On a fait une belle remontée. Au départ j'étais très tendu sur la piste humide et je n'arrivais pas à me libérer. On part deux fois à la faute et on fait un mauvais choix de pneumatiques. Bravo au SRC !"

Bol d'Or 2013 : déclarations des pilotes et team managersChristophe Guyot, team manager Yamaha GMT94 (4ème) : "La bagarre avec la 11 était belle. 63 petites secondes nous séparaient à moins de 5 heures de l'arrivée. J'imagine la déception de tous ceux qui nous suivent, des pilotes et de tous ceux qui travaillent pour nous aider à gagner comme Yamaha, Michelin et tous nos partenaires. Nous n'avions jamais eu cette panne sur notre Yamaha R1. C'est pourquoi nous avons mis du temps à la détecter avant d'effectuer le remplacement du capteur incriminé. Retenons notre compétitivité en piste comme dans les stands, et que nous marquons de précieux points pour le championnat du monde".

David Checa, pilote Yamaha GMT94 (4ème) : "L'endurance c'est ça aussi. Nous n'avons pas à rougir d'être quatrième. Nous pouvions gagner et c'est le plus important. Notre Yamaha R1 marche super fort. Tout était au top. Mon équipe aussi. J'ai hâte maintenant d'aller à Suzuka !"

Kenny Foray, pilote Yamaha GMT94 (4ème) : "Mon premier sentiment, c'est la déception. La course a été difficile en raison des conditions climatiques du samedi avec une pluie fine. Pourtant, j'étais à l'aise sur la moto et j'ai donné mon maximum avec mes coéquipiers. Toute l'équipe a fait un super travail et les pneus sont au top. C'est réellement dommage que la malchance soit venue nous gâcher la fin de course".

Matthieu Lagrive, pilote Yamaha GMT94 (4ème) : "Nous avons été stoppés dans notre ascension pour remporter une course qui était à notre portée. C'est dommage, mais nous devons accepter tous les sorts que réserve la compétition".

Etienne Masson, pilote Junior Team LMS Suzuki n°72 (vainqueur Superstock) : "Merci au Junior Team LMS de Damien Saulnier, aux mécanos qui ont fait un boulot de fou, à mes coéquipiers qui ont soudé, à mon Nono qui à assuré pour le panneautage et pour que je sois opérationnel à chaque relais, à José FP qui m'a motivé durant ces 24h, merci à Suzuki, Dunlop, Shark, Ixon, Monster Energy... et rendez-vous à Oshersleben !"

Hervé Moineau, team manager Suzuki n°50 April Moto (3ème Superstock, 9ème scratch) : "une course d'endurance n'est jamais finie et on l'a prouvé une nouvelle fois cette année en revenant de nulle part ! Bien sûr, on peut avoir des regrets car sans cette panne d'essence on aurait été à la bagarre pour la victoire, mais avec des si... On a pris des risques cette nuit pour revenir devant et ça a payé. C'est toujours compliqué de rencontrer un ennui aussi tôt dans la course, on court après le temps. Mais les pilotes ont vraiment bien roulé, ils sont restés parfaitement concentrés et toute l'équipe a évolué dans une belle dynamique, une vraie cohésion. On a préservé toutes nos chances pour le championnat du monde et c'est quand même le plus important".

Guillaume Dietrich, pilote Suzuki n°2 R2CL (7ème) : "j'ai l'honneur de prendre le départ et un premier relais durant lequel je me bagarre avec Broc Parkes ! Je termine mon relais 5ème au milieu des motos officielles : cool ! Nous réalisons de superbes relais, dans les 4 meilleurs temps en course. La moto tourne vraiment bien en moteur et en châssis. Malheureusement des problèmes techniques nous font descendre à la 27ème place, mais nous remontons 7ème jusqu'au drapeau à damier. Nous sommes tout de même un peu déçus car nous visions le top 5, mais je pense que nous avons vraiment bien roulé et réalisé de jolis chronos! Je n'ai fait aucune erreur pendant 24 heures et ma condition physique était au top (merci Nordine !)".

Axel Maurin, pilote Star-Team Suzuki n°67 (4ème Superstock, 10ème scratch) : "je suis très satisfait de notre course car nous n'avons rien lâché jusqu'à la fin. Nous avons subi un problème sur la moto en début de course qui nous a fait perdre beaucoup de temps. J'ai effectué chacun de mes relais en me donnant à 100% pour effectuer une remontée au classement. Aidé de mes coéquipiers, notre acharnement a fini par payer. En piste, mon objectif était d'être à chaque fois dans les meilleurs chronos de la catégorie Superstock. Au lever du jour, j'étais toujours en pleine forme et j'ai senti que nous pouvions rentrer dans le top 5. J'ai donné tout ce que je pouvais quand je pilotais. Cette 4ème place en Superstock et 10ème du classement général est une belle récompense pour toute l'équipe Star-team 67. Elle confirme notre potentiel à se battre pour la victoire dans cette même catégorie. Je remercie toute l'équipe et mes coéquipiers pour cette course, je remercie aussi personnellement ma copine Jessica et mon pote Aurélien pour avoir fait la "nounou" et être à mes petits soins pendant 24 heures. Merci aussi à mon papa qui me motivait et m'observait à distance, car quand je roulais je me disais faut pas que je me traîne, il surveille ! Au fait... J'aime l'endurance !"

Bol d'Or 2013 : déclarations des pilotes et team managersMathieu Charpin, Alexandre Praud et Olivier Depoorter, pilotes Yamaha RAC41 (16ème scratch) : "dès le début de la course, Olivier remonte de la 23ème à la 15ème place mais à minuit, une fuite d'eau au niveau d'une durite contraint les mécanos à intervenir rapidement. Un arrêt au stand de 14 mn nous renvoit à la 25ème place mais jusqu'à la fin de la course, tout le team fournit les efforts nécessaires à une remontée spectaculaire à la 16ème place, à 55 secondes du 17ème !"

Nelson Major, pilote Racing Team Sarazin Kawasaki n°66 (8ème Superstock, 18ème scratch) : "pour moi, ça a été une découverte de l'endurance. J'ai appris à connaître une équipe fantastique et des coéquipiers en or ! La semaine d'essais et la course se sont bien passées pour nous. Mon premier objectif était de finir la course, donc chose faite nous finissons 18ème au général, 8ème en stock et 1ère Kawa stock donc très contents ! La plus belle chose était de voir le drapeau à damier, à partir de ce moment l'émotion était très forte".

Florian Marino, pilote Louit Moto Kawasaki n°33 (10ème Superstock, 20ème scratch) : "c'est une très belle expérience que j'ai vécue au Bol d'Or. L'équipe était top et entre nous, les pilotes, ça a bien fonctionné. Emeric Jonchière nous a tout de suite fait profiter de son expérience. En course j'ai chuté sans trop savoir comment. Les conditions de piste étaient vraiment particulières avec une pluie fine et irrégulière. Je suis parti pour mon deuxième relais, avec un pneu neuf au moment où les gouttes s'intensifiaient. J'ai fait attention quelque tours puis je suis arrivé au freinage de la chicane Nurburgring. J'ai à peine pris les freins et me suis retrouvé par terre ! Les commissaires sont intervenus, ma moto perdait toute son essence car une vanne du réservoir était bloquée par des cailloux... Ils m'ont dit de ne surtout pas m'approcher, que la machine pouvait prendre feu. La moto a été ramenée par fourgon et c'est là que je m'en veux un peu. Arrivé au stand, on a vu que j'aurais pu la ramener moi-même, ce qui aurait fait perdre beaucoup moins de temps. Il s'agit d'un manque d'expérience plus que d'une erreur, mais je suis sincèrement désolé pour l'équipe. Mon co-équipier est reparti, puis il a dû repasser au box. La nuit s'est bien passée mais nous avons eu une casse d'embrayage et une fuite de radiateur en début de matinée. L'équipe a dû réparer et nous avons encore perdu du temps. Nous finissons malgré tout à la 20ème place et 10ème en catégorie Superstock. Je suis content d'avoir été au bout des 24 heures pour un premier Bol d'Or, même si le résultat final n'est pas celui que l'on espérait. L'expérience acquise pendant cette course a été énorme et me servira à l'avenir. Je tiens vraiment à remercier toute l'équipe du team Louit Moto pour leur accueil, leur professionnalisme et pour m'avoir fait participer à ma première course d'endurance. Je vais me reposer et récupérer jusqu'à mercredi. Entre la fatigue de la semaine, la course et le "gros volume" que j'ai pris, je vais me remettre pour Assen. Je me concentre sur le week-end prochain et le Supersport mondial désormais".

Gregg Black, pilote Honda n°20 FMA Assurances (21ème scratch) : "je suis très satisfait de finir la course, ça faisait deux ans que je n'avais pas vu le drapeau à damier sur ce circuit ! La place n'est pas à la hauteur de mes espérances et surtout à la hauteur de nos chronos et de tout notre travail. Je suis tout de même satisfait de mon nouveau team et staff technique, qui ont travaillé dur pour en arriver là. Il nous reste quelques améliorations à faire et avec un peu de chance notre place dans le top 6 est à notre portée,  je vous le garantis !"

Bol d'Or 2013 : déclarations des pilotes et team managersMichael Bartholemy, team manager BMW Motorrad France Thevent n°99 (abandon) : "C'est la troisième fois qu'on a des difficultés au Bol d’Or, et à chaque fois ça devient plus difficile à accepter. Je ne veux pas parler de mauvais oeil ou de circuit maudit, quand on veut être champion du monde on doit créer sa propre chance et être compétitif sur chaque circuit. On doit en tirer les leçons et faire en sorte de ne pas recommencer une quatrième fois l'an prochain. On ne sait pas ce qui a causé le problème de Karl, mais il ne pouvait pas choisir pire endroit pour tomber : on sort de la partie la plus rapide du circuit pour un gros freinage avant le virage le plus lent, et je ne peux même pas imaginer ce que ça fait d'avoir soudain un problème de frein à cet endroit. C'était une grosse chute et Karl a eu de la chance de s'en sortir. Les mécaniciens ont fait leur maximum pour remettre la moto en état, mais elle était tellement endommagée qu'elle pouvait menacer la sécurité, donc nous n'avions pas d'autre choix que d'abandonner".

Olivier Aerts , team manager Yamaha n°9 DG Sport Herock (abandon) : "bien sûr que nous sommes déçus, comment ne pas l'être alors que nous étions dans le top 10 au général et que le podium en Superstock était à notre portée... Mais l'aventure humaine de ce week-end, le professionnalisme de chacun et l'osmose dans le team me permettent de penser que nous serons aux avant-postes dès la prochaine course à Oscherschleben".

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