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DUEL
Paris, le 25 février 2014

Duel BMW R1200 RT Vs Yamaha FJR1300 AE : les tsars de la route !

Au royaume des impératrices de la route, la BMW R1200RT et la Yamaha FJR1300 comptent parmi les plus souveraines des motos. En 2014, chacune fourbit et modernise méchamment ses armes pour régner. MNC les oppose dans un duel de tsars... Essai comparatif.

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@ Renard du Languedoc....Edamuas.....les "historiques" du sieur Blondeau ne peuvent se lire qu'au second degré ! Autrement chacune des marques dont l'historique a été publié par ses soins va le poursuivre pour diffamation !....... pour ma part, en les lisant au second degré, je trouve la prose bien enlevée et il y a quelques évidences exagérées et imagées qui reflètent parfois bien la réalité !......à savoir qui est le réel auteur de ces écrits, le mystère reste entier !
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esthétiquement la gagnante c'est la YAM confort de conduite la BMW ,mais je crois que le meilleur moyen de savoir c'est l'essai perso des deux car il faut parfois faire l'impasse sur certaines prestations pour avoir du plaisir sur la route , j'ai essayé la BMW sans voir naitre le désir et l'impression avec la Yam d'être au siècle précédent !rien ne vaut une sportive et ses sensations !
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Pour l'instant, la réflexion du génial Alea m'a cloué sur place.
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par ailleurs , que penser de Bmw qui sous traite la construction de certains monocylindre, et bi ? chez Loncin en chine???
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@Edamuas, les "aigles" ça "ose" tout c'est même à ça qu'on les reconnait (tu remarqueras que je suis poli) un tel ramassis d'imbécilités soit disant humoristiques sur yamaha c'est énorme! pour la petite histoire Yamaha construit environ 8 millions de deux roues par AN c'est donc plusieurs milliards de pièces étudiées,approvisionnées, assemblées chaque années. quel malheur pour yamaha qu'il ne puisse bénéficier des brillantes expertises de Blondeau....
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Oser se moquer de la XJR, comment peut-on ? Joël Blondeau, j'avais encore quelques scrupules à te haïr, mais là, vraiment, tu as dépassé toutes les bornes !
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@ René....je ne dénigre aucunement la Deauville qui fait le bonheur de nombreux roule-toujours qui recherchent avant tout une fidèle compagne sans soucis, très abordable financièrement avec un coût d'entretien faible et surtout la possibilité de le faire soi même ! Discrète et efficace !
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Tant qu'à faire t'as bien raison Napo, d'autant que c'est peut-être encore le meilleur flat. Pour en revenir à la Deauville je ne connais pas, donc pour moi cette routière unique est à essayer. Je ne pense pas être très déçu par le moteur car je ne m'attends pas à une merveille de puissance au vu de la fiche technique. Quant au reste ça ne doit pas être trop mal non plus.
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@ Mumu07.... je préfère de loin garder la mienne de 2009 et ses 105000 kms....Pour une 2006, j'ai déjà donné, que des emmerdes, de plus une RT qui ne roule pas, vieillit très mal en particulier sur les avant 2008 qui avaient le freinage assisté ! Je préfère aussi faire reprendre mes motos que de les vendre directement à un particulier surtout avec mes kilométrages élevés ! Par contre je lorgnerais volontiers vers un modèle 2012-2013 en version DOHC !
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@ Joel blondeau.....toujours aussi délirantes à lire tes rétrospectives !....dommage que dans celle-ci, il n'y ait pas un encart sur la célèbre 500 XT !
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blondeau, au nom de tous les gueux qui ne roulent pas en BMW, je te remercie de ce "bref" éclairage qui le jour venu nous permettra enfin de devenir (comme toi) de véritables motards.
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Eugène Yamaha est né en 1930, dans la bonne ville de Trucmuche au Japon. Comme tous ses compatriotes, il a les yeux bridés, ce qui n’étonne pas ses parents, et la vue perçante. Cela va lui permettre de voir plus loin que la moyenne. Pour l’instant, Eugène est petit et mélomane, ce qui n’est pas incompatible. Il casse les oreilles à tout le monde avec son poste à lampes et finit par réclamer à son papounet un piano. Il insiste tellement que cela devient vite insupportable. Alors son père va céder et se laisser faire, et comme il n’a pas trop les moyens, il va lui fabriquer un piano. Mais d’une telle facture de qualité que bientôt, il ne fera que ça. Yamaha devient un symbole de savoir-faire musical, si bien que même une boite de conserve ou un wok deviennent chez eux des instruments acoustiques performants… qui se vendent facilement et à bon prix. L’aisance vient, la diversification aussi… Chaque secteur d’activité touché par le père est transformé commercialement par le fils. Sauf le secteur « friteuse ». En effet, n’étant pas Belges de naissance, ils ont du mal à maîtriser les techniques de chauffe et de cuisson des tubercules. Et l’idée de reconvertir l’usine de friteuses en usine de production de motos va naître lorsqu’ Eugène , au bar du coin, entendra un ouvrier japonais de chez Kawa se plaindre de sa propre moto. - J’en ai marre de verser de l’huile dans le carter de cette machine, elle m’en bouffe plus qu’une friteuse au mois d’août ! hurla l’ouvrier de chez Kawa. - Au moins, on risque pas de te perdre si on te suit, il n’y a qu’à sentir à chaque intersection pour savoir quelle direction tu as prise, assura son pote de comptoir. Aussitôt, dans l’esprit d’Eugène se forma une association d’idées : Usine, machines, friteuses, motos, il était sûr de tenir une grande idée, avec à la clé, un moyen efficace de faire plus d’argent qu’avec son usine de friteuses. Rentré à la maison, il expose le projet à son père qui montre un enthousiasme modéré. En effet, il tient à son usine de friteuses, et à garder le nom. En japonais, Yamaha signifie « friteuses » et le logo des diapasons est là pour rappeler que Yamaha fait aussi dans les instruments de musique. Comme le père était assez conservateur, pour ne pas le froisser et pouvoir disposer des capitaux nécessaires sans avoir une banque à craquer, il cédât sur ce point. Gardant le nom et le logo, restait à trouver l’ingénieur qui allait dessiner la première moto. Il passa une annonce et deux heures plus tard, se présenta un type curieux, sorte de professeur Tournesol nippon, ni mauvais, mais pire. Pas sourdingue, ça non, mais idiot ! Il faut voir la première Yam’, elle était la machine la plus puissante du Japon. 4CV, 300 kilos, look à hurler, pas de freins et pas chère, elle fut un succès commercial retentissant, confortant Eugène dans son idée de continuer dans cette voie. Vu comment marchait le premier modèle, une clientèle fidèle en sensations fortes se fit rapidement. En effet, à l’époque, les clients se foutaient bien de savoir combien de kilos pesait la machine, si elle était maniable, si elle freinait bien, pourvu qu’elle fonce !!! Les Yam’ de ces années tenaient le pavé comme un pain de margarine dans une poêle chauffée à blanc, les freins étaient efficaces comme des galets de Dieppe lancés sur une patinoire, et le confort était garanti par la maison « Noyaux de pèches ». Malgré tout, les clients affluaient. Les motos évoluaient rapidement, le blé rentrait dans les caisses, l’usine grandissait. L’âge d’or de la moto venait d’éclore, et Eugène se félicitait de son choix. Le modèle suivant fut lancé sans publicité, mais l’usine était submergée de commandes. On lança donc un programme de compétition, et Yamaha ne tarda pas à engranger des résultats satisfaisants. Dans le monde entier, la marque devient une référence…fumante ! Car nous sommes à l’époque héroïque du deux-temps, et Yamaha ne s’arrêtera jamais de fumer, aujourd’hui encore, il n’est que de suivre un R1 pour s’apercevoir que Yamaha maintiendra la tradition coûte que coûte. Il sera d’ailleurs sponsorisé par Lucky Strike, Marlboro(PO BIEN, le tabac, c'est tabou, on en viendra tous à bout), et d’autres cigarettiers, c’est pour dire si ça fumait !! Puis, ce sont les années 80. Les motos fines et taillées à la serpe font leur apparition. Yamaha n’est pas en reste et produit aussi des motos moches, mais qui marchent, heureusement ! Comme d’hab’ Yamaha, fabrique des engins performants, mais il faut avoir le cœur gros pour conduire de pareils engins. Et puis, pas avoir le sens du bon goût, car comme tous ses concurrents, la maison fait dans la limande ! Moto extra-plate, pour passer sous les bagnoles en cas de pelle en ville, longue comme un jour sans pain, basse parce que les japonais ne sont pas grands, pneus de dimensions ridicules et si possible très très durs pour ne pas tenir la route et donner aux gens l’impression de passer très vite dans les virages, en tout cas en travers. Avec de telles motos, la marque aux diapasons se forge une réputation de fabriquant de motos exclusives, à l’instar de son modèle phare de l’époque, j’ai nommé le V-MAX. Cette machine fut le premier dragster des rues, taillée pour les pilotes inter-feux. Le pilote inter-feu est un brûleur de gomme, cramant l’arrière au démarrage et l’avant au freinage. Les disques de sa bête portés au rouge, il ne vit que pour le plaisir de ridiculiser, voir pourrir les autres sur trois ou quatre cent mètres, si possible sous le nez des forces de l’ordre. A mi-chemin entre un fer à repasser de Milwaukee pour le look tapageur et la fusée Ariane pour ses accélérations démoniaques, cette bécane fera le bonheur de plus d’un kiki des terrasses d’été. Rutilante, couleur flash pour bien marquer les esprits, elle n’est pas toujours du meilleur goût, mais le bruit envoûtant de son V4 séduit. Les pilotes de cet engin se reconnaissent facilement, ils ne sont jamais loin de leur bestiole, et même si on hésite entre deux motards, on reconnaît le V-MAXeur à la longueur inhabituelle de ses bras. Ceux-ci ont en effet tendance à s’allonger à chaque accélération, ce qui permet aux utilisateurs de ces machines de lacer leur godasses ou se gratter les panards sans se baisser, ce qui limite les risques de sciatiques, mais qui ne résout pas les problèmes vestimentaires, trouver un blouson avec des manches d’un mètre cinquante n’étant pas chose aisée. A moins de fréquenter un tailleur pour gorilles… Trouver un V-MAX d’occaze peu kilométré est une chose facile. C’est pas en faisant des runs de quatre cent mètres qu’une moto prend de la borne. Par contre, comme toutes ses sœurs d’usine, cette moto se signale par une tenace odeur d’huile brûlée, si bien qu’il est simple de connaître son kilométrage grâce à son nez. Il n’est que de renifler au moment de la mise en route. Jusqu’à 10 000 KMS : senteur fraîche des frites de la maison, entre 10 000 et 20 000 KMS : frites de la foire du trône, au sixième jour, entre 20 000 et 30 000 KMS, frites et merguez/andouillettes de la foire à tout/vide-greniers du dimanche matin. Au dessus de 30 000, senteur de bus au colza, mais là, c’est plus la peine de rouler, car les flics vous chopent pour pollution aggravée, classifiée « risques Sévézo ». A ce stade, racheter un moteur est la solution la plus simple. Mais bon, je le répète, 30 000 KMS pour cette moto relève de l’exploit… Un autre modèle marquant chez Yamaha est le TDM. Salut Francis (*o*) Oscillant (c’est le terme !!!) entre le tout chemin et la routière, cette moto (eh oui, il faut bien se résoudre à appeler ce truc-là comme ça !) a trouvé sa clientèle, ce qui relève déjà de la gageure, son look n’étant pas ravageur au départ (ni même à l’arrivée, d’ailleurs !) Ses utilisateurs sont en principe des gens pas pressés d’arriver quelque part, généreux de par nature (il faut aimer acheter de l’huile aussi souvent que de l’essence !) et insensibles au mal de mer, cette machine étant le fruit d’une union entre un chameau et un bourricot. Têtue au moment de la mise en route, capricieuse comme une diva de la Star Ac’, molle comme un Shamallow passé au grill, se balader là-dessus revient à subir une tempête de force 9 sur l’échelle de beaufort, au large de Brest à bord d’un Optimist . Ses propriétaires sont des gens gentils au-delà de toutes limites, supportant tous les travers de leur machine (surtout en sortie de courbes, d’ailleurs !) et possédant un estomac que nombre de personnes leur envient. Descendre de là-dessus en ayant gardé son repas du midi relève de l’exploit, les oscillations de la bestiole se chargeant de vous débarrasser d’un excès de calories ingurgitées à la va-vite dans un bouge infâme. Le tout étant d’arriver à enlever son casque à temps, le tuning d’un intérieur d’intégral n’ayant rien de facile ! Aller !) dernière machine sympathique chez Yam’est le XJR. Salut Pat (*o*) Croisement réussi d’une enclume et d’une éponge, ce roadster est plus que sympa. Coffre d’acier, couple d’enfer, poids plus que respectable, ce bestiau-là défie son pilote, tous les jours. De par ses dimensions respectables, ce n’est déjà pas une moto de fillette. De plus, de par sa conso effrénée (y a que ça qu’est freiné, chez Yam !), c’est un concours permanent entre le pilote et sa machine pour savoir qui aura bu plus que l’autre à la fin de la journée. Dotée d’un réservoir de vingt litres, il ne faut en général pas longtemps au pilote pour le vider. Le temps de se faire servir un demi, on repart, le temps de vider le réservoir, on s’arrête, bref, lorsque l’on roule avec des Yameurs, on est plus souvent à l’arrêt qu’en route. Ce qui fait qu’on ne colle pas de kilomètres excessifs à ces machines. La position de conduite n’est pas significative, en effet, il faut s’arrêter faire le plein avant d’avoir pu se caler à son guidon. Pas besoin de coller un saut-de-vent au dessus du phare, vous n’irez jamais assez vite assez longtemps pour profiter des ses effets. La largeur de son vilebrequin fait qu’on ne peut pas prendre d’angle sans racler les bouchons de carters, ce qui est embêtant d’un coté, mais qui ravit les foules lorsque vous raclez sur les ronds-points en ville. L’accélération est très satisfaisante, le temps de tourner la poignée, que les boisseaux soient aspirés et remontent, le temps que l’air passant dans les trompettes d’admission se charge en essence, que le mélange air/essence soit aspiré, compressé et enflammé… et ben, la moindre Honda ou Suzuki est déjà loin, mais on pardonne au XJR ce petit travers (en sortie de virage, comme sa sœur la TDM d’ailleurs! ) . Mais ça n’empêche pas les pilotes de ces engins de mériter notre respect, d’abord parce qu’il ne faut pas mépriser le perdant de chaque run, ensuite, ce sont généralement des gens altruistes. En effet, il en faut, des Yamaha, et ce sont eux qui les ont, alors que ça aurait pu être nous ! Merci de nous avoir évité pareille erreur, Mesdames, Messieurs, rien que pour ça, merci du fond du cœur.
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@ Autunito.....comme quoi chacun à sa perception d'un design !.....et c'est très bien ainsi, ce serait d'un triste si tout était uniforme !
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les 2 motos sont super, mais ont une philosophie différente. L'article n'est peut être pas très objectif, car les sacoches RT ne sont pas identiques de chaque coté, les options BM coutent un , voire 2 bras. comparez les modèles de base ou les modèles toutes options pas l'une d'une manière et l'autre différente. Savez vous qu'il y a aussi des accessoires Yam , comme les protèges mains-rétros( très efficaces), les extensions de bas de carénage et quant au shifter , pourquoi ne pas avoir comparé la version as. J'en suis à ma 3ème fjr et cette As est très différente en plaisir des 2 autres et surtout en facilité de conduite, quant à l'esthétique le look de la nouvelle fjr vaut bien celui de la RT , un peu pataud et bien moins dynamique.
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@ FJ69...... même si cette FJR a été relookée avec beaucoup de goût, elle a pris un coup de vieux face au nouveau design de cette nouvelle RT! Il y a un fossé énorme entre ces deux styles, celui de la BM va certainement déconcerter au début de sa carrière mais il va rapidement s'imposer et va devenir une référence en la matière !....il suffit de regarder les valises à l'arrière qui sur la Yamaha manquent de cohérence par rapport au design de la moto, lorsque sur la BM on y retrouve des détails stylistiques présents sur la culasse par exemple ! Ce n'est que mon avis, mais je suis sous le charme du dynamisme dégagé par le dessin de cette RT !
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Pour ton info Ghost Dog, message du 25/02/14 à 19:25: Ne pas porter de jugement sur une image qui à dû être shootée au grand angle, d'ou la déformation de la BM. et sa mise en avant. Il faut demander au journal si ils sont vraiment neutres vis à vis des marques, et à quelle jeu ils jouent.
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@ René....cette Deauville ne me fait pas envie, ni à la conduire, ni à la regarder et pourtant elle répondrait pile-poil à mes attentes !......Disons que si c'était une obligation, je l'achèterais mais pour moi la moto est un loisir avant tout, donc il faut un minimum de coup de cœur et de fun au pilotage !.....et ce "Fun" je le retrouve avec une RT, même avec mon actuelle un peu poussive !....Ce week-end, j'ai eu la joie de faire une arsouille avec une sportive japonaise entre H. et M. sur une route bien tournicotante pendant une vingtaine de kms. Je l'ai vu arriver dans mon dos avec ses feux style "néon", j'ai accéléré mon rythme, il s'est accroché sans me doubler et comme je n'aime pas être devant, je l'ai laissé passer et c'est moi qui est essayé de le suivre. Dans le peu de bouts droits qu'il y avait il me distançait mais au virage suivant je lui collais au train où je pouvais contempler ses superbes sorties d'échappement réalisées en morceaux de boite de conserve. J'ai remarqué qu'enfin les japonaises ont de bonnes suspensions car ses trajectoires étaient propres et la moto n'avait aucune réaction parasite. Je précise que ma RT est équipée en öhlins depuis ses 100000 kms, ce qui aide bien dans une arsouille j'en conviens....pour finir, il m'a laissé repasser devant, j'ai tout de même fait une erreur d'appréciation an arrivant trop vite au premier rond-point de la ville M., une voiture arrivait à ma gauche et heureusement que le freinage démoniaque de la RT associé au Télever et à l'ABS ont sauvé mon honneur car hormis une balayette de la roue arrière, j'ai laissé passer la voiture comme si de rien n'était, sans même poser le pied à terre, la RT ayant cette faculté d'être auto-stable !.....je pense que peu de moto pardonnent à ce point les erreurs de son "médiocre pilote". J'imagine la tronche désappointé du pilote de la japonaise qui pensait me bouffer tout cru, en tout cas en le suivant, le carénage de ma RT a été criblé d'impacts de gravillons qu'il me projetait avec son gros boudin de sportive......je sais que c'est pas très intelligent de ma part de provoquer ainsi la jeune génération surtout que j'aurais pu être son père, mais c'était tellement bon !
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Bizzare le casque??? a/ Yavait que ca dans les placards de moto net. b/ Pub cachè genre Matrix et Ducati c/ Si t'es un beauf, ya rien a faire mème si tu pose ton cul sur une bècane a 20K.
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Oui sinon la Deauv existe encore en attendant mieux que l'Integra, y en a un qui vient d'en acheter une voir dans l'article sur Honda, pseudo "Pierre-Marie" le 23/02. Ca reste une valeur sûre malgré tout, je ne comprends pas que les constructeurs délaissent ce créneau de "vraie routière de moyenne cylindrée". La "vieille" Honda demeure toujours une exception...
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Napo, toutes les GT et gros trails sont devenues hors de prix, a mes yeux toutes les motos petites et grosses sont 20% trop cher, pour qu'elles baissent il faudrai qu'elles ne se vendent plus, mais pour l'instant ce n'est pas le cas. En effet, l'Integra avec bagagerie pourrait te dépanner quelques années, d'ici la d'autres modèles seront peut'être sortis ?
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du réchauffé tout ça, vu re vu et re re re dit
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@ Mumu07.... c'est ben vrai que c'est chérot le kg chez Beumeuh, mais les clients qui comme moi roulent beaucoup s'y retrouvent, du moins il n'y a pas encore si longtemps, car on avait des reprises intéressantes, par exemple une 1150 RT achetée 15000€ a été reprise deux ans et demi plus tard 11000€ avec plus de 70000 kms au compteur !.... cet état de fait a évolué dans le mauvais sens pour le client et je crains que la reprise de ma 12 RT actuelle de 2009 avec 105000 kms au compteur ne soit pas à la hauteur de mes espérances, j'ai attendu trop longtemps cette fois pour la changer.....souvent j'achète des motos de démo (mon RT actuelle) ou des occasions très récentes (12 GS, 1mois et 1000 kms)et en jonglant avec tout ces paramètres tu peux rouler pour un prix raisonnable, surtout que l'entretien en province est très abordable et que les pièces d'usure ont une durée de vie très au dessus de la moyenne !....mais faut pas rêver non plus, une RT coûtera toujours plus cher qu'un Integra pour ne pas le nommer !
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20.000 euros le bout, c'est pas de la rigolade, heinnnnn, c'est quand même le prix de 2 petites caisses climatisées full options !, quand tu as acheté ce genre de moto neuve, tu es obligé de la gardé quelques années, c'est ça ou perdre un max de pognon, quand je vois le prix de vente des K1600 d'occas, ça fait peur, perdre 5000 euros en un an ou 8000 sur deux... sur une moto neuve me ferait bien chier pisse c'est tout..... .
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C'est ce que j'attends d'un constructeur Rene : une GT de 1000 cm3 ,transmission par cardan , pourvu d'un réservoir de 25 L mini et sans trop de technologie embarqué, le tout à un prix correcte oscillant entre 12 & 14000€uros selon l'équipement désiré.
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C'est dingue comme cette nouvelle RT fait énorme de l'avant à côté de la FJR qui n'est pourtant pas fluette ! Honte à moi, je n'ai jamais roulé en BMW, même en essai. Je me garderai donc bien de porter un jugement sur le fond, je pense que les centaines d'acquéreurs de cette RT (et de GS) parlent d'eux-mêmes sur leurs probables qualités. Mais pour moi un twin doit être en V, alors...
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Vous n'allez pas me croire, mais je n'ai pas encore essayé cette nouvelle 1200 RT, et pourtant ça fait près d'un mois qu'elle est disponible.... je recule l'échéance, j'ai trop peur de craquer une fois de plus.... plus de 180 000 kms cumulés avec deux 12 RT, une troisième serait logique !....à lire le forum des RT, tous ceux qui l'essaient sont enthousiastes et découvrent un modèle encore plus abouti, plus efficace, plus, plus....elle fait même succomber beaucoup de propriétaires de K 16 qui retrouvent dans cette nouvelle RT les canassons qui manquaient dans celles à air. Comme je l'ai déjà dit ici, les concessions BM disparaissent les unes après les autres et moi je roulerai moins qu'auparavant, alors l'essayer ce sera me donner beaucoup de regrets, j'en suis convaincu à l'avance, mais il faut se faire une raison, le devoir avant tout !-------------Je n'ai pas non plus testé cette FJR relookée, donc ce sera aussi chose faite !.....A lire l'essai de MNC, on devine que la concurrence va encore se faire des cheveux blancs et je trouve que c'est bien dommage qu'il n'y ait pas une réplique à la hauteur pour faire vaciller BM de son piédestal, mais bon je ne crache pas non plus dans la soupe..... mais j'aimerais bien avoir la possibilité de changer de soupe de temps en temps !
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Trop lourd tout ça, moteur 900 ou 1000, puissance proche et couple moindre mais avec un poids moindre aussi, ça le ferait quasi aussi bien en performances.
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2 GT high-tech à la technologie de pointe. Je regrette que le bridage "made in France" fausse peut-être la donne sur le plan mécanique sinon Esthétiquement je préfère la fluidité de la Yam.
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Je préfère de loin le look de la FJR, mais là il faut bien avouer que la Yamaha (vieillissante) frise la correction.
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Ce genre de motos devraient avoir une boite de vitesses automatique.
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Moto-BMW.com
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... et puis 2 roues seulement au lieu de 4 : radins !
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ah zut, la Yam n'a pas le Hill Assist pour démarrer en côte. Les diapasons sont fichus !

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