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INTERVIEW VIDÉO
Paris, le 7 février 2017

[Vidéo] Johann Zarco aborde sereinement sa première saison MotoGP

[Vidéo] Johann Zarco aborde sereinement sa première saison MotoGP

La dernière vidéo du team Tech3 nous présente un Johann Zarco particulièrement détendu qui livre son sentiment à l'approche de sa première saison MotoGP.

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Transat, pelouse verdoyante et petits oiseaux qui chantent : le nouveau pilote français en MotoGP , 11ème temps cumulé des derniers tests à Sepang, aborde très sereinement sa saison 2017 dans une interview vidéo... en anglais ! Heureusement, MNC vous livre ci-dessous les propos en français du double champion du monde Moto2 !

Comment te sens-tu à l'approche de cette nouvelle saison ?
Johann Zarco : Je suis content, c'est une belle expérience d'atteindre le rêve du MotoGP, la moto est vraiment fantastique et je vais bientôt pouvoir rouler avec mon idole, Valentino. C'est aussi un gros défi de voir si je peux être un bon pilote dans cette catégorie, avec les meilleurs pilotes du monde et sur la meilleure moto.

Tu es plus à l'aise en conditions sèches ou humides ?
Johann Zarco : Le sec est plus favorable pour les pilotes car on peut attaquer et mieux sentir les limites. En conditions humides, c'est parfois problématique, on peut avoir un bon ressenti et être fort, mais aussi avoir de mauvaises sensations et tomber. C'est plus compliqué sur le mouillé, parfois j'ai du mal, parfois je gagne. Mais globalement je préfère les conditions sèches, on s'amuse davantage.

Quel est ton circuit préféré ?
Johann Zarco : Difficile à dire, ils sont tous assez sympas. J'aime beaucoup l'Argentine (Termas de Rio Hondo, NDLR), c'est assez rapide et j'y ai de bons résultats depuis le début. Mais il y a beaucoup d'autres circuits qui me plaisent et sur lesquels je suis bon. Tous les circuits du championnat sont fantastiques !

Quelle est la principale différence entre le Moto2 et le MotoGP ?
Johann Zarco : Le plus compliqué en MotoGP est le nombre d'informations dont on dispose sur la moto. On peut travailler sur de nombreux points, régler les suspensions, l'électronique, les pneus donc ça fait beaucoup de données à gérer pour le pilote. Et quand on a un problème, il y a beaucoup de solutions à envisager pour le régler. C'est ce qui rend la MotoGP plus compliquée. La moto est aussi très puissante, ce qui complique également les choses. La différence principale est la puissance.

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