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LE GUIDE MNC QUI FAIT DU BRUIT
Paris, le 16 septembre 2021

Comment et pourquoi se protéger du bruit à moto

Comment et pourquoi se protéger du bruit à moto

La pratique de la moto expose fréquemment l'ouïe à un niveau sonore supérieur au seuil recommandé pour conserver une bonne audition. Bruits du moteur, sifflements du vent et autres turbulences aérodynamiques doivent être filtrés, surtout sur longs trajets. MNC fait le point et compare plusieurs bouchons d'oreilles.

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C'est quoi le bruit ?

D'après le Service aux entreprises pour la santé au travail (SEST), le bruit est "un phénomène acoustique ­produisant une sensation auditive considérée comme ­désagréable ou gênante". Sa perception diffère selon sa fréquence - soit la vibration de l'onde sonore mesurée en Hertz (Hz) - et son intensité, exprimée en décibels (dB).

Si la gêne liée au bruit est subjective, des valeurs déterminent cependant une échelle de nuisances : la réglementation européenne sur le bruit au travail fixe par exemple à 80 dB le niveau acceptable pendant 8 heures (décret n° 2006-892 de la directive 2003/10/CE). A 89 dB, cette durée d'exposition tombe à seulement une heure ! Au-delà, des troubles de l'audition peuvent apparaître : bourdonnements, acouphènes et pertes auditives.

Or la conduite d'une moto expose à des seuils considérés comme élevés, voire dangereux en raison du son produit par le moteur, des bruits de roulements mais aussi et surtout à cause du vent relatif. Le volume atteindrait pas de moins de "98 décibels à 120 km/h" selon le fabricant néerlandais Alpine dont MNC a testé deux types de bouchons d'oreilles (voir ci-dessous).

Son concurrent Pinlock - qui ne fabrique pas que des lentilles antibuée - avance pour sa part un "niveau sonore à l'intérieur du casque" compris entre "95 et 105 dB" à la vitesse de "100 km/h". Soit largement au-dessus du "seuil de danger" de 87 dB défini par le SEST dans le cadre d'une exposition quotidienne.

Alpine - autoproclamé "numéro 1 de la protection auditive" - évoque des risques "d'endommagements permanents" de l'ouïe après seulement "7 minutes" d'exposition à une telle intensité sonore. Autrement dit : un long trajet à moto sur autoroute est néfaste pour l'audition, sachant aussi que le bruit accélère la fatigue et la déconcentration avec pour conséquence un risque accru d'accident. 

Ces données alarmistes doivent toutefois être nuancées : une moto routière avec pare-brise préservera davantage l'audition en isolant en partie des bruits aérodynamiques. Certains casques intégraux haut de gamme assurent également une meilleure insonorisation (Schuberth, notamment), mais aucun à ce jour ne garantit une protection suffisante à vitesse élevée. A plus forte raison sur un roadster !

De même, une moto en échappement "full barouf" génère mécaniquement plus de volume sonore qu'une machine d'origine… pour le conducteur comme pour son entourage ! Certains moteurs sont par ailleurs plus "criards" ou "ronflants" (petite cylindrée, customs...), tandis que le type de conduite influe aussi : rouler au rupteur est évidemment plus bruyant qu'enrouler à mi-régimes.

Les défenseurs de la fée électricité y voient quant à eux un avantage supplémentaire pour la moto électrique, qui ne produit qu'un bourdonnement et des bruits de roulements. "Mieux vaut entendre ça que d'être sourds", leur répondront malicieusement les amoureux du "thermique"... A bon entendeur !

Quelles protections auditives à moto ?

Si le port d'un casque antibruit s'est généralisé dans les environnements bruyants - des chaînes de montage aux paddocks des Grands Prix -, son emploi n'est pas envisageable pour les motards faute de pouvoir l'enfiler sous le casque. La solution passe obligatoirement par des dispositifs intra-auriculaires (à enfiler dans l'oreille).

 

Ces bouchons d'oreilles - en mousse, en cire, en silicone ou en matériaux hypoallergéniques - forment une barrière protectrice qui peut dans certains cas laisser passer une fourchette de sons acceptables comme ceux d'une conversation. Ils ciblent dans ce but les fréquences élevées, les plus préoccupantes pour l'ouïe (oui, pour Paul aussi).

Raison pour laquelle deux critères sont à considérer pour apprécier leurs qualités : leur réduction de bruit exprimée en décibels via le sigle anglais SNR (pour "Signal to Noise Ratio" ou "Standard Noise Reduction"), mais aussi l'indice de fréquence du bruit (HLM) qui exprime l'état de cette réduction à hautes (high), moyennes (medium) et basses (low) fréquences.

Exemple avec les bouchons d'oreilles Earplugs de Pinlock : leur réduction de bruit est annoncée à "23 dB" sur les hautes fréquences, "22 dB" sur les moyennes fréquences et "21 dB" sur les basses fréquences. En clair, ces dispositifs en matière souple filtrent en priorité les bruits aigus comme ceux générés par les turbulences.

L'efficacité des bouchons d'oreilles varie généralement de 15 à 36 dB : les plus performants sont ceux en mousse de polyuréthane ou en cire, rendus célèbres par les boules Quies. Ces dispositifs offrent un excellent maintien en plus d'être très accessibles : de 15 centimes à un euro la paire selon la quantité achetée (souvent vendus en lots).

Les bouchons en mousse - disponibles en pharmacie et au supermarché - se dilatent quelques secondes après leur insertion pour littéralement "boucher" le conduit auditif : simple et efficace. Problème : ils réduisent du même coup toutes les nuances de bruits sans distinction, comme les boules de cire…

Résultat : le motard évolue dans un environnement acoustique totalement étouffé puisque toutes les fréquences sont diminuées. Difficile alors de bien percevoir et d'identifier les signaux qui avertissent des dangers potentiels : crissement de pneus, coup de klaxon et autres bruits de la circulation importants à décrypter.

Ce type de bouchons limite aussi fortement la compréhension et les échanges vocaux : MNC déconseille pour ces raisons leur usage au guidon. Leur durée de vie est par ailleurs limitée à une seule utilisation pour les modèles en mousse et de 10 à 20 fois pour les boules de cire : pas très écologique ni pratique pour les gros rouleurs !

Les bouchons d'oreille préformés réutilisables

L'alternative prend la forme de bouchons préformés en matériaux souples - en silicone ou en matière hypoallergénique - spécialement conçus pour filtrer certaines fréquences : les musiciens en utilisent notamment pour préserver leur audition face aux énormes volumes sonores générés pendant leur concert, tout en leur permettant de percevoir chaque note.

 

Alpine, Alvis, Earsonics ou Pinlock déclinent cette technologie pour les motards en vue d'atténuer le bruit de 15 à 25 dB pour un prix de 15 à 40 euros. Avantage : leur action ciblée évite l'isolation propre aux bouchons en mousse et en cire. Les sons sont égalisés mais pas entièrement masqués : pas besoin de tendre l'oreille pour identifier une source sonore.

Soutenir une conversation est donc possible, y compris au téléphone (à condition de monter le son !), tandis que leur action apporte un réel plus en matière de confort : les sifflements causés par le vent et les bruits de roulements sont agréablement mis en sourdine, alors que le ronflement de la mécanique reste suffisamment audible pour déterminer à l'oreille le régime moteur. 

Autre atout de ces bouchons aussi appelés "filtres" : leur format en ogive - constituée de deux épaisseurs superposées - est particulièrement confortable, même après plusieurs heures de roulage à moto. Contrairement aux bouchons en mousses, ils ne "gonflent" pas après insertion, ce qui évite cette sensation désagréable d'écrasement dans l'oreille.

L'équilibre dicté par l'oreille interne est par ailleurs mieux préservé car ces filtres laissent entrer une léger filet d'air via le canal creux qui court sur toute leur longueur. Les versions en mousse ou en cire colmatent eux hermétiquement le conduit, au risque d'entraîner une surpression sur les liquides contenus dans l'oreille interne qui peut découler sur des déséquilibres ou des vertiges. 

Enfin, les bouchons préformés sont réutilisables : Alpine annonce jusqu'à "100 utilisations" pour ses bouchons MotoSafe Pro testés ci-dessous. A condition, bien entendu (sic !), de procéder à un nettoyage régulier pour ôter les dépôts de cérumen et conserver une parfaite hygiène : sinon, c'est "Le miel et les abeilles" dans le casque !

Leur remplacement interviendra au maximum après "environ 1 à 2 ans", estime le fabricant. Le calcul doit cependant tenir compte de la fréquence et de la durée d'utilisation : l'usure et le salissement sont plus importants avec un usage quotidien pendant 30 minutes qu'une fois par mois pendant une heure.

Les bouchons d'oreille sur-mesure 

Autre possibilité, plus onéreuse : faire réaliser des bouchons d'oreilles sur-mesure par un audioprothésiste. Cette solution est particulièrement recommandée pour les motards très sensibles au bruit et/ou qui ne trouvent pas leur bonheur parmi les tailles en théorie universelles des filtres préformés.

 

Chaque oreille étant différente, certaines ne s'adaptent pas à un format trop grand ou trop rectiligne. D'autres subissent à l'inverse des bouchons "baladeurs" car trop petits : d'autant plus pénible que l'enfilage du casque engendre inévitablement un frottement sur les oreilles, qui aboutit dans ce cas au déplacement voire à la chute des bouchons ! 

Les enseignes spécialisées dans les audioprothèses (Audika, etc.) réalisent un moule en silicone médical exclusivement adapté à son propre conduit auditif, qui offre une atténuation allant de 10 à 25 dB. Comme pour les bouchons préformés, l'action vise essentiellement les fréquences aiguës pour éviter les phénomènes de déformation et d'isolement acoustiques. 

Leur coût est fatalement assez élevé (entre 80 et 120 euros), mais certaines complémentaires santé proposent une prise en charge en fonction du contrat, sous réserve d'une prescription médicale. Bien entretenus, ces équipements ont une durée de vie d'environ 3 à 5 ans.

Que disent les normes et la loi pour les bouchons d'oreille à moto ?

Les bouchons d'oreilles sont soumis aux normes EN 352-2, quelle que soit leur utilisation : dans un cadre professionnel, de loisirs, de bricolage ou de la pratique de la moto. Ces normes européennes définissent les exigences sur les  matériaux, la conception, le confort et les performances. 

 

Cette normalisation s'applique aux bouchons préformés, à façonner - cire et mousse - et aux dispositifs sur-mesure. En cela, ils sont considérés comme un équipement "Protecteur individuel contre le bruit" (PICB) et doivent à ce titre afficher leur degré d'atténuation sonore conformément à la norme EN 24869-1. Cette mesure s'exprime en décibels (dB).

Leur utilisation à moto est parfaitement légale, malgré les doutes soulevés en 2015 par la modification de l'article R 412-6-1 du Code de la route : pour lutter contre le fléau du téléphone au volant, le législateur avait à l'époque interdit "l'usage d'un téléphone tenu en main" ainsi que le port de kits mains libres sous forme d'écouteurs à enfiler dans les oreilles.

Certains en avaient alors hâtivement conclu que tous les dispositifs intra-auriculaires étaient concernés, y compris les protections auditives sous forme de bouchons. En réalité, le décret n°2015-743 précise sans ambiguïté que cette mesure ne concerne que les dispositifs qui produisent du son, comme les oreillettes filaires vendues avec les téléphones ou leur équivalent avec liaison Bluetooth.

"Est également interdit le port à l'oreille, par le conducteur d'un véhicule en circulation, de tout dispositif susceptible d'émettre du son, à l'exception des appareils électroniques correcteurs de surdité", développe l'article R 412-6-1.

Et les protections avec réduction active du bruit ?

Cette distinction à propos de la capacité à émettre du son interdit en revanche le port d'oreillettes avec réduction active de bruit (ANR pour Active Noise Reduction), qui repose sur l'envoi d'ondes opposées à celles captées par des micros pour limiter, voire annuler certaines fréquences de bruits.

 

Cette technique développée à l'origine dans l'aviation militaire est aujourd'hui exploitée par des fabricants de casques audio comme Bose et Sony, ainsi que sur les désormais incontournables - et très chers - écouteurs Bluetooth Apple Airpods, Samsung Buds Live et autres Huawei FreeBuds.

Problème : le fait que cette technologie repose sur une émission de son suffit à la rendre incompatible avec le Code de la route français, quand bien même les ondes sonores qu'elles génèrent ne servent qu'à atténuer les bruits via un "contre-son" en opposition de phase.

Impossible donc de porter à moto les bouchons sans fils "EEP 100" ci-dessus du manufacturier 3M (célèbre pour son scotch adhésif et ses protections individuelles), qui utilisent ce principe de réduction active pour atténuer les "sons nocifs jusqu'à 38 dB" dans le cadre d'un usage "industriel et pour la chasse" précise le géant américain.

Il faut probablement y voir la raison du développement limité de casques de moto ou de dispositifs adaptables de réduction active de bruit pour les motards. Seuls les fabricants Sena et Nolan - en partenariat avec DAAL - ainsi que quelques start-up se sont déjà intéressés au sujet, jusqu'ici sans suite commerciale en Europe.

Bouchons d'oreilles à moto : les tests MNC

La rédaction du Journal moto du Net porte des bouchons d'oreille pendant ses essais et comparatifs sur route et - à plus forte raison ! - sur circuit. Plusieurs types de protections sont déjà passées dans nos esgourdes : de quoi lister pour nos lecteurs toutes les informations utiles et nos impressions.

Bouchons d'oreille en mousse

Solution économique et efficace, les bouchons en mousse de polyuréthane sont des dispositifs dits "à façonner" : on les malaxe entre ses doigts pour les affiner avant de les introduire dans l'oreille. Leur matière à expansion lente fait qu'ils reprennent ensuite leur forme initiale, bouchant ainsi totalement le conduit auditif.

Ce type de bouchons à usage unique est  très répandu dans les usines pour protéger l'ouïe des opérateurs. La marque 3M y est omniprésente avec ses bouchons jaunes fluos à petits prix : moins de 15 centimes l'unité pour un lot d'une centaine de paires.

Points forts 

  • Forte atténuation acoustique (jusqu'à 35 dB)
  • Faciles à utiliser et à se procurer : pharmacie, grandes surfaces, etc.
  • Petit prix
  • Polyvalence

Points faibles 

  • Isole de tous les bruits, un peu comme lorsque la tête est placée sous l'eau 
  • Peu confortable avec un casque de moto
  • Sensation "d'écrasement" du canal auditif
  • Équilibre perturbé pour certains individus faute d'entrée d'air

Bouchons d'oreille Alpine MotoSafe Pro 

Bouchons pré-modelés en forme d'ogive conçus en matériau souple hypoallergénique, sans silicone. Deux jeux sont fournis dans un pratique coffret de transport : la première paire avec filtre central noir pour une réduction annoncée de "17 dB", la deuxième avec filtre rouge pour une protection de "20 dB".

Cette double proposition permet d'adapter l'atténuation en fonction des conditions de roulage : la paire noire au quotidien et la rouge pour les trajets sur autoroute et les excursions sur circuit. Chacun se termine par une courte tige rigide qui facilite énormément leur manipulation. 

Points forts

  • Simples à installer et à retirer
  • Pas d'appui contre les parois du casque : confort préservé au long cours
  • Excellente efficacité : les fréquences désagréables sont filtrées, mais sans masquer le moteur et les bruits de circulation
  • Possible de téléphoner, d'écouter la sono intégrée via haut-parleurs et d'utiliser un Intercom
  • Pas de perturbations de l'oreille interne grâce à un tunnel d'air 

Points faibles 

  • Format "universel" parfois incompatible avec la forme du conduit auditif
  • Réutilisables jusqu'à 100 fois... à condition de les nettoyer régulièrement avec le spray fourni ou à l'eau tiède savonneuse !
  • Prix plus élevé

Bouchons d'oreille Alpine PartyPlug

Version dédiée aux festivaliers et autres clubbers, les Alpine PartyPlug sont le coup de coeur de MNC ! Pourquoi ? Car ces bouchons reprennent à l'identique les caractéristiques et qualités des MotoSafe ci-dessus, à un prix plus compétitif : 12,95 euros la paire sur le site officiel !

Leur atténuation de 19 dB est tout simplement parfaite pour la moto, alors que leur présence se fait oublier au bout de quelques secondes : confortables et discrets, ils nous accompagnent aussi en avion et dans le train. On apprécie alors de pouvoir échanger avec ses voisins sans avoir à tendre excessivement l'oreille !

Points forts 

  • Excellent rapport efficacité/prix 
  • Hautes fréquences très bien atténuées, sans effet d'enfermement ni déformation
  • Fournies avec un étui facile à transporter et une boîte à couvercle
  • Réutilisables

Points faibles

  • Taille unique quelquefois non adaptée
  • On cherche encore !

Bouchons d'oreille Pinlock Earplugs 

Les Earplugs de Pinlock sont fabriqués dans "des matériaux sans silicone de qualité médicale", explique ce fabricant néerlandais connu pour ses ô combien pratiques lentilles anti-buée pour casques de moto. Ils sont disponibles à 24,95 euros sur le site officiel

L'une des particularités de ces bouchons préformés est de présenter en leur centre un petite pièce rouge qui se démonte pour obtenir une atténuation plus ou moins forte, jusqu'à "24 dB SNR" selon Pinlock. Ils sont par ailleurs fournis en deux tailles différentes - soit 4 bouchons en tout : on dit merci qui ?!  - pour s'ajuster aux différentes formes d'oreilles.

Ils filtrent eux aussi surtout les fréquences aiguës pour limiter les dommages liés aux bruits intenses à moto, sans complètement "étouffer" l'audition ni interdire la communication avec un tiers. Une patte souple - mais trop courte - favorise leur placement et leur retrait.

Points forts 

  • Confortables à porter
  • Filtrage satisfaisant à moto
  • Ne bloquent pas la conversation, y compris si besoin au téléphone 

Points faibles 

  • Atténuation des sons moins élevée que Alpine
  • Manipulation laborieuse car languette minuscule et non rigide
  • Boîte de transport assez volumineuse (6,5 x 9,5 cm) : pas l'idéal avec des vêtements moto

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