Comme l'an dernier, Ducati expose son - ou plutôt "ses" - Scrambler dans un espace volontairement séparé du reste de la gamme, situé juste en face du stand principal. L'idée est de créer un "univers" Scrambler afin d'appuyer l'objectif d'en faire une marque dans la marque, comme BMW le fait avec Mini en automobile par exemple.
Comme l'an dernier, Ducati expose son - ou plutôt "ses" - Scrambler dans un espace volontairement séparé du reste de la gamme, situé juste en face du stand principal. L'idée est de créer un "univers" Scrambler afin d'appuyer l'objectif d'en faire une marque dans la marque, comme BMW le fait avec Mini en automobile par exemple.
Visible de loin avec ses containers jaunes, son espace "cosy" avec quelques poufs (des coussins, hein !) ça et là, sa pelouse synthétique et sa rampe de skate-board sur laquelle trône un Scrambler doté d'un porte planche à roulettes (!), cet espace illustre les thèmes de communication rabâchés développés par Ducati autour du Scrambler : liberté et "cool-attitude".
La musique douce et branchée qui y est diffusée tranche radicalement avec les morceaux rock ou techno entendus pratiquement partout ailleurs, tandis que les hôtesses portent des chemises à carreaux en lieu et place de l'alliance "mini-jupes + profonds décolletés" formant l'uniforme habituel sur les salons moto...
Certes, tout cela tourne autour d'une mise en scène marketing dont l'aspect décalé et "relax" est savamment étudié. Mais il faut avouer que la démarche interpelle - voire séduit -, ne serait-ce qu'en raison de sa rafraîchissante touche d'originalité.
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