D'après nos confrères du Figaro , les 400 véhicules banalisés de la gendarmerie nationale relèveraient chaque mois plus "de 50 000 infractions au Code de la route ". Un constat édifiant qui tendrait à démonter les failles du "tout répressif" mis en oeuvre par le gouvernement dans sa lutte pour la sécurité routière...
D'après nos confrères du Figaro, les 400 véhicules banalisés de la gendarmerie nationale relèveraient chaque mois plus "de 50 000 infractions au Code de la route". Un constat édifiant qui tendrait à démonter les failles du "tout répressif" mis en oeuvre par le gouvernement dans sa lutte pour la sécurité routière...
"Quand ils ne sont pas repérés à bord de leurs véhicules non sérigraphiés, les gendarmes relèvent une infraction tous les 24 km", confirme le commandant Luc Guyennon, chargé de suivre l'expérimentation des véhicules banalisés en France.
Lancée en 2007, cette "expérimentation" s'appuie sur une flotte de plus de 400 voitures et de 50 motos - chargées de signaler les infractions par radio - sillonnant les autoroutes et les axes secondaires. Chaque voiture banalisée relèverait en moyenne pas moins de 140 infractions par mois (!), dont 36% concernent l'usage du téléphone au volant et 10% le non-port de la ceinture ou du casque.
"Il ne s'agit pas de faire du chiffre mais de faire cesser les comportements les plus dangereux. Ce mode d'action va s'intensifier dans les prochains mois", annonce le lieutenant-colonel Jean-François Valynseele du bureau de la Sécurité routière à la Direction générale de la gendarmerie nationale.
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