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MORTEL COMBAT
Paris, le 26 septembre 2019

La sécurité routière défend son bilan sur les 80 km/h

La bataille des chiffres se poursuit entre la Délégation à la sécurité routière et le Comité indépendant d'évaluation des 80 km/h, qui dressent un bilan radicalement différent du nombre de vies épargnées par la réduction de la vitesse sur le réseau secondaire. Explications.

Commentaires

Combien de temps encore perdu avec cette connerie ?. Venez voir l'état de nos routes départementales !!!! Augmentez les contrôles d'alcoolémie ,de stupéfiants et du portable au volant !! Faites le bilan de ceux qui respectent vraiment le 80 avant d'en conclure le bien-fondé !!! Des sous pour nos routes de campagne !!!!!!!!! Stop aux rêveurs bornés qui nous coûtent cher!!!!!
Comment la DSR peut-elle oser parler d'un bilan du 80 sans aucun chiffre qui isole l'accidentalité des seuls tronçons concernés par le passage à 80 ! Critiquer la rigueur scientifique de qui que ce soit quand on n'en a aucune, c'est assez fort de café... Parler de résultats, d'expérimentation donc d'évaluation de la mesure est purement et simplement un mensonge. Pour mémoire, les seuls chiffres d'accidentalité sur lesquels s'appuie le discours sont sur autoroute, en zone urbaine et HAHA (hors autoroutes hors agglomérations), ce qui en effet est plus que risible quand on sait que ce HAHA comporte des tronçons à 50, 60, 70, 80, 90, 110... La vraie question est : à quoi auraient pu servir les fonds et l'énergie dépensée pour cette mesure non mesurable si ç'avait été affecté aux 70% d'autres causes d'accidents que la vitesse excessive. Car toute la nuance est là : c'est une vitesse excessive eu égard aux circonstances, inadaptée, qui cause un accident, pas un excès de vitesse qui, lui, n'occasionne dans l'immense majorité des cas... qu'une prune !

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