Sans la détresse de centaines de milliers de personnes qui bloquent les ronds-points depuis le 17 novembre pour protester contre la hausse des taxes sur le carburant et "redonner de la dignité aux citoyens", la façon dont l'exécutif a "géré" cette crise inédite pourrait être assez comique. Ou tragique. Ou tragi-comique... Edito.
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