La moto a tenu le coup en 2014
Deux éléments ont joué un rôle à cet égard : un printemps doux et précoce, ainsi que la sortie de plusieurs nouveaux modèles.
Par contre, la fédération motocycliste de Belgique (FMB) regrette que les autorités politiques n’accordent pas plus d’attention à la moto comme instrument de mobilité. « A l’occasion des élections, nous avons analysé les programmes des partis et constaté que les termes ‘moto’ et ‘scooter’ en étaient pour ainsi dire absents. Même chose pour les accords de gouvernement. La moto comme solution au problème de mobilité ne bénéficie pas encore de l’appui du politique », déplore Stijn Vancuyck, conseiller deux-roues motorisés au sein de la FEBIAC, qui estime pourtant que « s’il y avait 10 % de motos et de scooters en plus sur la route, les embouteillages quotidiens seraient réduits de 40 % et se résorberaient aussi plus rapidement ».