GP de Valence MotoGP - Lorenzo (abandon) : "Si on avait rattrapé Zarco et Pedrosa, j'aurais certainement laissé passer Dovizioso"

Ho ho ho ! ! Que des philosophes dans cette famille, décidément. L’émulation contraint au sport cérébral et cela explique beaucoup de choses....

(Encore heureux que je ne me sois pas fait allumer par Rutting-Bull au sujet de son chouchou. A deux, j'aurais rendu les armes)

Sitting Bull serait il en réalité Rutting-Bull ?

Voyez vous ça ! Le vieux grigou ! ("La taupe au regard perçant " ? Je trouve que Goscinny était plus inventif que Hergé concernant les patronymes des grands chefs indiens)

En outre, Crutchlow lui laisse éclater sa colère sans retenue ni dissimulation, sans penser à l'effet marketing.... enfin bref, comme tu dis, c'est pas le sujet...

Je me suis mal fait comprendre Cire, c'est pas la coup de poing en soi, mais cette capacité à se composer un visage jovial et toutes dents dehors, juste quelques minutes après le faits qui éveillent ma méfiance. J'ai déjà eu affaire à des gens capables de faire pareil, et crois moi, tu risquerais gros à leur tourner le dos, tous autant qu'ils sont. Pour le reste, la première chose à laquelle j'ai pensé à l'issue de ce dernier grand prix c'est que Lorenzo s'est grillé chez Ducati. Il a humilié son encadrement devant des millions de personnes, et ça, ça ne s'oublie pas. Il n'est pas le seul à avoir sa fierté... Enfin, on verra bien après l'hibernation.

Eh ben voilà ! Aucun droit à 'être un électron libre; il faut absolument être dans le camp des pro et des antis. Choisis ton camp camarade et que la castagne épistolaire commence ! Défendre Rossi, Gépé ? Comme tout le monde je respecte son palmarès et son exceptionnelle longévité au plus haut niveau. Timagines le travail et le sacrifice que ça nécessite ? Un travail qui devient d'autant plus ardu que le poids des ans se fait sentir, toi, sitting-Bull et moi nous en savons quelque chose...Je le respecte mais au fond je ne l’apprécie pas trop. Principalement par son obsession a se faire passer pour le gendre idéal, espiègle et sympa alors que c'est un impitoyable tueur. Et je le sais depuis l'épisode de sa torgnole à Biaggi. Un gendre idéal ne tape pas quelqu'un et vient juste après, tout sourire et simagrées bon enfant pour l'interview. Vaste hypocrisie que tout cela. Et tu voudrais me faire passer pour hypocrite moi aussi Gépé ? Tu voudrais me coller la caractéristique qui fait que Rossi ne soit pas ma tasse de thé justement ? /// Pour le reste, bah oui. Avec qui comparer un pilote sinon avec son coéquipier ? Et en l’occurrence, tu as tout dit dans ta première phrase. Et cette réalité là aurait du l'inciter à un peu d'humilité en respectant les consignes de son équipe et en évitant de nous prendre pour des "gens bons" dans ses justificatifs à la mord moi le mollet. A la limite, j'aurais trouvé beaucoup plus respectable qu'il dise carrément qu'il a joué sa carte personnelle, qu'il se fiche de Dovi et qu'il voulait absolument finir sur une note positive chez lui sur un circuit où il excelle pour redorer le blason d'une saison bien terne. Juste parce que son ego dépasse les cv

Pourquoi cette propension a toujours évoquer Rossi quand le sujet est Lorenzo ? C'est pavlovien ? En l'espèce, lors de ce grand prix, le sujet est Ducati est ses deux pilotes, que vient faire Rossi dans cette histoire ? Le fait est qu'à Valence, Lorenzo a fait étalage de sa mentalité de mule entêtée et de son ego qui by-pass son cerveau, et cela restera dans son CV. (Et le pire c'est de nous prendre pour des billes en tentant de se faire passer pour le bon samaritain lors des interviews) Lorsque Rossi où n'importe quel autre pilote fera la même chose dans une finale où son coéquipier jouera le titre, il faudra en parler et condamner aussi, voilà tout.

Por... Fuera !!! Comme le lui a dit Yamaha, et probablement aussi Ducat s'il continue sue cette voie (voix)

Andréa Doviziozo constitue la preuve vivante qu'on peut être tout à la fois, italien, grand pilote moto et parfait gentleman. Et ce dernier point, malheureusement pour Lorenzo, il ne s'improvise pas: on l'est ou on ne l'est pas. Et tout le blabla du monde n'y pourra jamais rien.

Mais bien sûr, Lolo... Mais bien sûr.