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BALI
le 16 janvier 2002

Une 125 au paradis !

Novembre 2000Quand on sort de l’aéroport de Denpasar, la première chose
qui frappe est une douce chaleur passablement humide...

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  L E S   R O U T E S
EN BREF

Lectures
de balade :

Nadia : Le livre de Saphir de Gilbert Sinoué, que je
qualifierais d’aventure théologique, dont le cadre est l’Espagne du XVème
siècle, autour des trois grandes religions monothéistes : judaïsme, christianisme
& islamisme.

" Ce que je vais te livrer est le plus troublant, le plus
prodigieux de tous les secrets. Libère ton esprit de toute entrave. Bois chacune de mes
phrases. Que ni le parfum mourant des jasmins, ni le babillage des femmes voilées,
qu'aucune de ces choses terrestres ne puisse te distraire de ta lecture. C'est l'histoire
d'un livre ".

Hervé : le livre, ou plutôt le conte Mèmed le mince,
de Kemal Yachar. Au fin fond de montagnes turques, un ado se heurte à la toute puissance
d’un agha local : Mèmed n’a d’autre choix que le banditisme. Craint
des riches et des oppresseurs, aimé des pauvres, Mèmed devient un personnage légendaire
à travers plaines et montagnes d'Anatolie.

" La lueur, pas plus grosse qu’une tête
d’épingle, apparut dans les yeux de Mèmed. Quand il apparaissait, ce reflet, ses
traits se tendaient, il ressemblait à un tigre qui va se jeter sur sa proie. Lentement,
Mèmed se leva :

- Venez, camarades ! dit-il. On va régler son compte à Abdi agha !"

Un animal totem :



Si on devait désigner un animal totem pour l’Indonésie, Nadia choisirait, sans
hésitation aucune, le Géko, lézard présent dans toute les bonnes guest-house, de
préférence juste au-dessus du lit, et qui doit son nom à son cri caractéristique.


Un conseil, un seul :

Allez à Bali et à Lombok.


Hervé les bons tuyaux :

Emportez simplement un petit sac par personne. Vous avez besoin de trois fois rien sur
place et vous y trouverez l’indispensable à bas prix, y compris les fringues. Avant
de rentrer, vous pourrez acheter un grand sac pour emporter tous les objets qui vous
auront fait craquer.


En arrivant, donnez-vous un ou deux
jours pour flairer le lieu, prendre le rythme du pays et vous faire une idée des prix.
Ensuite louez une moto par personne et lancez-vous sur les routes munis d’une bonne
carte (par exemple Nelles Maps) et de toutes vos palabres anglaises, gestuelles et autres.
On se déplace très vite d’un point à un autre, ces îles ne sont pas plus grandes
qu’un département français et les Balinais sont des conducteurs prudents malgré la
première impression ressentie. Prenez quand même, à l’occasion, des bémos :
un cadre de rencontre très riche bien qu’ils ne procurent pas l’autonomie
d’un deux-roues.

 BALI

Une 125 au paradis...

Quand on sort de l’aéroport de Denpasar, la première chose qui frappe est une douce chaleur passablement humide...

Les premiers pas

Après une semaine passée à se repaître de paysages de rizières, de caldeira
volcanique et de visites de temples hindous à Bali, nous avons donc pris le ferry à
Padang Bay, petite anse aux couleurs de rêve dans laquelle pénètrent on ne sait trop
comment d’énormes ferry ventrus, couverts de traînées orange tellement la rouille
les ronge.

Nous sommes arrivés à Lembar le 14 août,
à la tombée de la nuit. En grimpant dans le bémo avec les quatre Australiens et le
Suédois, nous nous sommes une nouvelle fois interrogés sur la capacité de ces engins à
engloutir des êtres humains. Le charme des transports en commun en Asie du Sud-Est
consiste à prendre un minibus le plus petit possible pour se faufiler partout et à le
remplir avec un maximum de clients pour le rentabiliser au mieux. Donc, quand quatre
autres bonhommes ayant fini leur journée au port nous eurent rejoints avec le chauffeur,
et qu’autant de sacs à dos que de touristes furent entassés sur une des banquettes,
nous étions fin prêts pour découvrir Lombok.

Lombok, terre musulmane, est une île gaie et animée jusque tard dans la soirée. Tard
dans la soirée s’entend jusqu’aux environ de minuit, sachant que le soleil se
couche tous les soirs vers 18h00. Cette ambiance nous change un peu du calme et de la
discrétion balinaise. Nous passerons notre première nuit à Lombok dans un petit
bungalow charmant, non loin de la mosquée de Mangsit…

Les premiers tours de roues

Et la moto dans tout ça ? C’est ce soir-là, en rentrant de la balade en
bateau, que nous sommes allés louer notre première moto : une de ces innombrables
125 qui sillonnent les routes de l’Indonésie. Ce sont des petites motos japonaises,
qui ont l’air de toutes se ressembler : une allure de mobylette, une longue
selle, des pneus lisses, des rétros inexistants… et un truc qui paraît assez
bizarre : la pédale de gauche est double, elle passe devant et derrière le
cale-pied ! Ah, il n’y a pas non plus de levier d’embrayage !
J’ai oublié comment ça s’appelle, mais en fait ça fonctionne plutôt
bien : quand on veut monter une vitesse, on appuie devant ; et quand on veut
rétrograder, on appuie derrière avec le talon. Et tout ça sans embrayer ni débrayer.

Après contrôle de
certaines fonctions comme le freinage de l’engin et explications sur le
fonctionnement décrit ci-dessus, nous enfourchons la bête et partons faire nos premiers
tours de roues indonésiens… Evidemment, ce système de passage de vitesse est pas
mal, mais faut quand même s’y habituer, surtout en roulant à gauche dans une
circulation dense et aux véhicules très variés : depuis le cidomo, petite voiture
à deux roues tirée par un cheval, hyper inconfortable et tape-cul mais très typique,
jusqu’au camion bariolé et surchargé qui déboule a grand renfort de klaxon. Une
explication, quand même : le klaxon en Indonésie n’est pas une chose difficile
à vivre quand on a compris qu’il sert à avertir (‘tention, j’te
double !), et non pas à rouspéter en gueulant comme un putois dans sa bagnole à la
mode occidentale.

Le lendemain, nous partons pour notre premier vrai trajet à mobylette. Direction
Tetebatu, petit village agrippé aux premiers contreforts montagneux du mont Rinjani, soit
environ 170 km aller-retour. Rinjani est LE volcan de Lombok, encore en activité et
d’une altitude de 3 726 m. Nous devons y retrouver quatre personnes avec
lesquelles nous avons sympathisé dès notre départ de France et que nous croisons sans
cesse par hasard depuis : Laure, Claire, Jean et Chantal. L’occasion de
Tetebatu, la seule qui fut calculée, échouera d’ailleurs lamentablement, et nous ne
parviendrons pas à nous voir au cours de cette journée !

Escapade au cœur du Paradis sur Terre

Les deux jours suivants seront notre véritable périple à deux roues. Sur les
conseils d’amis de nos quat’ zamis, nous traçons notre itinéraire, qui sera
quelque peu plus long que la veille, et prévoyons de passer la nuit à Kuta, à
l’extrême sud de l’île, alors que nous partons de Mangsit, située dans le
nord-ouest.

Dès le matin, la température douce et
agréable nous permet de rouler en tenue légère. Il me faut apporter ici une précision
importante à propos de la sécurité. Lors de nos déplacements à moto, nous étions
dans l’irrespect le plus complet des règles de sécurité motardes en vigueur…
en Europe. Il nous est apparu proprement impossible de transposer nos usages à
l’autre bout du monde. Même si, à différentes reprises, nous avons cru télescoper
un piéton, un cycliste, ou encore un coq poursuivi par un chien au milieu de la route,
nous nous sommes adaptés aux usages locaux comme, par exemple, porter un casque tout
juste bon à nous tenir la tête à l’ombre, ou encore ne pas mettre de gants, ne pas
porter de blouson… Somme toute, nous avons pris quelques risques, mais il faut avouer
que nous avons aussi apprécié de rouler, pour une fois, en toute simplicité !

La route que nous prenons longe la cote
ouest jusqu’à Lembar après avoir traversé Mataram, agglomération de trois pôles,
l’un économique, l’autre administratif et le troisième portuaire, qui ensemble
constituent la capitale de Lombok. Cette route est large bien que minée de nombreux nids
de poule qui obligent les camions, les voitures et les deux-roues à zigzaguer d’un
bord à l’autre. La circulation y est vraiment rapide compte tenu de
l’importance du trafic. Nous sommes pressés de parvenir à Lembar pour pouvoir
rouler plus tranquillement sans risque de se faire renverser dans un concert de klaxon.
Mais sur cette route, nous avons déjà goûté à la gentillesse des Indonésiens :
à peine notre carte routière est-elle dépliée qu’un piéton s’arrête ou
qu’une mobylette fait demi-tour pour nous renseigner. Enfin, nous attaquons, toujours
plein sud, une petite route en pas trop mauvais état (pour le moment…) et bien moins
encombrée. Le prochain village que nous devons traverser est Sekotong Timur. Nous ne le
savons pas encore, mais pendant les cinq prochaines heures, nous ne croiserons que très
peu de monde et ne traverserons que de tout petits villages dont les habitants ne sont pas
très coutumiers des visites touristiques.

Nous cheminons ainsi de village en village, nous arrêtant par-ci par-là pour demander
notre route, c’est-à-dire en s’efforçant de prononcer du mieux possible le nom
du prochain patelin, parce que, sorti de "Hello, hello", nos braves
interlocuteurs ne parlent pas plus anglais que nous ne parlons l’indonésien et
encore moins le dialecte local qui est, à Lombok, le sasak. Nous traversons donc Sekotong
Tengah après Sekotong Timur (!), puis Sepi, et encore Montong Sapah. C’est après
Keling que nous nous sommes arrêtés à un petit col qui dominait une baie profonde. Il
était temps de faire une pause casse-croûte. Au menu : noix de coco, mini-bananes
et biscuits made in Lombok. Plutôt frugal comme repas, mais notre trajet prenant des
allures de raid, il est près de 14h30 et nous ne sommes pas encore arrivés à
destination (Kuta) alors que nous pensions y être pour midi ! Qu’à cela ne
tienne, nous voici regonflés à bloc et d’attaque pour chevaucher notre rouge
destrier.

Ca chauffe !

On est d’autant plus motivé
qu’il nous a semblé apercevoir, du haut de notre col, une plage à l’air
accueillant tout au fond de cette baie profonde, là, au bout sur la gauche…
J’avais toujours cru, naïvement d’accord mais sincèrement aussi, que de telles
plages n’existaient que dans les studios d’Hollywood… Erreur… Devant
nous s’étale une plage infinie, au sable blanc et fin comme du sel, à l’eau
turquoise et transparente… Seuls quelques bateaux de pêcheurs occupent ce lieu
enchanteur, bercé par le bruit des vagues et encadré d’un somptueux décors de
montagnes verdoyantes. Adam et Eve ne devaient pas être mieux lotis que nous !

Le Paradis, oui mais après…

De retour sur terre après cette halte paradisiaque, nous bouclons notre première
étape en arrivant à Kuta après quelques six heures d’un trajet que nous
n’avions même pas imaginé en rêve ! Pratiquement 150 km de routes dont
plus de 100 km de pistes défoncées, ravinées, pentues comme jamais, sans oublier
le décor grandiose. Et le tout ponctué d’étapes plus enrichissantes et inattendues
les unes que les autres. Kuta, c’est d’abord une baie fort jolie avec un village
de pêcheurs. Puis c’est devenu un lieu touristique apprécié, entre autres, par les
surfeurs du monde entier. Quand nous y arrivons, nous découvrons un nombre impressionnant
de petits hôtels offrant leurs bungalows et leurs restaurants. Le guide du routard,
soi-disant mis à jour tous les ans, ne parle que de quelques trois ou quatre lieux
d’hébergement … Qu’à cela ne tienne : à mobylette, on a vite fait
de faire un tour pour choisir le lieu de notre étape et de nous attabler devant une bonne
bière bien fraîche en contemplant la carte. Plus tard, nous regretterons de n’avoir
prêté attention qu’au restaurant et non pas à l’état du bungalow …

Dans l’immédiat, notre principal
souci est de nous restaurer. En attendant d’être servi, vaguement endormi, je laisse
mon regard se perdre sur la plage peu fréquentée tandis que la mer reflue au large. Et
le miracle se produit à nouveau : comme à chaque fois, c’est par hasard que
nous apercevons "la bande des quatre" ! Nadia part en courant à la
rencontre de nos copains de voyage, Laure, Claire, Jean et Chantal tandis que je garde un
œil sur nos affaires. Avec empressement nous nous racontons nos périples respectifs
pour finalement nous donner rendez-vous sur la plage d’ici une petite heure. Le soir
nous fêterons ensemble les 50 ans de Jean qui, modestement, en paraît tout juste 40, et
nous déciderons que "la bande des quatre" louera trois motos dès demain matin
pour nous accompagner dans notre aventure motorisée. Ils ne sont pas motards et
n’ont pas connu la joie adolescente de la mob.. Quand, à nouveau réunis lendemain,
arrivent enfin les engins, les uns piaffent et n’attendent que de faire un essai,
tandis que les autres se font des politesses ! Les démarrages sur les gravillons de
l’hôtel ne rassurent pas les loueurs qui, assurément, ne sont pas des
professionnels mais des particuliers qui "diversifient leurs revenus". Chantal,
courageuse, enjambe une des motos et s’apprête à démarrer.

Le paradis, ça se partage

Nous enfourchons nos montures et reprenons la
route avec, dans la tête, l’envie de se trouver une petite plage sympa et déserte.
Chose qui fut faite à peine quelques kilomètres plus loin. Les mobylettes abandonnées
au bord de la route, nous avançons vers cette plage, encore une fois paradisiaque tant le
sable est blanc et la mer transparente et turquoise. Après cette baignade matinale, nous
reprenons la route. Les conducteurs des trois autres motos semblent prendre de
l’aisance et notre progression continue, jamais très loin de la mer que nous
découvrons au détour d’un petit col ou derrière un virage. Bien qu’il y ait
peu d’embranchements, notre carte est précieuse et nous prenons soin de la regarder
régulièrement en ponctuant notre analyse de commentaires qui ne sont pas toujours pour
rassurer notre groupe. De toute façon, ils n’ont pas le choix et s’en remettent
à nous de bonne grâce. Le paysage est ici bien différent de celui qui nous entourait la
veille. Point de montagne, mais plutôt une grande plaine sèche ou la mer a probablement
tenté des incursions car on devine par endroit des zones plus sombres avec des arbres,
comme un marais qui s’assécherait progressivement.

Coqs, chiens et crevaisons...

La suite de notre
itinéraire s’éloignait de la mer et des plages paradisiaques. Notre route
ressemblait d’ailleurs de moins en moins à la piste, caillouteuse certes mais toute
même régulière, que nous empruntions depuis le matin. Petit à petit nous retrouvions
une route goudronnée avec son cortège de nids de poules, d’ornières,
d’effondrements et de ravinements. Le paysage évoluait aussi, sans cette mer
omniprésente depuis deux jours. Un air de campagne s’installait autour de nous, avec
des champs cultivés, des pâturages avec leurs vaches aux allures de gazelles et leurs
zébus. Les zébus, pas toujours dans les pâturages d’ailleurs, mais aussi sur la
route, à vous regarder droit dans les yeux avec on ne sait pas trop quelle idée dans le
crâne, juste derrière une paire de cornes gigantesques et effilées. Le coq poursuivi
par le chien au milieu de la route, c’était pas mal aussi et finalement, on a dû
avoir aussi peur qu’avec les zébus. Des coqs, y en a partout en Indonésie. Ce sont
des coqs de combats. Les chiens, y en a pas mal aussi. Et là, un des chiens qui a
décidé de se taper un des coqs au milieu de la route, à la seconde pile où on arrivait
à leur hauteur. Je l’ai pas fait exprès, mais la roue avant de la moto a séparé,
au millimètre, les poils de la gueule du chien des plumes de la queue du coq…
Heureusement parce qu’il paraît, que là-bas, si on écrase un de leurs champion de
coqs de combat, il vaut mieux ne pas s’arrêter et filer jusqu’à
l’ambassade direct !

De retour du paradis

De notre coté, nous continuons au milieu de
la foule retrouvée : camions surchargés, voitures pressées, bémos
s’arrêtant n’importe où, marcheurs le long de la route… Nous arrivons
finalement à la tombée de la nuit à Senggigi où nous rendons au loueur la mobylette
rouge qui nous amena, au terme d’un périple de près de 300 km, jusqu’au
Paradis sur Terre. Un peu désemparés parce que démunis de notre deux roues chéri, nous
avons sauté dans un bémo pour nous faire déposer à l’hôtel de Mangsit qui avait
gardé un de nos sacs à dos. Le lendemain, les yeux encore plein d’images de notre
virée, nous embarquions sur le ferry qui nous ramenait sur Bali où nous avions encore à
découvrir la plongée avec bouteilles à Tulamben, le temple de Tanahlot que la mer verte
encercle de ses vagues puissantes. A Ubud nous avons revu, une dernière fois, la bande
des quatre avant leur retour en France.

Nous avons ramené de l’autre bout du monde de bien belles images et bien des
souvenirs, les plus importants étant sans conteste les quelques échanges que nous avons
pu avoir avec des Indonésiens, au hasard de notre parcours.

Hervé

© Moto-Net - Novembre 2000

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