Depuis l'élection de Jacques Bolle, l’avenir des sports mécaniques est plus que jamais au coeur des préoccupations de la Fédération française de motocyclisme (FFM), l'instance dirigeante du sport moto français, qui multiplie les initiatives pour mener à bien son action de lobbying auprès des autorités.
Depuis l'élection de Jacques Bolle, l’avenir des sports mécaniques est plus que jamais au coeur des préoccupations de la Fédération française de motocyclisme (FFM), l'instance dirigeante du sport moto français, qui multiplie les initiatives pour mener à bien son action de lobbying auprès des autorités.
Après avoir rencontré la conseillère sport de Nicolas Sarkozy à l'Elysée (lire MNC du 30 juin 2010 : Jacques Bolle à l'Elysée), Mister Président a été reçu hier à l’Assemblée nationale par le groupe d’études sur les sports mécaniques (MNC du 6 mai 2010 : l'Assemblée nationale se penche sur les sports mécaniques), afin d’évoquer les difficultés rencontrées par le sport motocycliste.
D’après la FFM, les députés constituants le groupe d’étude "ont bien perçu les risques menaçant les sports mécaniques et en particulier depuis la publication du décret Natura 2000 le 11 avril dernier".
Les parlementaires se sont proposés d’aider la FFM dans ses démarches vis-à-vis du ministère de l’écologie, notamment par l’intermédiaire des questions écrites au gouvernement, afin d’obtenir des éclaircissements sur les objectifs de ce ministère à propos des sports mécaniques.
La FFM, qui a récemment saisi le Conseil d’Etat (lire MNC du 15 juin 2010), compte bien ne pas s’arrêter en si bon chemin. Elle déclare avoir "bien l’intention de poursuivre ses actions au plus haut niveau dans le but de sauvegarder les pratiques dont elle a la charge".
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