• L'essentiel
  • -
  • En savoir plus...
Paris, le 31 août 2016

Moto GP : tout ce qu'il faut savoir sur le GP de Grande-Bretagne à Silverstone

Moto GP : tout ce qu'il faut savoir sur le GP de Grande-Bretagne à Silverstone

Le circuit de Silverstone accueille ce week-end - pour la septième année consécutive - le Grand Prix de Grande-Bretagne, douzième épreuve du championnat MotoGP 2016 . Marc Marquez, impressionnant de régularité et de maturité depuis le début de la saison, débarque outre-Manche avec 53 points d'avance sur Rossi et 59 sur Lorenzo.

Imprimer

Le circuit de Silverstone accueille ce week-end - pour la septième année consécutive - le Grand Prix de Grande-Bretagne, douzième épreuve du championnat MotoGP 2016. Marc Marquez, impressionnant de régularité et de maturité depuis le début de la saison, débarque outre-Manche avec 53 points d'avance sur Rossi et 59 sur Lorenzo.

Programme du GP de Grande-Bretagne 2016

Vendredi 2 septembre

Samedi 3 septembre

Dimanche 4 septembre

Avec deux victoires d'avance et seulement sept courses restant à disputer, la domination de Marquez est telle que même ses plus pugnaces adversaires commencent à rendre les armes : "je ne peux plus revenir sur Marc, j'ai commis trop d'erreurs", a laissé échapper Valentino Rossi après la dernière course en République tchèque, avant de se ressaisir et d'affirmer qu'il "ne renoncerait pas tant qu'il y aura un espoir".

2017 ? Un grand cru pour Marquez !

Pour autant, si Marquez se dirige de manière prévisible vers son troisième titre en MotoGP (lire MNC du 11 août 2016 : Marquez champion du monde MotoGP 2016, statistiquement, c'est fait) alors que se profile la douzième étape à Silverstone (circuit sur lequel l'officiel Honda est par ailleurs le seul avec Lorenzo à compter plusieurs victoires), la saison 2016 s'est montrée jusqu'ici incroyablement palpitante !

Pas forcément désigné comme favori au regard des problèmes de mise au point de sa Honda - en manque d'accélération depuis l'introduction cet hiver d'un vilebrequin contrarotatif comme sur les M1 et Desmosodeci et surtout de l'électronique standardisée -, Marc Marquez a par exemple surpris en réunissant des qualités inédites : à sa vitesse naturelle, l'espagnol a su ajouter une lecture intelligente de la course et de la maturité. 

Sa RCV peine à transmettre toute sa puissance au sol à cause de la lenteur du HRC à apprivoiser les logiciels uniques ? Qu'à cela ne tienne : le n°93 compense son déficit en freinant plus tard pour entrer plus fort en courbes ! Autre domaine dans lequel il excelle : les courbes rapides dans lesquelles il plonge comme une torpille. D'où son aisance - et ses victoires - en Argentine puis aux Etats-Unis.

Mais comme il a retenu les leçons du passé, l'officiel HRC sait désormais cerner les limites de sa prise de risques : si la victoire est trop délicate à obtenir, Marquez gère son effort pour scorer de gros points. Enfin "gérer", façon de parler : du bord de piste, son style caractéristique "roue arrière levée au freinage puis coude au sol" rappelle qu'il ne s'économise pas !

Et tant pis si Lorenzo lui souffle la victoire en Italie - pour 0,019 sec ! - , si Rossi le bat à domicile en Catalogne et que Miller le devance sur le mouillé à Assen : Marquez termine à chaque fois ou presque sur le podium (9 podiums en 11 courses et aucun résultat blanc), creusant petit à petit un avantage devenu quasiment irrattrapable...

Cette approche à la fois opportuniste et pleine de panache (Marquez s'est tout de même imposé trois fois) est à l'opposée de celle de Valentino Rossi, piégé par son empressement et son manque de discernement à Austin, à Assen et au Sachsenring. Et ce malgré son expérience hors normes : le nonuple champion du monde de 37 ans prendra ce week-end son 250ème départ en MotoGP (contre 150 pour Lorenzo) !

Un vainqueur différent à chaque course depuis six GP !

Outre ces intéressants rebondissements, le championnat du monde 2016 présente la caractéristique de mettre en avant plusieurs vainqueurs différents, à la fois grâce au nivellement des motos permis par la standardisation de l'électronique mais aussi grâce aux caprices météo dont ont profité Jack Miller à Assen, puis Cal Crutchlow à Brno.

Ajoutez à cela la stupéfiante - bien que prévisible - démonstration de puissance d'Andrea Iannone sur la Ducati au Red Bull Ring, et vous obtenez six vainqueurs différents lors des six dernières courses : Lorenzo en Italie, Rossi en Catalogne, Miller aux Pays-Bas, Marquez en Allemagne, Iannone en Autriche et Crutchlow en République tchèque. Et trois marques aux avant-postes : Ducati, Honda et Yamaha.

Certes, les conditions météo ont joué un rôle déterminant dans l'obtention de la première victoire pour les deux pilotes Honda satellites (LCR et Marc VDS). Mais tout de même : aucune compétition de sports motorisés ne peut se vanter de présenter une telle diversité sur la plus haute marche du podium, qu'il s'agisse de la F1, des rallyes WRC ou du World Superbike. 

En ligne de mire désormais, le record de sept vainqueurs différents datant de 2006, quand le pugnace et sympathique Nicky Hayden avait fait trébucher à Valence - au propre comme au figuré - Valentino Rossi pour la première fois de la carrière de l'italien en MotoGP...

A l'époque, outre Hayden et Rossi, Loris Capirossi, Toni Elias, Marco Melandri, Dani Pedrosa s'étaient aussi hissés jusqu'à la première marche du podium. Et le septième ? L'exceptionnel Troy Bayliss bien sûr, mémorable vainqueur de la finale à Valence lors de sa pige au débotté pour Ducati devant Capirossi et Hayden (ci-dessus) !

Cette année, ce record pourrait être au moins égalé voire battu grâce - on le souhaite ardemment - à un retour de Dani Pedrosa au premier rang. Un retour très attendu qui ferait au passage les affaires de Rossi et Lorenzo, qui ont impérativement besoin de pilotes s'intercalant devant Marquez pour espérer ralentir sa "Marc Royale"...

Déclarations d'avant course à Silverstone 

Marc Marquez, Honda-Repsol : "La météo est souvent imprévisible à Silverstone, ce qui signifie que le froid et la pluie sont des variables auxquelles il faut être préparé. Nous avons eu des conditions mitigées à plusieurs reprises cette année et nous avons vu à quel point il était important de rester concentrés et de faire les bons choix. Nous allons voir comment le week-end se passera et essayer de gérer la situation de la même manière que d’habitude. J’aime beaucoup cette piste, il y a un premier secteur lent puis une série d’esses où on peut faire la différence si on a trouvé un bon set-up pour la moto. J’ai toujours aimé courir là-bas et nous allons faire de notre mieux pour avoir le meilleur résultat possible".

Rossi estime avoir "payé très cher l'an dernier"...

Valentino Rossi, Yamaha-Movistar : "Je suis très motivé, je veux essayer de remporter d’autres courses et ce championnat parce que j'en suis passé très près l’an dernier. Ma sensation à la fin était très mauvaise parce que je pense que la fin de l’année n’avait pas été juste. Les deux ou trois semaines qui ont suivi la dernière course ont été dures puis j’ai repris la course au Rally de Monza et à ce moment là je me suis dit qu’il fallait oublier. On n’oublie jamais mais on essaye ! Quoi qu’il en soit, la pression et l’énergie que j’ai donnée l’an dernier représentaient un effort extrême et arrivés à la dernière course, vous récupérez cette énergie si vous gagnez mais si vous perdez, vous ne récupérez rien du tout. Je pense que j’ai payé très cher l’an dernier"

KTM teste encore et encore…

Après s'être officiellement confrontée à ses rivales lors des tests de reconnaissance au Red Bull Ring (Autriche), la KTM de MotoGP s'est rendue à Misano (Italie) pour une nouvelle série de tests menée par Mika Kallio, Alex Hofmann et Karel Abraham, remplaçant de dernière minute de Tom Lüthi qui récupère de sa lourde chute à Brno. La marque Orange, dont le prototype piloté par Kallio a tourné à 1,7 sec des meilleurs en Autriche, en a profité pour essayer un nombre important de nouvelles pièces, dont un cadre et un carénage redessinés.

Comme d'habitude, les ingénieurs autrichiens et leurs pilotes se sont dits enchantés des progrès enregistrés : "les principales pièces avaient montré leur potentiel et nous en sommes très contents", rapporte Sebastian Risse, directeur technique du projet. KTM prévoit de prochainement poursuivre son développement à Aragon (Espagne), pour mieux préparer sa première wild card prévue lors de la finale à Valence (Espagne).

"C’est dommage parce que j’ai le potentiel de me battre pour ce championnat mais nous sommes maintenant trop loin derrière, parce que j’ai manqué de chance et que j’ai aussi fait des erreurs. Si la moto n’avait pas cassé au Mugello, s’il n’avait pas plu à Assen j’aurais été très fort, s’il n’avait pas plu au Sachsenring j’aurais pu me battre pour la victoire… Nous avons le potentiel mais nous n’avons malheureusement pas assez de points. L’objectif pour les prochaines courses sera donc de rester à ce niveau et d’essayer de marquer plus de points".

Lorenzo et Pedrosa en quête de rédemption

Jorge Lorenzo, Yamaha-Movistar : "Suite aux deux courses qui se sont suivies en Autriche et à Brno, la situation n’est pas celle que nous espérions. À partir de maintenant nous allons devoir penser course par course et essayer à chaque fois d’obtenir le meilleur résultat possible. Notre prochaine étape sera Silverstone, nous devrons donner le maximum et retrouver le plaisir de piloter la moto. C’est l’une des mes pistes préférées mais la météo y est malheureusement très instable. J’espère cependant à nouveau faire une bonne course là-bas !"

GP de Grande-Bretagne : les chiffres clés

  • Le tout premier Grand Prix de Grande-Bretagne s’est tenu en 1977 à Silverstone. Pat Hennen (Suzuki), Kork Ballington (Yamaha) et Pierluigi Conforti (Morbidelli) remportèrent cette première édition en 500, 350-250 et 125. Auparavant, le championnat du monde se rendait sur l’Île de Man pour le Tourist Trophy, épreuve qui fut finalement retirée du calendrier pour des raisons de sécurité.
  • Après dix saisons à Silverstone, le Grand Prix de Grande-Bretagne a déménagé sur le circuit de Donington Park. Il faudra attendre 2010 pour voir le championnat du monde revenir dans le Northamptonshire. La piste ayant été entre temps très légèrement modifiée pour atteindre les 5,9 km.
  • Kork Bollington et Ángel Nieto sont les deux pilotes qui ont le plus brillé à Silverstone avec chacun six succès sur ce tracé.
  • Depuis le retour du MotoGP à Silverstone en 2010, seuls deux pilotes ont triomphé plus d’une fois : Jorge Lorenzo (2010, 2012, 2013) et Marc Márquez (2010, 2014).
  • Les sixièmes places de Cal Crutchlow en 2012 et de Scott Redding l’an passé restent les meilleures prestations d’un pilote britannique ces six dernières années.
  • Le dernier britannique à avoir terminé sur le podium d’une course en catégorie reine est Jeremy McWilliams en 2000, à l’époque où le Grand Prix de Grande-Bretagne se tenait à Donington.
  • Yamaha a remporté quatre de ces six courses qui se sont tenues à Silverstone, contre deux seulement pour Honda. Le meilleur résultat de Suzuki sur ce circuit est une 5ème place avec Álvaro Bautista en 2011.
  • Valentino Rossi fêtera son 250ème départ en MotoGP à Silverstone. Depuis le remplacement de la catégorie 500 cc par le MotoGP en 2002, le nonuple champion du monde n’a manqué que quatre courses pour cause de blessure : le Grand Prix d’Italie, le Grand Prix de Grande-Bretagne, le Grand Prix des Pays-Bas et le Grand Prix de Catalogne 2010. Son coéquipier Jorge Lorenzo franchira quant à lui la barre des 150 départs dans cette même catégorie. Il deviendra ainsi le septième pilote à atteindre ce cap derrière Valentino Rossi, Nicky Hayden, Colin Edwards, Dani Pedrosa, Loris Capirossi et Andrea Dovizioso.
  • Marc Márquez comptabilise désormais 63 pole positions toutes catégories confondues, soit autant que Valentino Rossi et Jorge Lorenzo.
  • En s’illustrant à Brno, Cal Crutchlow succédait à Barry Sheene, dernier Britannique à avoir remporté une course en catégorie reine, au Grand Prix de Suède le 16 août 1981. Cal Crutchlow est par ailleurs le 17ème pilote à avoir brillé en MotoGP comme en Superbike.
  • Loris Baz a égalé son meilleur résultat qui datait de Misano en allant décrocher la quatrième place du Grand Prix de République tchèque devant son coéquipier Héctor Barberá. C’est également la première fois qu’une structure privée plaçait ses deux pilotes au sein du Top 5 depuis le Grand Prix d’Australie 2012.

Dani Pedrosa, Honda-Repsol : "L’objectif du moment est surtout de regagner en confiance. Le travail que nous avons réalisé durant le Test post-GP à Brno nous a donné quelques idées sur la direction à suivre. Nous verrons s’il est possible d’aller plus vite sur les prochaines épreuves. Silverstone est un tracé exigeant. On y trouve plein de changements de direction qui requièrent beaucoup de travail au niveau des réglages. L’autre point crucial est la météo qui est souvent imprévisible et c’est ce qui rend le choix des réglages et des pneus encore plus difficiles. Le circuit est très rapide, assez venteux et ça n’est pas forcément évident".

Andrea Iannone, Ducati : "Notre Desmosedici GP est maintenant compétitive sur tous les circuits et Silverstone est une piste qui pourrait bien nous réussir. J’ai eu quelques soucis là-bas par le passé parce que c’est un circuit étrange, très large et plus adapté aux Formule 1 qu’aux motos. Ce n’est pas le genre de circuits que je préfère mais je pense que nous aurons nos chances là-bas".

Andrea Dovizioso, Ducati : "Je me serais bien passé de cette chute à Misano (Andrea est tombé lors d'un test privé à San Marin, NDLR) , mon genou droit me fait encore mal, mais je travaille avec mon kinésithérapeute afin d’être en forme pour Silverstone. Silverstone est un des tracés que je préfère. Il est sympa et difficile à la fois. Je pense que nous pourrons y être compétitifs également puisque j’étais parvenu à me hisser sur la troisième marche du podium l’an passé".

Retour sur les Grands Prix de Grande-Bretagne

Maverick Vinales,Suzuki-Ecstar : "Je suis dans un état d’esprit positif avant Silverstone. Ce tracé m’a toujours réussi, j’y ai d’ailleurs signé ma première pole position. J’aime ce circuit et je pense qu’il devrait également bien convenir à la GSX-RR. Beaucoup de travail nous attend encore, même si nous avons fait d’importants progrès lors des dernières courses en terme de connaissance. Nous avons mis la main sur des réglages qui devraient m’aider en présence de conditions délicates".

"Le premier secteur, comme le dernier, est vraiment sympa. On y trouve certaines courbes où nous devrions être à l’aise. La météo aura un rôle important et cette dernière s’avère comme souvent imprévisible en Angleterre. Mais compte tenu des progrès que nous avons réalisés, je suis persuadé que nous pourrons faire une bonne course quelles que soient les conditions".

Bradley Smith, Yamaha-Tech3 (forfait à Silverstone puis Misano suite à sa chute aux 8H d'Oschersleben et remplacé par Alex Lowes) : "Les heures qui ont suivi ma chute ont été difficiles. On m’a emmené à l’hôpital en hélicoptère, j’ai été opéré pour qu’on referme la plaie à l’arrière de mon genou avec quinze points de suture, puis nous avons dû annoncer que je pouvais pas participer au Grand Prix de Grande-Bretagne..." 

"J’ai eu une collision avec un pilote qui allait moins vite, il était parti large alors que j’étais en train de doubler. J’ai glissé sur le gazon et je me préparais à me relever lorsqu’une autre moto m’est passé dessus. La fourche a tapé à l’arrière de mon genouHonnêtement, ça n’aurait pas pu être pire mais je dois gérer ça en adulte, comprendre que je me suis fait une blessure grave et que ma priorité doit être de récupérer. Je suis évidemment très déçu de ne pas courir devant mes fans alors que c’est la seule opportunité que nous avons de le faire chaque année, mais j’espère pouvoir aller au circuit ce week-end".

"Les dégâts aux trois principaux ligaments du genou sont assez sérieux et je devrai être opéré. Je discute avec les chirurgiens pour voir quand nous pourrons le faire parce qu’il y a beaucoup de paramètres à prendre en compte. Je veux reprendre la compétition dès que possible mais je veux aussi pouvoir m’entraîner correctement, faire de la course à pied et du vélo, ce qui est aussi important pour mon bien-être. Je dois aussi prendre en compte ce qu’il y a de mieux pour mes employeurs, actuels (Yamaha, NDLR) et futurs (KTM, NDLR) et c’est donc une décision importante".

Alex Lowes, Yamaha Tech 3 : "Tout d'abord, je veux juste dire à quel point je suis désolé pour la blessure de Bradley. Il a été extrêmement malchanceux et j'espère qu'il reviendra bien bientôt. En ce qui me concerne, obtenir cette opportunité est bien sûr un rêve éveillé ! Je suis sûr que je vais devoir me pincer dimanche quand je serai sur la grille de départ avec Rossi, Lorenzo, Marquez, etc. Cependant, je ne nourris aucune attente à ce niveau. Je veux simplement apprendre autant que je le peux de tout le monde autour de moi. Je tiens à remercier Yamaha et Tech3 de me donner cette occasion".

Piero Taramasso, manager deux-roues de Michelin Motorsport : "Silverstone est l’une des courses les plus difficiles à appréhender pour nous car on ne sait jamais quelle météo il fera en Angleterre. Le circuit est très exposé alors il peut pleuvoir, il peut faire froid ou y avoir du vent... Et si le soleil brille, la température de la piste peut grimper très haut. Silverstone est un circuit technique avec une vitesse moyenne élevée et beaucoup de courbes rapides".

 "On doit donc proposer des pneumatiques capables de supporter toutes ces contraintes, techniques et météorologiques. Nous apportons des gommes arrière que nous pensons adaptées à ce tracé, associées à la construction si efficace sur le sec à Brno avec laquelle Marc Marquez et Jorge Lorenzo ont amélioré le record du circuit. On sait qu’elles seront performantes sur cette piste. Après les conditions maussades que nous avons connues ces derniers temps, on aimerait que le temps soit clément tout le week-end à Silverstone".

Horaires du Grand Prix MotoGP de Grande-Bretagne 2016 (attention aux modifications par rapport aux horaires habituels, dues au léger décalage horaire avec Londres !)

Vendredi 2 septembre

  • Essais libres 1 MotoGP : de 10h55 à 11h40
  • Essais libres 2 MotoGP : de 15h05 à 15h50

Samedi 3 septembre

  • Essais libres 3 MotoGP : de 10h55 à 11h40
  • Essais libres 4 MotoGP : de 14h30 à 15h00
  • Qualifications MotoGP Q1 : de 15h10 à 15h25
  • Qualifications MotoGP Q2 : de 15h35 à 15h50

Dimanche 4 septembre

  • Warm-up MotoGP : de 11h00 à 11h20
  • Départ course Moto3 : 13h30
  • Départ course Moto2 : 15h00
  • Départ course MotoGP : 16h30

    .

    .

    Commentaires

    Ajouter un commentaire

    Identifiez-vous pour publier un commentaire.

    .

    A lire aussi sur le Journal moto du Net

    La Yamaha n°1 en pole des 24H Motos 2024, la Honda n°55 en tête des STK

Auteur d'un nouveau record du tour sur le circuit Bugatti, Nicolo Canepa hisse avec Karel Hanika la R1 du YART en tête de la grille de départ des 24 Heures Motos 2024 ! Les champions devancent le SERT et la Honda officielle. Une autre Fireblade, la 55 de National Motos, devance la BMW Tecmas et la Honda RAC41 en catégorie Superstock. Chronos !
    Manifestations contrôle technique : forte mobilisation contre le CT2RM

Plusieurs dizaines milliers de motards - 38 000 selon le ministère de l'intérieur - ont participé aux manifestations de la Fédération française des motards en colère (FFMC) contre le contrôle technique moto et scooter, qui est officiellement entré en vigueur ce lundi 15 avril.
    Essai Metzeler Roadtec 02 : le pneu supersport-GT

Capacités sportives et qualités routières : voilà le délicat compromis auquel propose de répondre le nouveau pneu Metzeler Roadtec 02 et son intrigante bande de roulement décrite comme adaptative. Moto-Net.Com l'a testé sur plusieurs types de motos pour vérifier si les promesses sont tenues. Essai complet, vidéo incluse.
    Dunlop veut briller ce week-end aux 24 Heures Motos 2024 !

Le championnat du monde d'Endurance 2024 débute ce week-end avec les 24 Heures Motos au Mans. Fournisseur unique du plateau Superstock, le manufacturier britannique Dunlop - et son usine française ! - vise aussi la victoire en catégorie reine EWC avec deux machines de pointe : la BMW n°37 et la Yamaha n°99.
    Pourquoi Fabio Quartararo resigne avec Yamaha jusqu'en 2026 ?

La décision de Fabio Quartararo de prolonger chez Yamaha deux saisons supplémentaires interpelle au regard du manque de compétitivité de la M1. Le niçois de 24 ans s'en explique par les moyens déployés pour revenir au sommet du MotoGP, tandis qu'Aprilia ne lui aurait pas fait d'offre…
    MotoGP 2024 8 commentaires
    • En savoir plus...