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CHALLENGE DES MONOS 2004
Paris, le 25 mai 2004

Les MNM's dans la tourmente...

Les MNM's dans la tourmente...

Gamelles, joint de culasse, amorto HS, moral au fond des sliders : week-end difficile pour les deux Moto-Net Mobiles engagées dans la 2ème manche du Challenge des Monos sur le circuit Carole. Le témoignage des pilotes.

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Gamelles, joint de culasse, amorto HS, moral au fond des sliders : week-end difficile pour les deux Moto-Net Mobiles engagées dans la 2ème manche du Challenge des Monos sur le circuit Carole. Le témoignage des pilotes.

Jeudi : entraînement privé

Premiers tours de roue pour la MNM n°25 de Benoît après le remontage du moteur et un passage au banc qui montre un net progrès par rapport à la première épreuve de Lédenon (lire Moto-Net du 19 avril 2004) : la courbe arrive à 48 cv en sortie de boîte, ce qui la place dans la bonne moyenne en catégorie monosport. Malheureusement, un excès d'optimisme dans Golf crée un vent de panique, la moto ne redémarrant pas immédiatement après la chute... Benoît perd ainsi la moitié de son temps de roulage sur incident technique... Mais le problème est mineur et le pilote se débrouille très honorablement, même s'il en bave un peu physiquement. Le difficile apprentissage de la piste...

La MNM n°95 n'a eu droit qu'à un léger réglage de suspension et un abaissement de la selle, afin d'améliorer encore la maniabilité et la facilité de passage en courbe. Pour le reste, on ne répare pas un engin qui marche ! Je préfère donc garder cette journée pour me reposer un peu et soigner le mental plutôt que la technique. Retour au bercail, les deux motos sont fin prêtes pour l'arsouille du lendemain : la météo est au beau fixe, le moral aussi : ça va saigner !

Le Team Moto-Net à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

Vendredi : séances d'entraînement

Arrivée sur les paddocks, en retard sur l'horaire prévu comme d'habitude... A peine le temps de papoter un peu avec les connaissances de Lédenon (oui, Jérôme Tartaud, tu m'as fait un intérieur d'enfer dans le triple gauche de Lédenon !) et on se lance pour les essais libres.

Première séance : 20 minutes de roulage histoire de se dérouiller un peu les articulations. La 95 va bien mais j'agonise un peu sous la chaleur. Les chronos tournent autour d'une minute 18 régulier. Pas brillant brillant ! De son côté, la 25 commence déjà à faire des siennes : l'amortisseur arrière donne de sérieux signes de faiblesse et se transforme en simple ressort au fil des tours... Le moral de Benoît commence à baisser en flèche... Mais au moins la moto roule et il aura l'assurance de participer à la finale B, car il tourne en une minute 20 régulier, amplement dans la limite des qualifications.

Le Team Moto-Net à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

A la seconde séance, tout bascule : la 95 voit ses chronos descendre d'une petite seconde quand en sortie d'Hôtel, collé à l'échappement hurlant du 25 que je rattrape, une giclée d'eau asperge ma visière. Ma première pensée va vers Benoît, que j'imagine déjà les mains dans le cambouis toute la nuit pour résoudre une fuite quelconque, jusqu'au moment ou je m'aperçois que c'est MON récupérateur d'eau qui déborde à tout va !

La peur au ventre, je m'en retourne à la base avec la mince impression que les ennuis ne font que commencer... Une heure plus tard, après un diagnostic rondement mené à l'aide de Régis, team manager du Team Trophy Sport, le verdict tombe sans appel : bulles dans le circuit de refroidissement, le joint de culasse m'a lâchement abandonné !

Le Team Moto-Net à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

La 25 est également dans un piteux état, amortisseur arrière définitivement hors service. Il ne reste que le ressort ! Le moral est dans les chaussettes, le lendemain risque fort de déchanter !

Samedi, 3h du matin !

Sur un coup de sang, j'ai décidé de sortir le moteur du cadre et de changer ce satané joint coûte que coûte. Le démontage terminé, Régis confirme le verdict. Il semble que la culasse était mal serrée lors du remontage et le joint s'est étrangement déformé.

Le Team Trophy Sport à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

Que faire ? Heureusement, le Team Trophy Sport, qui lutte aux avant-postes depuis la première manche, me prête un joint de rechange, une clé dynamométrique, de la pâte à joint et un tas de conseils avisés. Quand on vous dit que le Challenge des Monos, c'est avant tout une histoire de passions !

Le Team Moto-Net à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

Avec l'inestimable concours de ma tendre et douce, MM et C, lecteurs assidus de Moto-Net venus assister aux essais, nous terminons le remontage à trois heures. Le moteur démarre au quart de tour, la moto est prête pour le lendemain. Soulagement, mais surtout stress intense à l'unique pensée d'attaquer une journée bien remplie avec seulement trois petites heures d'oreiller au compteur...

Samedi, 9h : première séance qualificative

La 95 roule toute seule, son pilote encore ensommeillé termine sa nuit... Sur une séance de 15 tours, elle stoppe au septième, pilote livide, envie de vomir dans le casque, rien ne va plus. Temps retenu : 1'17.23. Pas si mal vu les circonstances. La 25 poursuit son petit bonhomme de chemin et malgré les problèmes, la qualification en finale B est assurée en 1'22.19 Au moins, Benoît va pouvoir engranger un peu de roulage.

Samedi, 11h50 : seconde séance qualificative

Encore une fois, la 95 n'effectue qu'une demi séance car je préfère gérer la fatigue et en garder un peu sous le pied, sachant que je suis de toute façon qualifié en finale B. Le joint de culasse ne donne pas de nouvelles, c'est au moins ça de gagné ! Meilleur tour en 1'16.59. L'état de la 25 empire à chaque tour et Benoît n'a plus le moral du tout... Deux courses d'affilée gâchée par de bêtes incidents techniques, il y a de quoi décourager le plus vaillant des pilotes, non ? Malgré tout, il continue à décrocher autour de 1'22. On doit gérer la fatigue et la finale B n'a lieu qu'à 14 heures, ce qui nous laisse très peu de temps...

Le Team Moto-Net à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

Le Team Moto-Net à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

Un sandwich avalé, je file dans le coffre de la 205 pour me reposer comme je peux, entouré des bruits du paddock et de la consternation qui règne sur notre stand... On verra bien, mais a priori je ne me sens pas d'attaque pour les 15 tours de course et je me demande même si je ne vais pas laisser la 95 à mon coéquipier... J'ai vraiment peur de me laisser emporter par l'épuisement !

Le Team Moto-Net à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

A 13h45, le classement final des essais qualificatifs est enfin établi et la composition de la grille de la finale B est annoncée par les haut-parleurs crachotants. On appelle le 95. Et là, grosse montée d'adrénaline : je ne me pose plus de questions ! Remonté par Jef Huron (n°17), je m'équipe et file sur la prégrille. On est quand même pas venu pour baisser les bras !

Tour de formation prudent, mise en position de départ à la treizième place, tour de chauffe un peu moins prudent et VERT ! Sauf que je ne l'ai pas vu, perdu que j'étais dans mes pensées... La meute me dépasse et je réagis enfin en démarrant en catastrophe. Oulah, je commence déjà à regretter d'être parti... Après trois tours, je perd tout espoir de rattraper le paquet du milieu et le vois inexorablement me coller une dizaine de mètres à chaque tour. Je me retrouve seul en piste, me disant que mon seul objectif est dorénavant de finir à tout prix mes quinze tours entier ! Le panneau d'affichage égrène son décompte et je sens l'engourdissement me gagner... Mes temps se dégradent petit à petit et j'attends la fin avec impatience... Jusqu'au moment béni où... j'entends un bruit que je connais derrière moi ! J'ai à peine le temps de réaliser que le 52 Guy Picard Destelan vient de me passer au freinage. Mais d'où il sort, celui-là ?Je profite de mon surcroît de puissance pour le regagner en ligne droite (il est engagé en monosport, le bougre !). Une fois, deux fois, trois fois, il me repasse sans cesse au freinage...

Le Team Moto-Net à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

Mais comment fait-il ? Un seul moyen pour le savoir : il reste 5 tours, je me cale derrière lui, coupe les gaz en ligne droite pour y rester et étudie son style pendant trois tours... Enfer et damnation, il freine au moins vingt mètres plus tard que moi ! S'il le fait, je peux le faire aussi, le tout c'est de ne pas se poser de questions existentielles dans ces moments tendus. Un tour complet me permet d'adopter ses repères de freinage, et... ça fonctionne à merveille !

Le Team Moto-Net à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

Je viens de comprendre ce que freiner sur piste veut dire ! Le freinage s'attaque à fond et doit ensuite être bien dégressif, afin de bien relâcher à la mise sur l'angle. Je me rend comte que jusqu'à présent je freinais constant, ce qui me faisait entrer en courbe tendu sur les bras, augmentant la fatigue et les risques... Incroyable comme l'avant se plante dans le bitume surchauffé, et ça tient !

Plus que deux tours avant l'arrivée.. GO ! Je place ma "Tchoub' attaque" et à mon tour je lui fais le freinage à l'entrée d'Alpha. Je me mets la pression deux tours durant, afin qu'il ne me remonte plus. Deux tours d'anthologie à mon modeste niveau, je suis euphorique, je me surpasse, je pilote, je suis sur un nuage ! Des sensations jamais atteintes jusqu'à ce jour !

Le Team Moto-Net à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

Dernier tour : j'entre dans Golf au taquet et qui vois-je ? La 25 de Benoît, trente mètres devant ! Il reste une ligne droite et Hôtel, la tentation est vraiment trop grande... Je tente le tout pour le tout et décide de m'offrir la cerise sur le gâteau : lui mettre un tour ! Ligne droite à fond de cale, gros freinage sur Hôtel, retour vers le drapeau à damiers : j'ai environ... dix centimètres d'avance ! C'est alors que je réalise que c'est une victoire sans gloire, mais enfin, je suis indécis entre l'amertume et le plaisir de cette première expérience...

Sur le retour, petite tape d'encouragement dans le dos de Benoît, petit "mot d'excuse" au 52 qui m'a permis de progresser et retour au paddock pour prendre une pause bien méritée.

Classement final : je suis douzième de la finale B mais surtout, mon chrono est descendu à 1'15"9 au dernier tour de course, ce qui était mon objectif inavoué : voir un jour 1'15 s'afficher sur mes chronos ! J'ai gagné deux pleines secondes dans le week-end, alors que je plafonnais depuis des lustres sur ce circuit que je connais pourtant comme ma poche.

Samedi soir, devant un thé à la menthe

Débriefing avec Benoît qui est décidément au plus bas, avec l'amer sentiment d'être pris pour le dindon de la farce... Mais franchement, moi je connais qu'un seul mec qui puisse oser partir en course - et terminer sur ses roues ! - avec un ressort en guise d'amortisseur arrière ! Et les experts de la piste ont eu beau lui dire que cette expérience lui sera des plus profitables, il se sent mal quand même... On compte donc sur vous pour l'encourager à ne pas raccrocher le cuir sur un coup de tête, car ce serait vraiment dommage de gâcher les courses à venir et franchement, cette aventure n'aurait pas le même goût d'amitié pour moi...

Des nouvelles du Calimero des pistes...

Après ma non qualification à Lédenon, il y a déjà près d’un mois (lire Moto-Net du 19 avril 2004), la déception était grande. A tel point que le courage m’a manqué pour vous compter par le menu le fil de mes malheurs. Pourtant, le week-end fut loin d’être complètement négatif.

Le Team Moto-Net à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

Car si on reprend les choses dans l’ordre, il faut bien avouer que je n’avais pas mis toutes les chances de mon côté : une bécane vieille de dix ans avec 50 000 bornes dans les pattes fraîchement reconstruite de la veille, un des circuits les plus techniques de France et un poireau fraîchement issu de la route et à peine dégrossi lors de quelques roulages à Carole... Il faut reconnaître que ça faisait un peu trop d’inconnues à maîtriser en une seule fois ! A côté, Pascal passerait presque pour un professionnel !

Les premiers roulages sur piste humide se soldaient par des temps aux portes des qualifications, ce qui était finalement l’objectif fixé, mais il m’était difficile de me concentrer sur le pilotage car je passais l’essentiel de mon temps à démonter et remonter la moto pour résoudre mille et un problèmes de jeunesse : fuite d’huile, faisceau électrique...

Et le pire était à venir, avec l'arrivée du beau temps... La piste s’asséchant, tout le monde commençait à ouvrir en grand et les chronos tombaient... sauf les miens ! La nature poussive de ma moto apparaissait au grand jour dans la ligne droite, qui me paraissait interminable à force de me faire pourrir impitoyablement par tous les autres concurrents. Un rapide passage au banc révélait une puissance à la roue de 30 chevaux, soit 8 à 10 de moins que la moyenne de la catégorie, avec un trou abyssal à mi-régime. Rien de tel pour casser un moral déjà bien rabattu !

Le Team Moto-Net à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

J’étais pourtant prêt à tout dans la dernière séance qualificative pour décrocher ma place pour la course. J’ai bien descendu mes temps pour finir à 2 secondes de ce rascal de Pascal et ses 52 chevaux, mais ce n’était pas assez pour être qualif’ à la place du calife... Un fol espoir subsista bien quelques heures avec le forfait d’un concurrent sur casse moteur et l’excès de vitesse d’un autre dans les stands. Mais après avoir écopé d'une amende dans la caisse de la FFM, il reprenait finalement sa place sur la grille.

C’est donc en spectateur que j’ai assisté à la première course de Pascal. Même si j’étais franchement content pour lui, je dois reconnaître que la frustration était grande au moment du départ...

Le Team Moto-Net à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

Il ne restait plus qu’à préparer Carole pour éviter de rééditer un tel désastre. Mais quatre semaines c’est très court c’est donc au dernier moment que ma moto était prête avec un moteur fraîchement sorti du banc de puissance, fort de 48,5 chevaux à la sortie de boîte et avec une courbe bien arrondie. Pas de quoi se taper le cul par terre, mais assez pour figurer correctement. Côté partie cycle, l’hydraulique de fourche était revue ainsi que la position des bracelets pour être plus basculé sur l’avant.

Les premiers essais libres se passaient plutôt bien malgré une petite chute à Golf due à une prise d’angle un peu optimiste. J’étais d’entrée dans les 1’20, ce qui devait être suffisant pour se qualifier. Mais dans les séances suivantes, mes temps se dégradaient et je perdais toutes mes sensations avec l’impression d’être en vrac partout. La cata... Dans le petit double gauche avant la parabolique, pourtant un de mes préférés, j’étais carrément à l’arrêt et contraint de contenir les ruades de la roue arrière. Tout ça se finissait avec une chute à Hôtel (devant la tribune, histoire de bien se faire remarquer) heureusement sans conséquence.

Le soir, au contrôle technique, un gourou de la MuZ avise ma moto et teste l’amortisseur arrière en poussant sur la selle : chbong, ça rebondit comme un ressort avec un bruit métallique, zéro amortissement. Ce n’est qu'en comprimant l’amortisseur à fond qu’un semblant d’amortissement subsiste à la descente. C’est pourtant un EMC neuf que j’ai monté juste avant Lédenon, mais c’est clair qu'il est complètement mort. Une fois de plus, rien de tel pour casser le moral... Calimero est de retour, c’est vraiment trop injuste !

Le lendemain, je réalise 1’20 dans la première séance qualif sans trop me poser de questions. En fait, ça va a peu près dans les premiers tours puis ça se dégrade de façon gravissime. Mais il y a suffisamment d’autres galériens dans mon genre pour que je sois qualifié. Dans la deuxième séance, c’est franchement la catastrophe. Je commence sérieusement à flipper quand je joue le yoyo dans la parabolique. Ça se confirme : mon amorto est mort de chez mort ! Toutefois je n’avais pas trop à m’apitoyer sur mon sort car de son côté Pascal avait pété son joint de culasse, ce qui semblait le priver définitivement de sa place en course pourtant brillamment acquise. Mais avec l’aide de nos vaillants supporters (encore merci à eux), il parvenait à changer le fameux joint dans la nuit. Alors là, chapeau, c’est digne du Paris-Dakar cette histoire.

Le Team Moto-Net à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

Devant les exploits surhumains de Pascal, je n’allais quand même pas abandonner pour une pauvre histoire d’amortisseur de merde, ça serait vraiment petit joueur. De toute façon, le ridicule ne tue pas... C’est quand même un grand plaisir de vivre les instants magiques du départ, même si c’est en dernière ligne. Les deux premiers tours sont très amusants car de nombreux concurrents sont plutôt hésitants au départ, ce qui me permet de gagner facilement quelques places : un intérieur dans le pif et un autre dans la parabolique, je me marre sous mon casque. Mais le 73 part en vrac dans Alpha et manque de me percuter en revenant sur la piste, je suis obligé de ralentir gravement et à partir de là, je serai incapable de tenir le rythme du groupetto (histoires de fond de grille !). La moto me projette dans les virages, d’un tour a l’autre je n’ai jamais les mêmes trajectoires, c’est vraiment pas beau à voir... La motivation tombe, il faut l’avouer et je n’évite pas l’humiliation de me faire prendre un tour y compris par cette crapule de Pascal : il s’est dépouillé dans le dernier tour pour me passer sur la ligne d’arrivée... et pouvoir me chambrer avec cette histoire pendant un an.

J’essaie d’en rire maintenant mais j’étais franchement dégoûté à l’arrivée, avec l’impression d’être le couillon de l’histoire. Enfin, je pense quand même que je peux faire mieux que ça avec un matériel disons "normal". Pourtant on ne peut pas tomber non plus dans les excuses de motard à 2 balles... Il ne me reste plus qu’a me repasser en boucle la cassette de Rocky jusqu’à la prochaine course !

Le Team Moto-Net à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

Le Team Moto-Net à Carole pour la deuxième manche du Challenge des Monos

Sinon pour ceux qui sont venus à Carole ce week-end, ils ont été récompensés par une finale A du Challenge des Monos de toute beauté : le duel entre les deux meilleurs, Jean-Michel Bouiller et Olivier Desjours, était franchement magique, malheureusement écourté par l’abandon du premier sur casse mécanique (perte de son silencieux en sortie de parabolique !)...

Rendez-vous les 12 et 13 juin pour la 3ème manche à Croix-en-Ternois !

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