Moto-Net.Com est actuellement à Majorque, dans les Baléares, pour l'essai du tout nouveau Spyder F3 , dernier né de la gamme de trois roues du constructeur Can-Am (groupe BRP). L'engin est d'ores et déjà disponible en concession. Décrit comme un "Power Cruiser" par ses concepteurs, ce trois-roues aux lignes très musclées (lire MNC du 24 septembre…
Moto-Net.Com est actuellement à Majorque, dans les Baléares, pour l'essai du tout nouveau Spyder F3, dernier né de la gamme de trois roues du constructeur Can-Am (groupe BRP). L'engin est d'ores et déjà disponible en concession.
Décrit comme un "Power Cruiser" par ses concepteurs, ce trois-roues aux lignes très musclées (lire MNC du 24 septembre 2014 : Can-Am dévoile son nouveau Spyder F3 pour 2015) est doté notamment d'une ergonomie évolutive qui permet de modifier la position du guidon et les cale-pieds.
Comme son nom l'indique, il reçoit le puissant moteur 3-cylindres en ligne de 1330 cc que nous avons testé sur le RT l'année dernière et développe 115 chevaux pour 130 Nm de couple (lire notre Duel Spyder RT Vs Tri Glide Ultra : jamais deux... donc trois ?).
Accessible au permis B (via la formation de 7 heures, commune aux 125 et tricycles de type MP3 LT ou Spyder justement), cet engin venu du Canada est déjà disponible dans les concessions où il s'affiche à partir de 18 999 euros en version standard.
Deux autres versions plus onéreuses sont également proposées : le Spyder F3-S à 21 499 euros (régulateur de vitesse, jantes peintes et usinées, garde-boues avant à LED, siège en nubuck surpiqué) dispose de la boîte mécanique standard SM6, tandis que le F3-S à 21 999 € est équipé de la boîte séquentielle SE6.
Interrogé par MNC, Gregory Derlon, responsable marketing BRP France, admet que ce nouveau F3 risque "d'étouffer le modèle RS" motorisé par le bicylindre Rotax, même si le nouveau modèle possède une ergonomie plus custom car les jambes sont tendues vers l'avant.
Le responsable français n'a en revanche pas été en mesure de nous communiquer les objectifs de BRP pour la France : "depuis notre introduction en bourse en 2013, la marque ne communique plus de données chiffrées comme ses objectifs", nous explique-t-il...
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