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Paris, le 20 décembre 2013

Essai X-Max / Evolis 125 : Max-imisation !

Essai X-Max / Evolis 125 : Max-imisation !

Dans la foulée du X-Max 400i lancé au printemps 2013, Yamaha fait évoluer ses scooters 125/250 cc et leurs équivalents MBK Skycruiser, rebaptisés Evolis. MNC a pris la mesure de ces X-Max et Evolis 125 lors de leur présentation parisienne. Premier essai.

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Confort et rigueur en hausse

D'un gabarit valorisant bien que tout aussi contenu que le modèle précédent, le nouvel X-Max/Evolis 125 s'appréhende facilement. D'emblée, on apprécie la position de conduite légèrement surélevée et la protection accrue des mains.

La nouvelle selle biplace offre une assise confortable et suffisamment d'espace au conducteur et à son passager, mais demeure un poil large dans sa partie avant, empêchant les utilisateurs de moins d'1m75 de poser les deux pieds à plat sur le sol. Le passager dispose quant à lui de larges poignées de maintien - affinées sur ce nouveau modèle - et de repose-pieds escamotables bien positionnés.

Contact, démarreur : le Xmax/Evolis 125 brille par une grande discrétion au niveau de sa sonorité à l'échappement. On retrouve en fait le précédent bloc monocylindre 4-temps Minarelli à simple arbre à cames en tête, culasse quatre soupapes, refroidissement liquide et alimentation par injection électronique.

Le même que précédemment donc, avec ses 14 chevaux à 9000 tr/min. Mais avec seulement 70 kilomètres au compteur, le modèle testé par MNC était loin d'être rodé : difficile de jauger correctement son véritable niveau de performances mécaniques dans ces conditions...

Pour autant, l'engin décolle avec souplesse dès qu'on ouvre les gaz et répond ensuite franchement à la moindre sollicitation de l'accélérateur. Bien installé, le conducteur peut disposer ses pieds de deux manières : en avant sur la partie montante du tablier ou plus classiquement sur le marchepied principal.

Après seulement quelques kilomètres sur les pavés parisiens, ce nouvel Xmax/Evolis 125 paraît sensiblement plus confortable que son prédécesseur, grâce certainement à son setting de suspension modifié au niveau du combiné amortisseur arrière.

Un petit saut sur l'ancien X-Max 125 qui nous accompagne confirme sans contestation possible ce gain de confort. Il s'avère par ailleurs tout aussi agile et facile à manier dans les enchaînements que son prédécesseur, profitant d'une bonne répartition des masses, ainsi que d'un train avant précis et facile à inscrire sur l'angle.

Ni trop vive, ni tombante, la direction présente en outre l'avantage d'offrir un excellent rayon de braquage qui permet de s'extirper sans effort des encombrements citadins.

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