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ESSAI CASQUE FIBER D1 MK-II
Paris, le 28 janvier 2009

Essai complet du casque intégral Lazer Fiber D1 MK-II

Essai complet du casque intégral Lazer Fiber D1 MK-II

Depuis 2007, le casque intégral haut de gamme Fiber D1 du manufacturier belge Lazer se décline en de nombreuses variantes, dont une très esthétique version MK-II. Bien équipé et performant, ce casque s'est prêté de bonne grâce à un essai longue durée.

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Un look dynamique et une finition flatteuse

Essai complet de l'intégral Lazer Fiber D1 MK-II

Comptant pas moins de sept versions, la gamme Fiber D1 s'est enrichie en 2008 du modèle MK-II qui reprend les spécificités de cet intégral haut de gamme, en y ajoutant un subtil coloris bi-tons allant d'un noir-jaune ou noir-orange assez flashy à un délicieux rouge-blanc, en passant par un joli noir-blanc ou noir-bleu.

Esthétiquement, ce Fiber D1 MK-II est plutôt réussi, avec des lignes pures et bien dessinées et un profil aérodynamique en parfaite adéquation avec sa définition haut de gamme. Composé de Multi Directional Composite Fibre, renforcé en carbone et aramides, l'équipement délivre une première impression positive et l'on apprécie la parfaite intégration des deux ventilations triangulaires à l'avant et de l'extracteur arrière.

Disponible en deux tailles de calotte différentes, le MK-II reprend la technologie Morpho System brevetée par Lazer, qui permet non seulement aux coussinets de s'adapter à la plupart des morphologies grâce à leurs doubles courbures, mais surtout de proposer pas moins de six tailles d’intérieurs de casque (du XS au XL ) !

Essai complet de l'intégral Lazer Fiber D1 MK-II Essai complet de l'intégral Lazer Fiber D1 MK-II

Élaborés en Dri-Lex (anti-moisissures et antibactérien), les tissus internes sont épais et doux au toucher et chaque zone d'appuis du crâne est bien enveloppée et maintenue efficacement. Dommage que l'enfilage contraigne à se servir de la jugulaire pour bien écarter les mousses, ce qui n'empêche pas de devoir souvent déplier les oreilles !

Rien d'alarmant cependant, car le phénomène s'estompe au fil du temps et disparaît presque complètement une fois les mousses démontées et lavées. Une manoeuvre qui n'est pas rendue des plus intuitives (surtout le remontage) de par la présence sur l'avant de languettes en plastiques - à l'aspect fragile - en plus des traditionnelles pressions.

L'occasion de découvrir aussi une étiquette "Made in China" expliquant sans doute le prix contenu du casque intégral belge (349 €), qui répond néanmoins à tous les critères d'homologation européens.

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