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Le Cap (Afrique du Sud), le 1er mars 2011

Essai BMW K1600GT : le Grand-Tourisme à fond de six !

Essai BMW K1600GT : le Grand-Tourisme à fond de six !

Réduire la BMW K1600GT à une déclinaison à peine moins luxueuse et volumineuse de sa statutaire frangine K1600GTL serait une erreur : la deuxième routière BMW équipée d'un six-cylindres en ligne est en réalité bien plus polyvalente et sportive ! Essai.

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Le point technique sur la BMW K 1600 GT

Pièce maîtresse de la série K 1600, le six-cylindres en ligne de 1649 cc développe 160,5 ch à 7750 tr/mn, 175 Nm de couple à 5250 tr/mn et revendique le titre du moteur de série de plus 1000 cc le plus léger (102,6 kg) jamais conçu.

Pour arriver à une telle performance, les motoristes munichois ont fait appel aux compétences de leurs homologues du service automobile qui conçoivent des moteurs à six-cylindres depuis plus de 70 ans.

BMW a contenu les dimensions de son bloc moteur à 555 mm, grâce à un rapport alésage/course légèrement supercarré (72*67,9 mm) et en réduisant l'écart entre chaque chemise à seulement 5 millimètres. Dans la même optique, les organes périphériques électriques (l'alternateur notamment) ont été déportés sur l'arrière du vilebrequin et les trois arbres de la boîte sont superposés.

Le constructeur allemand a aussi soigné les échanges gazeux grâce à des soupapes généreuses (29 mm pour l'admission, 24,8 mm à l'échappement) qu'entraînent des arbres à cames à la construction inédite : les cames sont "emmanchées" sur l'arbre pour gagner du poids. Pour la même raison, le couvre-culasses, ainsi que le couvercle d'embrayage, sont réalisés en magnésium.

L'injection séquentielle BMW Motor Steuerung X allie modernité et polyvalence grâce aux trois cartographies sélectionnables au guidon (Rain, Road ou Dynamic), tandis que l'accélérateur Ride-by-wire (sans câble) est conçu pour assurer un contrôle optimal de la puissance.

Satisfait du rendement de son bloc, BMW annonce avoir limité les rotations à 8500 tr/mn maxi, même si la mécanique supporterait "des régimes nettement supérieurs", assurent les ingénieurs.

Pour autant, la recherche de puissance brute (160 ch tout de même !) n'a pas été négligée, comme le montre le taux de compression élevé de 12,2:1.Traquant le moindre kilo superflu, les motoristes ont opté pour un système de graissage intégré à carter sec : les K1600 se passent ainsi de réservoir d'huile, ce qui influe positivement sur la balance.

Effet corolaire : le carter moteur est de plus faible hauteur, ce qui - ajouté à l'absence de réservoir d'huile - permet de placer le "six-pattes" plus bas dans le châssis et donc de concentrer les masses au plus près du centre de gravité.

Quant au radiateur d'huile, il est placé dans le carénage, en dessous du phare, pour mieux profiter du flux d'air. Le contrôle manuel du niveau d'huile est d'ailleurs inutile, car une sonde électrique se charge de renseigner le pilote. Que les plus réservés quant aux bienfaits de la technologie se rassurent : BMW a tout de même conservé un accessible bouchon jauge !

En revanche, les bricoleurs sont invités à se trouver une autre vocation : la trousse à outils sous la selle pilote se résume à un simple tournevis ! Les fusibles et la batterie sont toutefois particulièrement accessible dans cet espace où il n'est pas possible de ranger des effets.

Partie cycle et transmission

Si la motorisation de la K1600GT s'avère aussi innovante que plaisante, le comportement dynamique de cette moto de 319 kg à sec (sans bagagerie) se montre tout autant digne d'intérêt.

En se triturant le cerveau pour réussir à contenir les masses et surtout à parfaitement les équilibrer (52% à l'avant et 48% à l'arrière sans valises), les responsables châssis sont parvenus à développer une moto qui jouit d'une maniabilité et d'une agilité insoupçonnée au regard de ses généreuses dimensions : 1618 mm d'empattement, 106,4 mm de chasse et 2324 mm de longueur totale.

Pour contenir le poids et assurer une stabilité irréprochable, BMW a opté pour un châssis principal périmétrique en aluminium qui ne pèse que 16 kg. La partie arrière, une structure soudée en profilés extrudés et rectangulaires, pèse 4 kg.

Associé aux "traditionnelles" et efficaces suspensions de type Duolever à l'avant et Paralever à l'arrière (réglables électroniquement avec l'option ESA II), ce cadre aux soudures irréprochables offre une rigueur et une facilité de conduite inégalées sur ce segment.

Le freinage est confié à deux disques de 320 mm à l'avant - actionnés par des étriers quatre pistons à fixation radiale - et un simple disque de 320 mm à l'arrière (étrier à deux pistons).

Extrêmement puissant et étonnamment mordant, le freinage est associé à un ABS combiné d'une efficacité redoutable : BMW précise qu'un capteur de pression supplémentaire est incorporé dans le groupe hydraulique de l'ABS, ce qui permet une gestion plus fine des forces.

La boîte de vitesse superposée est commandée par un embrayage de type multidisques à bain d'huile à commande hydraulique qui comprend une efficace (mais sensible) fonction antidribble. L'ensemble est relié à une transmission finale par arbre à cardan.

Directement fixé dans le cadre, le Paralever est coulé en aluminium pour des raisons de poids, tandis que la biellette de réduction du couple passe au dessus du monobras. Enfin, la puissance et le couple sont transmis au sol via un pneu arrière de 190/55/17 (120/70/17 à l'avant).

Technologie... optionnelle

Outre un efficace contrôle de traction optionnel, la K1600GT peut aussi être équipée avec un sophistiqué système d'éclairage directionnel adaptatif, chargé d'augmenter l'efficacité du système d'éclairage de série au Xénon et de la régulation de la portée du faisceau.

Ce dispositif, inédit sur un deux-roues, mesure la prise angle de la moto grâce aux capteurs d'angle du DTC et compense à la fois la plongée, mais aussi l'angle d'inclinaison du faisceau.

Cette option véritablement bluffante en action (le faisceau des phares reste droit en toutes conditions et se décale progressivement vers l'intérieur de la courbe) fonctionne par le biais d'un servomoteur qui commande l'orientation du miroir réflecteur. En fonction de la prise d’angle, le réflecteur pivote et compense l’angle de roulis.

Au final, une telle sophistication engendre naturellement un recours à de nombreux boîtiers électroniques : au total, les BMW K1600GT et K1600GTL en comptent pas moins de quatorze, interconnectés entre eux !

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Hello tout le monde !! Aujourd’hui j’ai craqué, je devais aller me faire ma propre idée du bestiau, les commentaires des journaleux invités en Afrique du Sud étaient si dithyrambiques que même moi (...) j'avais mis un peu cela sur le compte de la météo, de la vue sur la mer, de l'hôtel 5 étoiles, du buffet, des hôtesses... et de "l'amour qui passe"... arf ! Ayant raté les portes ouvertes du WE dernier, je choisis d’aller chez “Arrigoni” dans la banlieue de Zurich. Je commence par me demander comment je vais bien pouvoir "essayer" une moto en pleine ville... mais il se trouvera que, ô chance, à 500 mètres de là débute un itininéraire de 2-3 km aussi viroleux que surprenant, reliant un autre village derrière un petit bout de montagne... incroyable, 2-3 épingles et une bonne trentaine de courbes moyennes et longues... le tout sur un bitume parfait et avec une déclivité de bon aloi !!! j'en reviens pas... Pour l'heure, je demande à essayer quelque chose, la réceptionniste me dit d'attendre quelques minutes... il y a justement une K 1600 GT devant la porte ! Sur leur site internet, on parle bien de journée d'essais - contrairement aux autres concess' qui avaient seulement organisé les essais en week-end – qui se déroulent chez lui toute la semaine; Mais le type qui arrive alors est un vendeur, sa première question est de me demander quand je songe à acheter la brêle ??? je comprendrai plus tard qu'il s'inquiétait surtout de la réaction du client face à une livraison prévue en juillet seulement... mais c'était un peu pressant on dira... bref, je suis surpris mais on ne me la fait pas, je lui dis que selon finance, dans les 12 mois, car les enfants ont grandi, blabla.. Nom d’un arbre à came, c’est pas un vendeur qui va me priver de l’essai du “6” ! Ceci dit, au retour de l'essai, il m'en remet une salve, fallait pas dire "journées d'essais" sur leur site, mais "vente forcée", non mais... ce qui me dégoutera de lui demander d'autres modèles, une fois que l'autre que je voulais essayer (R12R DOHC) imposait d'attendre 14H00 !! Mais passons à l'essai de la grosse K !! après tout, c'est surtout pour goûter au "6" que j'étais venu !! Au statique, le bestiau se pose là, mais je m'attendais à "plus gros encore", d'après les photos ! En réalité, et parmi les autres modèles, okay c'est une GT, mais par exemple à coté d'une R 1200 RT, elle a pas l'air vraiment plus massive, plus longue sans doute, mais la "masse frontale" n'est pas supérieure ... et la largeur du bloc est en effet très contenue... très impressionant lorsque l'on se rappelle combien de pistons se cachent (à peine) là-derrière ! Une fois posé sur la selle, un petit balancement avec les cuisses renseigne par contre tout de suite sur le poids de ce qu'on trouve entre ses jambes... c'est du lourd !! Hop, démarreur ! tiens, une turbine !!!?? ah non, c'est le "ride by wire" qui est chatouilleux, ça part hyper vite dans les tours à la moindre sollicitation au point mort, c'est pas très gênant, car déjà plutôt musical... mais cela surprend tout de même de la part d'une armoire pareille.. et cela semble dénué d'inertie... le compte-tours ne suit pas, par exemple.. ça monte et ça redescend comme si on était aux commandes d'un synthétiseur, pas d'un moulbif de 1600 cc3 avec tout plein de vrais morceau de moteurs dedans !!!! Allez, première... aïe, là c'est comme la K1300.. impossible d'éviter le "Rschtklak" de première... peut-être qu'on se fait à ce genre de trucs ?? La bête démarre comme dans du beurre, sans accoups, le son m'a déjà enveloppé les oreilles, après 12 mètres parcouru... il y a une zône 30 de 500 mètres avant de pouvoir un peu rouler, pour rejoindre l'itinéraire mentionné avant, cela ne me donne pas du tout envie de passer la deux... on ne va pas décrire le cycle et la mélodie d'un six-en-ligne, tout le monde a déjà entendu ça dans sa vie, surtout made in munich, on retrouve pleinement le coté symphonique de ce genre de mécanique, mais d'entrée ce qui étonne un peu plus, c'est le son émis par les "silencieux"... ils sont supposés vous en donner plus pour votre argent sur la GT que sur la GTL, ça tombe bien, je suis perché sur la GT.. enfin, je devrais dire "lové" dans la GT... à ces basses vitesses, l'équilibre est très bon, on peut évoluer sur un filet, il n'y a pas d'accoups, mais on sent encore un peu le poids pour la balancer.. mais assez causé de rythme de gastéropodes, me voilà arrivé à la fin de cette saleté de zone 30 ! Dernier stop, et... rien !!! j'ai calé comme un débutant ! arf.. oulà, très doux l'embrayage, mais pas beaucoup de garde... heureusement, je n'avais pas encore tourné le guidon... sinon, le "plop" avec une direction un rien anglée aurait été pour le moins irrécupérable... mais tout va bien, une nouvelle pression sur le bouton magique et... merde, encore trop tourné le truc rond en bout de guidon... Wouinnnn ! hum, voilà un tapage qui ne sied pas au costume sénatorial de l'engin... mais bon, je ne suis plus qu'à 73.443 secondes de m'apercevoir que c'est bien le seul truc qui fasse penser à une GT.. son costume... et accessoirement son confort ! Allez hop, pas même le temps de comprendre et je me retrouve effectivement au pied d'une montée totalement enjoleuse ! Raaahhh lovely ! Bon, ben, Gaazzz alors !!! damned, elle a bu plusieurs café c'te brêle ce matin, ça répond immédiatement, quelque soit l'humeur ou la demande, ça vient sans le moindre temps de réponse, toujours en "grandes orgues" du coté des oreilles... enfin, là faut procéder à un petit réglage, car je n'entend plus rien à cause des turbulences causées par le... euh, qu'est-ce au juste, une bulle ? non, trop grand, un pare-brise ? non, trop petit quand-même.. bref, le truc en plastique qui monte et descend d'une pression du pouce.. chacun verra midi à sa porte le concernant, mais par rapport à ma taille, je dois le régler plus haut que ce que j'aurais fait sur la R1200RT, le mettant au plus bas pour mieux appréhender visuellement les trajectoires, en mode arsouille.. Sur la K 1600, je dois le mettre à environ deux-tiers du réglage haut, pour être dans une "bulle" d'air agréable et qui surtout, me laisse pleinement profiter de la sonorité enchanteresse du moteur ! Par chance (ou plutôt parce qu'un ingénieur a eu cette bonne idée), la forme supérieure de la bulle est dessinée en "V", ce qui laisse, même à cette hauteur, une vue directe sur la route; j'adopte donc ce réglage.. c'est toujours pas très naturel pour moi, par manque d'habitude, mais c'est jouable, objectivement ! C'est curieux tout de même d'avoir eu un tel raffut en position basse, cela devait bien faire trois fois le bruit que je prends au guidon de la S, alors que la bulle ne fait qu'atténuer la pression du vent et ne dirige en aucun cas le vent au-dessus du casque (sur la S je veux dire).. à comparer avec celle, différente, de la GTL ? Mais assez parlé du plastique, parlons métal.. hormis le fait que le moteur manque visiblement de rôdage haut dans les tours, car je ne retrouve pas les envolées signalées par les journalistes, la poussée est très copieuse, les hauts-régimes arrivent plutôt vite, bien que le "gras du couple" vraiment sensible dès les 3'000 trs suffise amplement à arriver vite, très vite... comme je suis en essai plutôt court, je tape plutôt dedans dès qu'il y a de la place.. ce qui fait arriver un peu vite... mais c'est là qu'on découvre le "second effet kiss cool" (pour ceux qui se souviennent de la publicité !) !!! Je le savais déjà pour avoir essayé les K 1200S, K 1200R, K 1300R et K 1300 GT, la géométrie générale, le centre de gravité procuré par le moteur très incliné mais surtout, le bénéfice de la présence du duolever permettent des trucs assez surprenant en matière d'entrées en courbes peu timides... On aurait pu penser que le bestiau étant tout de même d'une envergure et surtout d'un poids plus conséquents, l'on doive tout de même prendre quelques précautions ? En fait non, aucune, on entre "comme on pense", sans ressentir un instant le poids (et sans penser au prix, arghh) de l'engin, c'est franchement bluffant... ! Sur les premières "exagérations" que j'ai commises, ne sachant pas encore bien comment elle réagirait, j'ai du mettre quelques "freinages de porc", pour me rassurer, à une vitesse conséquente donc, et avec déjà de l'angle... rien de plus à dire... il ne se passe rien !! ou plutôt si, il se passe que l'on peut lui mettre dans la gueule des freinages de trappeurs sans qu'elle ne désunisse une seconde, et sans même qu'elle vous le reproche... Le mieux étant encore les "pif-paf", oui vous avec bien lu, on peut la balancer d'un angle à l'autre, même en pleine charge, d'une simple impulsion sur le (grand) guidon !! là aussi, c'est particulièrement surprenant, à tel point qu'au bout d'un moment, on oublie un peu sur quoi on est en train de rouler, on commence à penser trajos, le tout, comme depuis le départ, en profitant au maximum d'une véritable symphonie ! à n'importe quel régime, il y a à faire... en bas, elle sonne très "rond", on est dans le caisson de basse, mais de la bonne, un vrai régal, ensuite, plus on monte, plus cela devient métallique.. pour ceux qui auraient eu le loisir ou la chance de vivre les envolées lyriques d'une BMW M3 (ouais, une voiture... ) à l'époque du six-en-ligne, on est clairement dans la même partition, le compositeur étant le même rappelons-le... c'est même une marque de fabrique !! Autre "jeu" musical, les décélérations, on est encore dans une autre variante, difficile à décrire en fait, mais c'est un truc qui pousse à en jouer et à en rajouter une tranche juste pour le plaisir, genre rester bien une ou deux vitesse plus courtes que nécessaire rien que pour entendre cet arpège particulier !!! Je me souviens clairement du jour où j'avais réalisé l'un derrière l'autre les essais de la K 1300 GT et de la R 1200 RT, ma préférence allait clairement au Boxer, non seulement pour l'incroyable légèreté (pour une GT , mais aussi intrinsèque) ressentie, et pour la position, mais aussi à cause du 4 cylindres que j'estimais sans âme, agrémenté lui aussi d'une boite bruyante ! pourtant, tout comme le 1600, il regorge de couple à rendre la boite parfaitement inutile... Mais après l'essai de la K 1600GT, je dois admettre que je suis sous le charme de ce concentré de technologie embarquée, les quelques désagréments ressentis (boite surtout) sont balayés au général par les sensations mécaniques fantastiques, pendant que le chassis fait remarquablement oublier le surpoids !! On comprend aisément dans ce cas pourquoi la K 1300 GT a disparu du catalogue, elle est dynamiquement en retrait, ses atouts de GT ne valent pas la grande soeur, et de toutes façons elle n'a pas connu beaucoup de succès !!! Au bilan, je dirai que cette armoire munichoise m'a fait passer un bien bon moment, et m'a quasiment convaincu que, si un jour mon usage et mes envies (à partager cette fois !) me poussaient vers une notion de "GT", autant y aller à fond, au diable les demi-mesures ! Je ne peux m'empêcher de tenter une petite comparaison avec sa devancière au catalogue, la K 1200 LT, puisque elle reprend tout de même ce créneau là dans la gamme, et je constate que non seulement elle est aussi confortable (pour ceux qui ne peuvent s'empêcher de trimballer toute leur vie ou afficher un "château-arrière de gallion espagnol il y a la GTL) et efficace en mode "tourisme au long cours”, mais elle sait accepter un véritable pilotage sportif, à peine atténué, logiquement, par les contraintes des lois de la physique ! Le résultat final est donc bel et bien impressionnant, elle vaut largement son prix, surtout si on compare celui-ci avec des machines totalement ineptes sur le plan dynamique se réclamant pourtant du même segment "grande GT" comme la Goldwing et surtout l'Electraglide, totalement injustifiable pour cette dernière au regard de la technologie présente... car n'oublions pas qu'hormis ses qualités de roulage, la K 1600 GT contient toutes les plus values que sont l'ABS dernier-cri, l'antipatinage, le super efficace ESA j’en passé et des meilleures, avec bonus un éclairage révolutionnaire sur le marché ! Et je me répète, mais ce moteur est une cathédrale, il va très certainement marquer l’histoire de la production moto, il l’a déjà fait plutôt, par sa simple existence ! Alors que l'on apprécie ou non ce genre de machines, j'ai envie de clore en disant: "merci BMW !" pour continuer de faire avancer les choses dans le monde de la moto, d'une si belle façon... J'ai rendu la machine en regrettant de ne pas partir une semaine avec, dernier étonnement, la béquille centrale... là aussi, c'est surprenant de facilité !! Chérie, tu veux pas faire des vacances à deux, j'ai une bonne idée là... Si je devais rêver de mon essai cette nuit, je pense que se seront surtout la poussée et le son qui me resteront, mais je serai probablement assis sur un truc ressemblant au “concept’6”… les charmes à la vue de tous, quelques kilos de moins, un bon guidon plat de roadster… et pas de bulle, surtout pas de bulle… Rhâahhh lovely !!! Le Gnac'

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CONDITIONS ET PARCOURS

  • Modèle avec 1774 km au compteur
  • Parcours : 185 km
  • Routes : voies rapides, agglomérations, petites et grandes routes
  • Pneus : Metzeler Interact Z8
  • Problèmes rencontrés : RAS

POINTS FORTS

  • Souplesse, force et sonorité du 6-cylindres
  • Agilité et stabilité de la partie cycle
  • Freinage dosable et puissant

POINTS FAIBLES

  • Pousse au crime !
  • Boîte de vitesses rêche
  • Prix élitiste avec les options "ki-vont-bien"